Les prochaines productions indépendantes éditées sous le label SPOTLIGHT se montrent
La Gamescom 2023 est en cours, Under the Waves, Lysfanga : The Time Shift Warrior et Dustborn du label SPOTLIGHT by QUANTIC DREAM se montrent une nouvelle fois à l’occasion de l’Opening Night Live. Ces pépites indépendantes en dévoilent en peu plus avec des bandes-annonces inédites.
- Under the Waves
Parallel Studio se prépare à sortir son nouveau jeu d’aventure narratif, Under the Waves, après près de quatre ans de développement. Le jeu sera disponible le 29 août en version numérique sur PC, PlayStation 5, PlayStation 4, Xbox Series X|S et Xbox One et le fait savoir avec un tout nouveau trailer de lancement.
Une édition physique Deluxe sera aussi disponible ce mardi 29 août sur PlayStation 5, PlayStation 4, Xbox Series X|S et Xbox One. Cette version comprend un art book et un set de stickers exclusifs.
- Lysfanga : The Time Shift Warrio
Lysfanga : The Time Shift Warrior, le projet au concept novateur de Sand Door Studio,arrivera sur PC début 2024. Ce jeu reprend à sa façon les concepts du hack’n’slash et y ajoute une dimension tactique unique. Les joueurs incarneront Imë, une héroïne puissante capable d’invoquer des clones de son passé afin d’affronter des hordes d’ennemis dans d’innombrables arènes. Avec une profondeur de gameplay pensée pour le speedrunning, Lysfanga : The Time Shift Warrior n’en reste pas moins une expérience de choix pour quiconque à la recherche d’un jeu d’action innovant.
- Dustborn
Dustborn est un jeu imaginé et conçu de toute pièce par l’équipe de Red Thread Games, basée à Oslo en Norvège. Ce titre offre un regard neuf sur le genre action-aventure tout en incluant une forte dimension narrative et une direction artistique inspirée des bandes-dessinées. Prévue pour une sortie courant 2024 sur PC, PlayStation 5, PlayStation 4, Xbox Series X|S et Xbox One, la grande aventure de Pax et de sa bande se dévoile dans un nouveau trailer. Tous traversent une Amérique à mi-chemin entre la vision carte postale que l’on peut s’en faire et les ravages d’un totalitarisme des plus dystopiques.
