{Preview} Sky Oceans – Wings for Hire : En route vers le ciel !

Souhaites tu également partir à l’aventure dans les cieux ?

Une narration émouvante, un message universel…

Découvre le charme des RPG classiques à travers une histoire touchante sur le sens de la vie.
Incarne Glenn Windwalker et rassemble ton équipe de pirates pour lutter contre l’Alliance. Profite de combats au tour par tour, constitue ton groupe et personnalise ton vaisseau. Gère tes ressources et agrandis stratégiquement ton vaisseau.
Seras tu à la hauteur, capitaine ?

Les menus

Dans Sky Oceans: Wings for Hire, les menus sont relativement simples ; on est pas submergés d’informations. L’arrière-plan est plutôt agréable, offrant un avant-goût de ce que nous pourrons apprécier tout au long de l’aventure. Tu trouveras des petites onglets noirs avec une écriture violette.

Ce qui m’a amusée, c’est que pour ma part, Sky Oceans: Wings for Hire avait la possibilité de se lancer en français ou en anglais, mais il a choisi de démarrer automatiquement en espagnol. Ce choix est assez étrange et c’est la première fois que cela m’arrive. Heureusement, il est possible de rectifier cela dans les paramètres du jeu.

J’avoue rencontrer quelques difficultés avec le menu des options ; ici, les écritures sont noires tandis que le fond des petits onglets est violet. Bien que ce menu soit vraiment simple, ce qui est appréciable, j’admets que j’aurais probablement opté pour une autre présentation.

Ce qui est plutôt avantageux, c’est qu’il est possible d’ajuster plusieurs paramètres selon tes besoins : la navigation, la difficulté des ennemis, l’agressivité des adversaires. Cela s’avère particulièrement utile si jamais tu te retrouves quelque peu en panique face à certaines situations. C’est également ici que tu pourras modifier la langue de Sky Oceans: Wings for Hire.

Les graphismes

Les graphismes du jeu sont plutôt… spéciaux, on va dire ça comme ça. Autant sur la bande-annonce, cela me donne envie de voir plus, mais là, je t’avoue qu’on est un peu loin de ce que l’on a pu voir, même si on n’est pas sur une bouillie de pixels. Et pourtant, je ne sois pas compliqué au niveau des graphismes. Il y a beaucoup de soucis, même si tout cela n’est pas désagréable car il y a tout de même un effort… je pense qu’il faudra revoir tout cela.

L’univers reste mignon en s’inspirant des des productions du Studio Ghibli, en soi pourquoi pas. Le choix n’est pas mauvais ! Mais les soucis qu’on peut voir, hélas, rendent les choses un peu moins sérieuse.

Comme on peut le voir, on a une belle vue de la maison par la fenêtre, ce qui est illogique, je trouve. Cela se produit pour toutes les fenêtres. On arrive même à passer un peu dans le décor…
En plus, on se retrouve parfois avec un peu trop de blanc sur les décors, le sol avec les nuages dans le ciel, ce qui parfois peut être agressif pour les yeux.

Le Gameplay

La jouabilité est assez particulière, bien que l’on puisse jouer avec une manette ou au clavier-souris, il est dommage que l’on ne puisse jouer qu’avec une manette branchée en USB, mais en soi, c’est déjà bien qu’on puisse avoir le choix (PlayStation et Xbox).

La caméra a un petit souci, quand on voit la vitesse et la façon dont on peut la déplacer. J’avoue que cela est un peu complexe et pas trop désagréable. On pourra changer cela dans le menu des options, ce qui rendra la jouabilité un peu meilleure.

Durant notre aventure, pendant que l’on fouille et que l’on a la possibilité de récupérer des objets dans un coffre, nous avons la malédiction du buisson ! Que l’on retrouve hélas dans pas mal de jeux. Nous ne pourrons pas avancer plus que ça, il faut contourner pour trouver un autre moyen de poursuivre notre route.

Le style de combat est plutôt compliqué. Oui, il est au tour par tour, mais je trouve cela peut être un peu lourd quand on voit que nos ennemis nous tuent assez rapidement, et ce sont ceux du tutoriel…

Alors, c’est bien beau de mettre des tutoriels, c’est même gentil, mais quand on voit qu’on n’a pas les icônes des touches pour la manette, on n’a donc que la possibilité d’avoir celles de l’ordinateur. C’est désagréable parfois pour comprendre.

Mais quand on tombe sur ça, où l’on doit donner un petit coup de souris, etc., pour que tout s’affiche, c’est tout de même assez difficile. J’espère que cela sera changé dans le jeu une fois sorti. Ce n’est pas bien grave, mais quand je vois que j’ai aussi ce souci qui, lui, ne change pas et reste en bas de l’écran..

Je me demande si je suis la seule à avoir eu ce souci durant mon petit test du jeu, c’est la première fois que j’ai ça.

Que faut retenir de Sky Oceans: Wings for Hire ?

Sky Oceans: Wings for Hire est une bonne idée, je l’avoue, bien que je sois tout de même déçu sur certains points. Il y a tout de même du potentiel. Il faudra beaucoup de travail pour rattraper les nombreux soucis.

On a tout de même du bon, c’est ce qui me pousse à continuer l’aventure. La musique est plutôt bien faite, ce qui donne envie de pouvoir les écouter en dehors de notre partie, bien qu’il faudra voir avec le reste du jeu, mais pour l’instant, cela me convient.

La petite place que demande le jeu peut être aussi un point fort pour celui-ci. Mais sur mes 3 premières heures de jeu, je reste dubitative, avec une difficulté assez accrue dès le début, des bugs de textures ou d’affichage. Je reste tout de même positif sur le futur du jeu, car il y a de bonnes idées. On attend de voir si le patch day one lors de la sortie du jeu gommera les imperfections de cette preview.

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