Dead by Daylight son 18ème DLC est disponible
Je suis de retour et je ne pouvais pas passer sur une news complète sur l’un de mes petits jeux préférés Dead by Daylight. Le toute nouveau DLC nommé » A Binding of Kin » est disponible depuis mardi. Bien sur pour commencer voici le trailer de lancement :
Maintenant rentrons plus en détails sur ce qu’apporte ce nouveau DLC en commençant par dire que les deux protagonistes (enfin trois…) nous viennent tout droit de France à des époques bien différentes, on va commencer par le tueur.
Le Tueur : Les Jumeaux
Son histoire :
Enfants siamois, Charlotte et Victor Deshayes ont développé un lien émotionnel rare. L’invraisemblance de leur naissance au XVIIe siècle pourrait passer pour un miracle, mais elle déclencha presque immédiatement une vie de persécution. Les jumeaux étaient venus au monde avec le bas du corps de Victor soudé à la poitrine de sa sœur, ses jambes enroulées autour des muscles et organes de cette dernière. Plus petit que Charlotte, il avait plus grandi en excroissance du corps de celle-ci plutôt qu’en enfant complètement formé. Les nouveau-nés se mirent à hurler, tout comme la sage-femme qui les avait aidés à naître et qui s’enfuit de la maison en hurlant qu’une sorcière avait donné vie à un démon. C’est alors que commença la traque de Charlotte, Victor, et de leur mère, Madeleine.
Les années suivantes n’étaient que de fugaces souvenirs pour les jumeaux, mais c’était là ce qui ressemblait le plus à une vie normale. Ils s’imaginaient que tous les enfants vivaient le même périple avec leur mère, que les parties de cache-cache dans la campagne française n’avaient rien d’exceptionnel. À l’âge de cinq ans, ils durent faire face à un nouveau défi quand leur mère tomba malade. Pâle et épuisée, Madeleine n’eut d’autre choix que de déléguer la recherche de nourriture à Charlotte. Enfouie sous une couche de vêtements qui dissimulaient le corps protubérant de Victor, la jeune fille s’éloigna de leur tente en forêt et se dirigea vers la ville à proximité. La vue était spéciale, mais elle se souvint de son entraînement, attendant une opportunité sur le marché pour chiper toute la nourriture possible. C’était une victoire dans le jeu, mais de courte durée.
Après minuit, des flammes encerclèrent le campement de la famille, dansant dans l’obscurité. Un cri brisa le silence de la nuit, donnant l’ordre à une foule de chasseurs de sorcières d’attaquer. Des mains crasseuses tirèrent les jumeaux de leur lit, Charlotte frappant du pied frénétiquement quiconque approchait. Madeleine criait pour ses enfants, mais un coup de gourdin sur son crâne se chargea de la faire taire. Victor poussa un cri strident, couinant tel un rat pris au piège.
Les chasseurs se coordonnèrent rapidement. Un juge désigné à la levée déclara Madeleine coupable de sorcellerie, preuve étant sa progéniture démoniaque. En quelques minutes, ils attachèrent son corps inconscient à un arbre, entourant ses pieds de brindilles sèches et de mousse. À son réveil, elle ne lutta pas, suppliant uniquement de ne pas laisser ses enfants la voir ainsi. Il n’en fut rien et les jumeaux furent forcés à regarder la torche allumée et les flammes dansant sur la jupe de leur mère, dévorant ses chairs. Ils virent comment la graisse dégoulinait de son cadavre, son visage tordu recouvert de cloques. Ils regardèrent jusqu’à ce que les hurlements qui déchiraient ses cordes vocales cessent, et qu’il ne subsiste plus que le crépitement des braises et une puanteur à soulever le cœur.La moindre trace de bonheur et de bonté qu’il y avait en eux s’éteignit à la mort de leur mère. Mis en cage et transportés dans un vieux temple en bois, ils furent revendus à un groupe d’hommes mystérieux, vêtus de capes noires. Victor réagissait avec la férocité d’une bête enragée envers quiconque l’approchait, cherchant à mordre et à griffer. Seule sa sœur était capable de l’apaiser. Amère et haineuse envers tout le monde à l’exception de son frère, Charlotte se découvrit un but dans la protection de son frère.
Dans le temple, ils furent les sujets d’expériences inhabituelles, parfois cruelles, mais le plus souvent déroutantes. Un jour, ils devaient briser le cou d’un petit oiseau gris. Le lendemain, les hommes les faisaient saigner au-dessus d’un vase de roses. Tous les sept jours, ils dormaient avec une branche de chêne humide sous leur oreiller. Sans oublier les chants, émis à intervalles réguliers par un chœur interminable de silhouettes cachées.Jusqu’à ce que l’expérience finale soit programmée. Deux silhouettes guidèrent les jumeaux au centre du temple, maintenant Charlotte sur un autel dans une pièce éclairée par des candélabres. Le visage ridé d’un homme les scruta sous sa capuche, appliquant une main sur le front de chaque jumeau et procédant à un examen attentif de leur crâne. Il prononça les mots « Memento mori », tandis qu’il s’emparait d’une lame brillante.
Charlotte se jeta sur le côté, repoussant son frère de l’autel. Dans un cri strident, il tendit le bras aussi loin que possible et fit tomber un candélabre à terre. Le bois sec prit feu en un instant. Les flammes se propagèrent au sol, incendiant les robes noires. Des cris d’agonie transpercèrent, le chaos ce qui ne manqua pas de revigorer Charlotte. Elle se précipita à travers le brasier, ne voyant rien d’autre que de la fumée noire et des flammes torrides. Ses poumons, chargés d’un air lourd, se firent douloureux. Elle ne trouvait pas de sortie, le moindre pas la menant vers la chaleur écrasante. Suffocant, elle tomba à genoux, et ce fut là qu’elle la vit, la lueur du soleil au travers des arbres. Elle trébucha hors des flammes au milieu d’une parcelle d’herbe couverte de rosée. Sans se retourner, elle courut dans la forêt jusqu’à ce qu’elle s’écroule d’épuisement.
Lorsque Charlotte ouvrit les yeux, elle chercha la main de Victor. Il n’essaya même pas de bouger, son corps suspendu à son torse, inerte. Elle saisit son visage et observa ses yeux tristes, immobiles. Les mouvements auxquels elle était habituée, son corps tiraillant sa peau, ses jambes tapotant la cavité de sa poitrine, tout cela avait cessé. Victor était mort. Charlotte n’eut d’autre choix que de continuer d’avancer en pleurant, de crainte que les capes noires et les chasseurs de sorcière ne la retrouvent. Elle dissimula le cadavre de son frère sous ses vêtements et se dirigea vers les égouts d’une ville proche. Elle y monta son campement, sortant pour voler la nourriture qu’elle pouvait et s’attaquant aux granges pour chiper la bouillie des cochons quand elle était désespérée. Au fil des ans, le cadavre de Victor finit par pourrir, ses membres noircis suintant, mais résistant à la décomposition totale, comme si le sang de sa sœur circulait encore à l’intérieur. Protéger son corps sans vie devint la seule raison d’être de Charlotte qui refusait de se séparer de l’unique famille qui lui restait.
Son adolescence fut un véritable exercice de survie. Sa haine pour l’humanité augmenta de jour en jour, car elle réalisa qu’ils ne la laisseraient jamais vivre en paix. Peu importe combien avaient perdu la vie lors de ses larcins bâclés et autres tentatives désespérées de s’échapper, ils seraient toujours plus nombreux à la poursuivre et à la traiter de monstre, de démon, de sorcière. Et les capes noires étaient les pires de tous. Ils la pourchassaient sans cesse, la forçant constamment à abandonner son abri et à prendre la fuite.
Charlotte passa des années à fuir, faisant couler le sang par nécessité, veillant sur son frère mort depuis longtemps. Durant un hiver particulièrement froid, son corps commença à lâcher. La nourriture se faisait rare et son refuge branlant ne la protégeait pas des températures glaciales. Armée d’une faucille, elle se recroquevilla près de son feu de camp dans les bois, ignorant si les capes noires l’emporteraient avant que le froid ne s’en charge. Tandis que ses narines et ses lèvres gelées prenaient une légère teinte bleutée, Charlotte ressentit quelque chose qu’elle n’avait jamais éprouvé jusqu’à ce jour : l’acceptation. Elle ferma les yeux et s’ouvrit à la sérénité de la mort quand elle entendit un cri strident et féroce. Victor fut alors pris de spasmes et s’agita sur son torse, un nuage de brume l’enveloppant.
Avant qu’elle ne puisse réagir, il tomba à terre dans une flaque de sang et partit en courant dans la neige. Refusant de céder à la mort, elle s’élança à sa poursuite, l’appelant par son nom. Elle courut dans la forêt jusqu’à ce qu’elle aperçoive Victor, assis à proximité d’une brume épaisse. Son visage, tordu et sauvage, hurla tandis qu’une silhouette sombre à capuche émergea de la brume, l’attrapa par le bras et l’emporta. La sérénité éprouvée par Charlotte s’était évanouie, laissant place à une haine bouillonnante et à la rage sur laquelle elle s’était appuyée pendant si longtemps. Serrant fermement sa faucille, elle s’élança dans la brume, prête à éviscérer quiconque approcherait de son frère.
Source : L’histoire: Les Jumeaux – Dead by Daylight
Son pouvoir : Lien de Sang
Divisez pour mieux terroriser.
Bien que liés à jamais par leur sang et leurs traumatismes, les Jumeaux ont acquis la capacité de se séparer du corps qu’ils partagent. Ensemble, Charlotte et Victor chassent en tant que frère et sœur, présentant ainsi une double menace pour les survivants.
Utilisez Lien du sang pour séparer les Jumeaux. Choisissez de contrôler Charlotte ou Victor et pourchassez vos victimes en tant que duo mortel. Lorsque vous contrôlez Charlotte, Victor supervise la partie, déclenchant l’Instinct de tueur pour dévoiler la position des survivants près de lui. Néanmoins, Victor peut être écrasé par les survivants quand vous contrôlez Charlotte. S’il se fait écraser, Victor se régénère sur Charlotte au bout d’un moment.
ATTAQUE SPÉCIALE : Bond
Lorsque vous contrôlez Victor, vous pouvez sauter sur les survivants. Un Bond réussi inflige des dégâts au survivant. Si le survivant a toute sa santé, Victor s’y accroche et lui inflige les effets de statut Brisé, Inconscient et le nouveau venu Immobilisé. Victor dévoilera également la position des autres survivants proches à l’aide d’Instinct de tueur. Les survivants peuvent tenter de combattre Victor quand il s’accroche à eux. Si Victor rate son Bond, il est temporairement vulnérable et peut se faire écraser par les survivants.
Ses compétences :
– Ecureuil : Quand des survivants interagissent avec un coffre ou qu’ils ramassent un objet à portée de votre position, vous êtes alerté de leur présence. Si vous avez assez de points d’apparition, deux coffres supplémentaires apparaissent. Écureuil réduit la rareté des objets trouvés dans des coffres.
– Oppression : Lorsque vous endommagez un générateur, d’autres générateurs sont également endommagés au hasard. Si l’un de ces générateurs est en cours de réparation, les survivants en train de les réparer doivent réussir un test d’habileté difficile.
– Coup de grâce : Vous gagnez un jeton dès qu’un générateur est terminé. Consommez un jeton pour augmenter la distance de votre prochaine attaque chargée
Passons maintenant à la survivante : Elodie Rakoto
Son histoire :
Née dans une famille parisienne aisée, Élodie Rakoto avait grandi dans une maison confortable à des kilomètres de la verdoyante Madagascar, lieu de naissance de ses parents. Son sac à dos était toujours lourd à porter et ne contenait généralement pas de devoirs. Elle transportait l’essentiel : quelques livres d’histoire, des cartes imprimées, et une pelle pliante. Au lieu de perdre son temps à assimiler des données régurgitées à l’école, elle préférait explorer la ville pour y découvrir les histoires derrière chaque statue, quartier et plaque de rue. Elle collectionnait des bribes de Paris, se les appropriant.
À l’âge de quatorze ans, ses parents l’emmenèrent sur l’île de Dyer pour un « voyage d’affaires ». À sa grande déception, l’île était un site privé, réservé aux membres exclusifs de l’Imperiatti. Elle fut obligée d’assister quotidiennement à des soirées mondaines ennuyeuses. Au bout de quelques semaines sur l’île, elle rencontra les Parias, des adolescents qui partageaient ses idées, sans aucune envie de devenir les pions sur l’échiquier politique de leurs parents. Quand ils s’ennuyaient lors des nuits pluvieuses, elle s’amusait à les convaincre de sortir en douce pour explorer l’île sans surveillance.
Un soir de brume, ils découvrirent un camp d’internement abandonné. Felix, l’un des Parias, ne voulait pas y entrer, mais Élodie insista. À l’intérieur, ils découvrirent un étrange laboratoire souterrain en ruines. Les Parias furent pris par l’émotion, étudiant les étranges appareils à la recherche de trophées et souvenirs. Mais quelque chose attira l’attention d’Élodie dans un recoin d’un mur du fond : des égratignures étranges en forme de cercle. Elle passa ses ongles sur le ciment froid… les marques étaient profondes et étroites. Un murmure chaud fit alors partir son esprit à la dérive…
… Le grondement du tonnerre… des vagues noires scintillantes… une plage de sable gris. Inachevé. Quelque chose la poussa à toucher le sable glacé pour y dessiner un cercle barré d’une ligne.
Un violent éclair déchira alors le ciel, suivi d’un terrible coup de tonnerre. Le sol se mit à trembler tandis que des griffes noires déchiraient le sol en ciment, éventrant la terre sous leurs pieds. Le bâtiment commença à s’effondrer et Élodie aperçut alors sa mère munie d’un étrange instrument tandis que son père lui ordonnait de courir. Puis plus rien…
L’obscurité la plus totale.
Ce fut la dernière fois qu’Élodie vit ses parents.
Pendant des années, ce cauchemar la réveilla au milieu de la nuit, glacée et en sueur, tremblant comme une feuille au vent. Enfant, elle souffrait de terreurs nocturnes et luttait souvent pour ne pas aller au lit. Afin de l’apaiser, sa grand-mère allumait une bougie et lui racontait des histoires jusqu’à ce que la mèche s’éteigne, noyée dans la cire fondue. Le parfum de la cire à la vanille aidait Élodie à s’endormir, tandis qu’elle s’imaginait des histoires de héros légendaires triomphant de la peur et des ennemis. Élodie avait oublié ces histoires, mais pas son envie de découvrir les montagnes gigantesques et les forêts tropicales verdoyantes malgaches que sa grand-mère lui avait décrites. Quand elle était prise de chagrin, Élodie allumait une bougie à la vanille et s’accrochait aux souvenirs de son enfance de ce lieu distant, idyllique, poussant son esprit à surmonter sa dépression.
Quatorze ans plus tard, Élodie cherchait toujours les pièces manquantes du puzzle. Aucune explication rationnelle ne pouvait répondre à la disparition de ses parents, elle avait donc suivi d’autres pistes. Elle avait étudié toutes les légendes faisant mention d’une sombre force qui emportait les personnes au milieu de la nuit sans laisser de trace. Puis elle avait traduit de vieilles histoires et recomposa une fresque de récits du monde entier qui corroboraient la disparition mystérieuse de ses parents sur l’île de Dyer. Elle trouva également des artefacts d’anciennes civilisations qui visaient à détruire ou ressusciter la Chose incompréhensible et indéchiffrable qui avait emporté ses parents. Cette Chose portait différents noms, variant d’une langue à l’autre : l’Abîme, l’Infini, le Vide.
Ses découvertes la menèrent toujours plus loin dans l’étude des sciences occultes. Les Parias n’existaient plus depuis longtemps. Elle avait fini par les éloigner avec ses théories, mais elle refusait d’abandonner ses parents.
Élodie sortit par une froide nuit brumeuse. Elle tourna au coin d’une rue, quittant le 13e arrondissement de Paris, un quartier excentrique doté d’une importante bibliothèque remontant au Moyen Âge. Elle avait un travail urgent à faire pour Hazra Shah, le Collectionneur, un spécialiste des sciences occultes qui archivait des artefacts rares.
Il l’avait recrutée après qu’elle eut récupéré une rare statue maorie aux crocs en forme d’araignée, identiques aux griffes qu’elle avait vues sur l’île de Dyer. Pendant les cinq années suivantes, Élodie veilla à fournir des reliques occultes au Collectionneur. En échange, il lui versa de fortes sommes d’argent et lui fournit de l’équipement et des informations précises sur de sombres manuscrits.
Tout comme le Collectionneur le lui avait demandé, elle avait mis la main sur les annales du procès en sorcellerie d’une mère qui avait accouché de frères siamois au XVIIe siècle. D’après la légende, une incantation occulte était gravée sur une série de crânes, tous en possession du Collectionneur hormis celui de la sorcière. Il n’y avait pas la moindre trace de l’endroit où se trouvait le crâne, mais Élodie découvrit un article de presse remontant à la même année, indiquant que la plupart des restes avaient été transférés dans les catacombes pour éviter un risque de pandémie. Élodie suivit son instinct. Se glisser dans les catacombes afin de récupérer un crâne perdu impliquait certains risques, mais pas plus que ceux qu’elle avait dû affronter lors de ses missions précédentes pour le Collectionneur.
Munie d’une lampe de poche, elle suivit l’ancien tracé des catacombes et remarqua un mur effondré. De grosses pierres lui bloquaient l’accès. Elle s’empara alors de son spectromètre XRF portable et analysa les matériaux du mur. Travailler pour le Collectionneur avait ses avantages. Le mortier des briques était fragile de par sa haute teneur en sable. L’ensemble était précaire et le sol humide. Elle tenait là son accès.
Le trajet sous terre était long et traître. L’atmosphère était lourde et sentait le moisi. Elle sursauta lorsque la lampe de poche de son porte-clés éclaira un mur continu de crânes blancs.
Elle entendit alors un craquement derrière elle et se retourna, avant d’être frappée à la tête par une batte de baseball, une profonde douleur la saisissant. C’est là qu’elle perdit connaissance.
À son réveil, un homme la transportait sur ses épaules, s’enfonçant toujours plus profondément dans les catacombes. Il portait une robe noire.
Le Sombre vallon.
Elle avait réussi à leur échapper jusqu’à présent. Impitoyables et mortels, ils portaient de nombreux noms. Au final, elle avait découvert qu’ils travaillaient tous pour le même groupe, un réseau de fanatiques occultes, adeptes de sacrifices humains au nom de ce qu’ils appelaient l’Ancien. Elle devait sortir de là et vite.
Élodie remarqua alors un crâne mal scellé dans le mur et s’en empara avant de l’écraser sur la tête de son agresseur. Étourdi, il perdit l’équilibre et Élodie en profita pour s’enfuir. Ce faisant, elle ressentit soudain une douleur déchirante sur le côté.
C’est alors qu’elle vit la longue lame qui la traversait. Sous le choc, elle retira le couteau, du sang chaud jaillissant de sa blessure.
Ses battements de cœur s’intensifièrent et sa vue se brouilla.
Elle tomba à genoux. Puisant dans ses dernières ressources, elle dessina un cercle au sol d’un doigt tremblant ensanglanté et le barra d’une ligne.
Un poids opaque lui tomba alors sur les épaules, une odeur familière fruitée de vanille et de lychee imprégna l’air autour d’elle. Une fine pluie tropicale s’écoulait le long de plantes grimpantes luxuriantes. La chaleur.
Madagascar.
Un cri fantomatique traversa l’épaisse frondaison.
Élodie regarda en l’air et les plantes grimpantes prirent l’apparence de serpents sifflants. Le terre meuble de la canopée se changea soudainement en un sol de cendres, se dérobant sous ses pieds. Elle sombra dans quelque chose de dense et de froid, quelque chose qui l’avalait comme des sables mouvants. Elle hurla, avant d’être étouffée par… l’abîme… l’infini… le vide…
Elle avait enfin trouvé ce qu’elle cherchait depuis si longtemps.
L’histoire d’Élodie Rakoto – Dead by Daylight
Ses compétences :
– Estimation : Débutez la partie avec trois jetons. Si un coffre a déjà été ouvert, vous pouvez utiliser un jeton pour le fouiller et récupérer un objet. Vous fouillez dans les coffres plus rapidement
– Supercherie : Lorsque vous sprintez, plutôt que d’entrer dans un casier, vous ferez semblant de le faire. Vous ne laissez aucune marque d’éraflures pendant les trois prochaines secondes.
Bras de Fer : Si vous luttez suffisamment contre la prise du tueur pendant qu’il vous transporte, vous pouvez lui faire tomber une palette dessus et l’étourdir pour vous libérer.
Enfin pour la partie gratuite, ce DLC nous amène malheureusement pas de nouvelles maps, mais la continuité de la transition du rework des maps avec cette fois-ci Ormont, la casse AutoHaven et des Totem disséminés dans la map.
Et voila vous savez tout sur ce DLC qui apporte une toute nouvelle mécanique avec un tueur intéressant mais qui est vraiment très difficile à jouer (pauvre Infirmière elle ne se sentira plus seule). Son prix est de 7.99€ est c’est disponible sur PC (via Steam et W10), Ps4, Ps5, Nintendo Switch, Xbox One, Xbox Series X/S et Google Stadia.