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Gigantic était un titre sorti initialement le 20 juillet 2017 et fermé quelques années après par manque de joueurs. Mais Arc Games (anciennement Gearbox) a décidé de sortir en 2024 une nouvelle version du titre sous la houlette cette fois-ci du studio Abstraction Games qui font renaître le titre sous une Rampage Edition avec le pari de le lancer payant. Vaut-il toujours le coup ? Je vous donne mon avis après plus de 100H de jeu et avoir testé tous les personnages !

Gigantic c’est quoi de base ?

Gigantic est un jeu de tir et d’équipe à la 3ème personne où dans cet environnement d’affrontement en arène, deux équipes de cinq joueurs s’affrontent, chacune accompagnée d’une imposante créature appelée Gardien. L’objectif suprême réside dans la chute de l’adversaire en renversant leur Gardien à l’aide de votre propre colosse, tout en exploitant ses points faibles exposés.

La victoire ne vient pas facilement dans cet univers impitoyable. Pour renverser définitivement le cours du combat, il faut infliger trois blessures décisives au Gardien ennemi. Les affrontements peuvent s’étirer sur de longues périodes, car avant même de songer à défier le Gardien adverse, il faut d’abord conquérir et sécuriser de petites bases disséminées sur la carte. Ces avant-postes stratégiques non seulement servent de points d’ancrage pour le contrôle de la zone, mais également d’ateliers pour invoquer des créatures aux pouvoirs variés, capables de guérir les alliés, de révéler les mouvements ennemis ou même de dresser des fortifications mais aussi de pouvoir ramasser la puissance que génère ses emplacements stratégiques.

Pour attaquer le Gardien ennemi, votre équipe doit accumuler 100 unités de puissance, et ce n’est pas seulement le contrôle des zones qui fera grimper le compteur. Éliminer les créatures adverses et les héros est également essentiel pour obtenir les ressources nécessaires afin d’infliger des dégâts dévastateurs. Mais soyez vigilant, lors de ces moments d’attaques de gardien, chaque mort dans votre équipe renforce le bouclier du gardien. En revanche, des éliminations dans les rangs adverses prolongent votre fenêtre d’opportunité pour infliger des dégâts.

Dans ce jeu, la stratégie d’équipe est primordiale pour la victoire. Avec un vaste choix de 25 héros, classés dans les catégories familières de DPS, Soutien (et non pas « healer » !), Tank et Flanc, les joueurs ont un éventail de compétences à leur disposition pour influencer le cours du combat. Au fil de la partie, chaque action du joueur lui permet d’accumuler jusqu’à 10 points, qu’il peut investir pour améliorer les compétences de son personnage. Une mécanique similaire à celle de Battleborn (faite le renaître lui aussi <3), mais avec une touche unique : la jauge de Focus. Cette jauge se remplit au fil des affrontements et permet aux joueurs de déclencher des attaques de zone dévastatrices ou de renforcer les créatures des bases capturées. La gestion habile de cette ressource devient rapidement un élément crucial de la stratégie, demandant un timing précis et une coordination parfaite entre les membres de l’équipe.

Les nouveautés, maigre soit-il mais bienvenue

Pour cette version Rampage, Gigantic se voit doté de quelques nouveautés, même si elles restent maigres. La plus grande nouveauté est l’ajout de deux nouvelles cartes aux trois du jeu de base, ainsi que deux nouveaux personnages. Pour les nouvelles cartes, Baie de Picaro et District Azur, elles offrent beaucoup plus de verticalité, notamment en hauteur, ce qui est parfait pour certains personnages qui avaient du mal à se rendre utile sur les cartes d’origine. En ce qui concerne les personnages, nous avons droit à Roland, un DPS équipé d’un fusil à pompe et d’un petit drone, et à Kajir, un nouveau Flanc dont le rôle est de gâcher la fête, surtout lorsqu’on est isolé ou qu’on représente une proie faible. Abstraction Games a fait du bon travail sur ces deux aspects, en proposant deux cartes intéressantes offrant un gameplay différent, ainsi que deux personnages inédits dotés de compétences uniques que l’on ne retrouve nulle part ailleurs.

L’autre nouveauté est le mode Rush, qui est une version rapide du mode Clash mentionné précédemment. Les parties sont nettement plus rapides car les gardiens n’ont qu’une seule vie et nous commençons directement au niveau 10 en éliminant l’aspect invocation de créatures. Le principe reste le même, mais nous devons ramasser les orbes et les cartes sont beaucoup plus petites, dynamisant ainsi le combat. Un nouveau mode de jeu sera également implanté via une mise à jour, simplement intitulé « Classé ».

Enfin, la dernière grande nouveauté est que le titre est désormais disponible sur Playstation, n’étant plus exclusif à la Xbox et au PC. Avec l’ajout du cross-play, cela devrait certainement pérenniser le jeu pendant un certain temps et maintenir une base de joueurs active. Cependant, un petit problème se pose ici : pourquoi rendre le jeu PAYANT alors qu’il était initialement gratuit ? Cela pourrait poser des problèmes quant à la fréquentation future du jeu, surtout s’il n’y a pas de phase d’essai gratuite pour tester et voir si le jeu plaît. Surtout que les débuts ont été compliqués…

Quelques problèmes qui peuvent gâcher l’expérience

Aïe, aïe, aïe… Il faut que j’en parle, mais les débuts sont compliqués. Commençons par ce qui est quasiment résolu : les problèmes de serveurs. Il était difficile d’accéder à une partie lors de la première semaine de lancement, et il persiste encore quelques soucis, avec des départs de partie prématurés simplement parce que le jeu se ferme. De plus, le processus de reconnexion au jeu est plutôt fastidieux, je dois bien l’avouer.

Un autre point que je souhaite aborder concerne les déconnexions ou les départs intentionnels des joueurs, ce qui crée un déséquilibre. Non seulement le joueur ne peut pas être remplacé, mais le plus frustrant, et c’est généralement le cas dans 90% des situations, est qu’il n’est pas remplacé par un bot efficace. En effet, bien qu’il y ait un bot en jeu, celui-ci est, comment dire… invincible. Vous pourriez penser que c’est une bonne chose quand il est dans votre équipe, mais quand il se retourne contre vous, la situation change. Le bot attaque tout ce qui bouge, que ce soit allié ou ennemi, et détruit même vos propres créatures. Cela ruine simplement l’expérience de jeu ! Et comme les problèmes de serveurs sont fréquents, cette situation se produit souvent…

Un autre problème, qui n’altère pas nécessairement l’expérience de jeu mais qui est vraiment incompréhensible, concerne le classement final de votre partie. À la fin de chaque partie, le jeu attribue un rang, allant de E à S+, indiquant votre performance. Cependant, ce système semble être défaillant, car même en réalisant une excellente partie, certains personnages n’obtiennent que des rangs bas (souvent D ou E). Il est rare, par exemple, que mon personnage Pakko (un Tank) obtienne un rang B (cela m’est arrivé seulement 4 fois sur 200 parties). En revanche, un personnage DPS comme Oru obtiendra systématiquement un S+, mais seulement en mode Rush. Ce système reste flou et j’espère qu’il sera corrigé, surtout s’il doit influencer nos performances en mode classé ou pour accomplir les défis des personnages.

Mon Pakko il est tout beau !

Parlons à présent du système de progression et des cosmétiques. Lors de notre premier lancement, tous les personnages ne seront pas disponibles. Il faudra jouer pour monter de niveau afin de débloquer des tickets de personnages et ainsi les déverrouiller. Ce n’est pas si difficile à faire ; en une dizaine de niveaux, tout est débloqué. Et c’est parfait, car le jeu ne nous lance pas directement dans le mode Clash, mais reste en mode Rush pour permettre aux nouveaux joueurs de se familiariser avec le titre, avec bien sûr un petit tutoriel pour nous guider au moment opportun.

À la fin de chaque partie, nous gagnerons de l’expérience, qui nous permettra de monter les niveaux de nos personnages, augmentant ainsi notre niveau de profil joueur. Il sera également possible de monter de niveau grâce aux cartes du Destin, qui sont des défis généraux ou spécifiques aux personnages. Ces cartes nous donneront de l’expérience ou même des crédits, nous permettant notamment d’acquérir des skins de personnages. Certains défis permettront même de débloquer un skin ou des titres ! Les défis sont très variés et peuvent impliquer un nombre d’ennemis tués, des parties jouées ou une quantité de dégâts infligés aux Gardiens adverses. Vous l’avez compris, tout se gagne en jouant, aucun achat supplémentaire ne sera nécessaire, et c’est une volonté de la part du studio. C’est dommage, j’aurais préféré suivre la tendance des Battle Pass payants avec une partie gratuite, que l’on pourrait choisir d’acheter ou non, avec uniquement des récompenses esthétiques et une sortie gratuite. Mais cela n’est que mon avis. Il est louable de sortir un jeu sans demander un centime de plus que le titre.

Graphismes & Audio

D’un point de vue graphique, le titre conserve son apparence depuis sa sortie en 2017. Le jeu arbore des graphismes corrects genre cartoon et sympathique, mais reste fidèle au même moteur graphique que le jeu original, à savoir l’Unreal Engine 3. Ainsi, nous sommes confrontés à des textures relativement grossières et à des effets qui semblent provenir d’une autre époque. Il n’est pas rare, en début de partie, de voir le jeu peiner à atteindre les 10 FPS, mais c’est simplement le temps que le jeu se charge complètement. De même, lors de gros affrontements, il peut y avoir une chute de FPS… Est-ce un problème propre à la version Xbox ?

En ce qui concerne la bande-son, peu de changements sont à signaler. Chaque personnage bénéficie bien d’un doublage français, ce qui est appréciable. Cependant, les thèmes musicaux manquent d’originalité et ne parviennent pas à marquer les esprits.

Conclusion

Personnellement, je suis ravi de retrouver ce jeu qui a fermé ses portes trop tôt. J’ai adoré y jouer en 2017 et en 2024, je me sens toujours comme un enfant découvrant un nouveau jouet à Noël en jouant à ce titre. Cependant, soyons honnêtes, cette nouvelle édition est un peu décevante, surtout en ce qui concerne les aspects visuels et sonores qui n’ont pas évolué. J’aurais espéré un peu plus d’audace de la part d’Abstraction Games pour leur jeu, plutôt que simplement reproduire le même schéma en ajoutant deux nouvelles cartes et deux nouveaux personnages. J’espère sincèrement que le studio nous offrira davantage et qu’il continuera à soutenir le jeu sur le long terme, car le jeu en vaut vraiment la peine, même s’il est payant.

points positifs

  • Un gameplay dynamique pour des parties bien nerveuses
  • Un tuto très bien conçu
  • Tout ce déverrouille en jouant
  • 2 maps & 2 personnages nouveaux
  • Juste, retrouver Gigantic 7 ans après

points négatifs

  • Les serveurs pas encore masse optimisés
  • Les bots invincible qui attaque même sa propre équipe
  • Même moteur graphique / audio qu’en 2017
  • On en veut un peu plus

Frostpunk est un jeu de gestion de ville couplé à un jeu de survie sur PC sorti le 24 avril 2018 sur PC. 11bit studio déjà à l’origine de The Thaumaturge nous a offert un accès à la bêta du deuxième opus de Frostpunk qui sortira le 25 juillet 2024 sur PC, Playstation 5 et Xbox série X/S.

L’apocalypse glacière

Frostpunk 2 nous place dans une apocalypse glaciaire survenue il y a 30 ans. Notre monde n’est plus qu’un désert de glace où la race humaine tente de survivre dans des colonies. Et c’est là que vous intervenez, vous êtes le maire d’une de ces colonies et vous allez devoir faire des choix afin d’éviter que votre colonie ne meurt. 

Et bien sûr, vous allez vous faire des ennemis, faire face à des imprévus, des accidents. C’est tout ce qui fait le piment de Frostpunk 2. Un jeu qui mêle survie et gestion tout en étant relativement dur.

Nous avons eu accès à la version bac à sable de Frostpunk 2, nous ne pourrons donc pas juger sur le mode histoire.

Frostpunk 2 une gestion à la dure

Pour survivre votre colonie se regroupe auprès d’un gigantesque fourneau qui vous préservera du froid mortel. Et votre première action sera de trouver une source d’énergie. Votre but sera de créer des quartiers qui assureront votre survie. Vous allez devoir créer des quartiers spécialisés qui vous permettront de loger vos habitants, d’importer des matières premières, de trouver de nouvelles technologies etc… 

Sur le papier c’est simple, mais le jeu ne va pas vous faciliter la tâche, entre les épidémie, les vagues de froid ou les accidents, attendez vous a voir vos ressources fluctuer et passer dans le rouge assez souvent. et en général cela signifie la perte d’un nombre conséquent d’habitants.

Une dimension sociale appuyée

Une autre partie très intéressante de Frostpunk 2 tient en sa partie sociale. En effet, au fur et à mesure de votre partie, vous allez rencontrer de nouvelles factions interne à votre ville. Et chaque faction représente un pourcentage dans votre ville. Et il faudra faire votre maximum afin de prendre les décisions qui ne lâcheront pas les factions les plus influentes. Car sinon gare à la mutinerie !

C’est un aspect vraiment intéressant qui vous laisse toujours sur un fil. Si vous avez d’ailleurs le temps, je vous conseille les let’s play narratif de JDG sur le premier opus qui reflètent vraiment cet aspect.

Graphiquement amélioré

Pour avoir vu quelques vidéos de gameplay du premier opus. Nous pouvons clairement annoncer que graphiquement Frostpunk 2 est plus beau que le premier opus. Comme il s’agit d’un jeu de gestion, ne vous attendez pas à voir des graphismes ultra précis. On gère une ville après tout. Mais je dois admettre que c’est relativement beau et que l’on peut voir les détails sur chaque quartier et aisément reconnaître leurs fonctionnalités.

Conclusion de la preview de Frostpunk 2 sur PC

Cette bêta de Frostpunk 2 était vraiment agréable. Même si je n’ai pas eu accès à la partie narrative, ce mode bac à sable est complet et nous permet de voir tous les aspects du jeu. Au final, devoir gérer l’aspect survie et l’aspect social afin d’éviter l’effondrement de votre colonie  est un vrai challenge que j’ai hâte de découvrir au mois de juillet, le 25 plus précisément.

Pros

  • Un jeu de gestion bien pensé
  • Une dimension social au top
  • Difficulté bien dosée

Cons

  • Pas d’accès au narratif

Metal Gear Solid est une saga que l’on ne présente plus débutée en 1987 sur Nintendo Nes, elle compte à l’heure actuelle plus de 20 jeux. Et Konami nous offre le premier opus d’un série d’une collection des meilleurs jeux de la série. C’est d’ailleurs 4 jeux de la série qui vous sont proposé dans ce volume1.

Metal Gear Solid (1998)

Commençons par le jeu le plus emblématique je parle bien sur de Metal Gear Solid, le légendaire jeu sorti en 1988 sur Playstation (ca fout un hein?). S’il y avait un jeu qui avait besoin d’une refonte complète au niveau de ses graphismes, de son gameplay, de ses performances et de tout le reste dans cette collection particulière, c’est bien ce classique emblématique de 1998.

J’ai l’impression que cette version de Metal Gear Solid est la même que celle incluse dans la PS1 Classic. Elle tourne mal. Elle semble étirée. Pour aggraver les choses, même le placement des boutons n’a reçu aucune amélioration : vous êtes obligé d’accepter avec le bouton B et de refuser avec le bouton A. Rien d’autre n’a été ajouté ou amélioré. Même le ratio d’aspect n’a reçu aucune amélioration, le jeu continuant de fonctionner en format 4:3.

Bien sûr, c’est toujours un classique, et tout le contenu présent dans Integral, que ce soient les modes supplémentaires ou les centaines de niveaux d’entraînement en réalité virtuelle, est inclus. Du point de vue du contenu, vous obtenez l’expérience complète. Malheureusement, entre les graphismes semblables à Roblox, les performances médiocres, le mélange sonore déplorable malgré un doublage vocal fantastique, les textures étirées, le manque de configuration des boutons, ou tout autre aspect qui serait le strict minimum pour considérer ce jeu comme un remaster, c’est facilement l’inclusion la plus décevante dans le package Metal Gear Solid: Master Collection Vol. 1.

Metal Gear Solid 2: Sons of Liberty (2001)

À l’époque, Sons Of Liberty était considéré comme un jeu controversé. Snake n’était pas le personnage principal jouable. De nos jours, dire que vous aimez Raiden en tant que protagoniste de Metal Gear Solid n’est même plus controversé. Konami a passé près d’une décennie à essayer de redorer son image, le transformant d’un gamin blond pleurnichard dans Metal Gear Solid 2 au cyber-samouraï le plus cool de tous les temps dans Metal Gear Solid 4 et Metal Gear Rising: Revengeance.

Il a peut-être vieilli de manière surprenante, car nous connaissons maintenant son importance dans l’intrigue, mais bon sang, ce jeu est étrange. Certains de ses moments, juste à la fin de l’histoire, ont peut-être été les moments les plus effrayants. Son rythme est un peu décalé, ses environnements peuvent être un peu répétitifs, et certains de ses personnages sont totalement oubliables (Fatman ? Fortune ? Bof).

En ce qui concerne le remaster, eh bien, il s’agit de la même version développée par Bluepoint, sortie sur Xbox 360 et PS3. Je n’exagère même pas : on est accueilli par les mêmes logos HD Collection et Bluepoint en le lançant. Dans un sens, je comprends, c’est une déception… si ce n’était pas pour le fait que ces remasters de Bluepoint sont tout simplement parfaits. En ce qui concerne les améliorations visuelles, la physique et les performances, je ne pense pas qu’il y ait beaucoup à faire pour porter ce jeu de la Ps3 à la Ps5. La seule différence réside dans le chargement considérablement amélioré, grâce aux SSD de la Ps5.

Metal Gear Solid 3: Snake Eater (2004)

Que vaux le remaster jeu meilleur jeu de la série : Snake Eater, le meilleur jeu de la série et l’un des plus grands jeux de tous les temps ? En 2004, ce jeu était pratiquement sans défaut. Une fois remastérisé par Bluepoint, le jeu a continué à être pratiquement sans défaut, mais désormais adapté à un paysage de jeu moderne en HD au format 16:9.

L’intrigue, les personnages, les moments mémorables, cette chanson thème incroyable… Snake Eater est simplement l’une des plus grandes expériences de jeu de tous les temps. Il est clair que si l’on ne devait jouer qu’a un seul jeu de la série, ce serait celui là.

Qu’y a-t-il d’autre à dire ? Certes, il n’y a rien de nouveau dans cette remasterisation (même les succès sont les mêmes que ceux de la HD Collection sur Xbox 360)… et alors ? Qu’auriez-vous inclus dans cette remasterisation en particulier ? N’oublions pas que Konami est actuellement en train de refaire le jeu avec l’Unreal Engine 5.

Les jeux 8 Bit (1987-1990)

J’apprécie le fait que Konami ait inclus tous les jeux Metal Gear Solid 8-bit précédemment sortis dans la collection, en tant qu’expériences autonomes. Cela semble un peu étrange quand on s’arrête et qu’on pense au fait qu’une poignée de jeux 8-bit ont reçu plus de polissage en remastering que certains des jeux les plus célèbres de tous les temps dans une collection, mais bon, je ne vais pas dire non à plus de jeux dans un seul package.


Il y a quatre titres 8-bit disponibles dans ce package : les deux Metal Gears MSX et les deux Metal Gears NES. Ces deux derniers sont la plus grande surprise de toute cette collection, non seulement parce qu’ils n’avaient pas été inclus dans la précédente HD Collection de l’époque.

Le seul Metal Gear 8-bit qui vaut la peine d’être mentionné, pour être honnête, c’est Metal Gear 2: Solid Snake, un jeu d’infiltration incroyablement ambitieux selon les normes 8-bit, avec de nombreuses mécaniques immersives, des options de dialogue, une intrigue profonde, et des détails de l’intrigue importants qui auraient un impact sur Metal Gear Solid, huit ans plus tard. Si vous voulez vraiment savoir pourquoi Snake respecte autant Grey Fox, ou ce qu’est même Zanzibar, vous devez jouer à Metal Gear 2.

Conclusion du test de METAL GEAR SOLID: MASTER COLLECTION VOL. 1 sur PS5

Metal Gear Solid: Master Collection Vol. 1 est, on peut le dire, une collection de remaster un peu paresseuse. Elle comprend deux remasters copiés-collés par Bluepoint sortis il y a une décennie, et un port médiocre de Metal Gear Solid, probablement extrait directement des entrailles de la PS1 Classic. Cela dit, ce sont toujours des jeux phénoménaux (bon, Metal Gear Solid a vieilli comme jamais, mais l’idée est là), et ils valent bien votre temps. j’ai pris beaucoup de plaisir à rejouer à ces classiques intemporels, et j’attends avec impatience le deuxième volume de la collection.

Pros

  • Une belle entrée en matière pour se familiariser à la série
  • Prix correct
  • Portage de Metal Gear Solid 3 au top
  • La totalité des jeux NES

Cons

  • Metal Gear Solid toujours aussi mal optimisé
  • Portage minimum sur certain jeux
  • il manque certains opus plus intéressant

Et toi seras-tu bien travaillé ?

Découvre la ville Porcupine en enfilant la blouse blanche de Finley, un jeune médecin qui commence sa carrière à l’hôpital de Saint-Ursuline. Les saisons passent. La vie suit son cours. Mais tu vas bientôt comprendre que les apparences sont trompeuses : tout le monde n’est pas vraiment honnête et les études de médecine ne préparent pas toujours à la réalité du terrain. L’équilibre entre vie professionnelle et privée que Finley s’efforce d’atteindre pourrait bien être compromis.

Fall of Porcupine est une aventure narrative unique : un choc entre la vie professionnelle et la vie quotidienne, et une réflexion sur notre système de santé déséquilibré.

Attention !

Fall Of Porcupine, mets en garde certain joueur au début du jeu donc fait attention si le jeu t’intéresse, ce jeu ne convient pas à tout le monde. Faite aussi attention à qui tu le donnes.

Le menu du jeu

Le menu du jeu est plutôt simple, il n’y a pas beaucoup de choses mais on nous donne tout de même des trucs plutôt intéressants.

C’est surtout le menu des options qui est intéressant pour tout te dire. Il est tout de même bien fourni.

Dommage que la possibilité de supprimer sa partie soit cacher dans le menu des options, je pense que c’est mieux qu’il soit mis un peu en avant pour pouvoir le faire.

La musique

La musique du jeu est plutôt agréable c’est pour ça que je permets cet arrêt avant de passer aux choses sérieuses. C’est plutôt sympa même hors-jeu de les écoutais, je ne sais pas si tu fais ça mais voila moi j’aime bien de temps en temps.

Les graphismes

Les graphismes du jeu sont plutôt sympas et colorés, on apprécie de voyager dans l’univers du jeu avec la musique en fond c’est plutôt agréable.

Au fur et à mesure on découvre de nouveau lieu et on a envie de tout voir en se promenant. L’écran de chargement est plutôt sympa, heureusement car je t’avoue il y en a tout de même beaucoup même si ils sont courts ça reste tout de même bien que sa gâche pas le jeu.

J’apprécie aussi comme ce passe les changements de tenue en changeant de lieu, ce n’est peut-être pas grand-chose mais ça reste tout de même plutôt plaisant.

Les dialogues

Les dialogues sont plutôt sympas et son sous-forme de bulle, on rencontrera beaucoup de personnage dans Fall Of Porcupine, ce qui peut faire perdre certains joueurs, mais pas de panique.

Les bulles sont plutôt simples à lire on à pas besoin d’effort ce qui est plutôt agréable pour suivre l’histoire.

Comme je te l’ai dit, pas de panique car même si tu as beaucoup de personnage, tu as l’arme ultime pour savoir qui est qui et t’en rappelais. Ton téléphone portable. Oui, celui que tu as en jeu.

Ton smartphone qui propose d’ailleurs des menues sympas ! mais quand tu vas dans les notes, tu auras des notes sur les personnages et quand tu iras dessus tu pourras voir une présentation de chaque personnage, pense à le consulter régulièrement, que ce soit après la conversation avec un nouveau personnage etc.Tu pourras découvrir plus sur lui mais aussi te rappeler qui est et qui.

Ce n’est pas bien ça ! Pense à la vie privée des gens voyons !

Si toi aussi tu es curieux sache que le jeu te permettra toujours via ton smartphone, de voir des messages échanger que ce soit les anciens comme les nouveaux, c’est plutôt sympa d’avoir mis les anciens messages, sa rajoute un peu de vie.

Ça permet aussi d’en lire un peu plus sur les personnages je trouve.

Les succès

Le jeu est traduit c’est vraiment cool oui, mais le petit bémol je trouve c’est qu’ils auraient pu les traduire aussi en sachent qu’il y en a des sympas à faire. Ce serait cool pour ceux qui aiment platiner leurs jeux vidéo. Ce qui te fera un peu plus de contenu après avoir fini le jeu je pense.

Le gameplay

Les touches sont plutôt simples à comprendre dans ce jeu, elles sont plutôt faciles à prendre en main et à comprendre.
Le jeu nous proposera plusieurs styles de jeu différents durant notre aventure, ce qui nous fera toucher un peu à tout.

un petit souci que le jeu a, c’est que parfois on aura du mal à se diriger et de savoir où sauter donc il faudra parfois un petit moment pour comprendre où il faudra aller.

Ta journée sera rythmé et découpé en plusieurs taches, toutes un peut plus différente que les autres, il te faudra surtout bien travailler car ta supérieure te notera à la fin de tes journées sur chaque petite chose que tu feras. du coup à la fin tu auras une note globale ce qui peut être amusant si tu veux faire mieux à chaque fois.

Chaque tache sera sous forme de petit jeu à réussir, chacun différents, parfois ça sera simple et par moments il te faudra un peu plus de concentration.
Ils sont tous un peu varier ce qui est plutôt plaisant je trouve

il faudra tout de même faire attention car l’hôpital est assez grand donc attention à toi de ne pas te perdre quand tu auras à te déplacer. même si ça sera agréable de se balader dedans il ne faut oublier que tu as une mission comme tu es médecin.

Le jeu

Ce que j’apprécie aussi dans ce jeu malgré les thèmes plutôt sérieux c’est aussi qu’il y a des moments drôles qui te feront sans doute rire ou sourire. En tout cas moi ça a été le cas, même si ce n’est pas grand-chose des fois ça reste tout de même drôle.

Que vaut Fall of Porcupine ?

Le jeu est plutôt plaisant, même si je ne le mettrais pas entre toutes les mains vues certains sujets mais en soi j’apprécie ce test, il m’avait intrigué ce jeu, j’ai craqué, je ne regrette pas d’avoir fait ça, c’était une bonne petite surprise je trouve, même si le jeu reste tout de même court. Le jeu est sortie sur plusieurs plateformes ce qui nous laisse une grande variété de choix. Le jeu reste à un prix raisonnable de 19.99 ce qui est plutôt bien pour un petit jeu sorti en 2023, je le conseille oui, peut-être pas à tout le monde mais ce jeu reste pour moi une bonne découverte, alors à toi de voir si tu veux tenter l’aventure ou pas.

Points positifs

  • L’histoire
  • La musique
  • Les graphismes
  • La petite place du jeu
  • Un prix plutôt raisonnable
  • Les paysages magnifiques a regardé
  • Un gameplay plutôt simple
  • Des succès à faire plutôt sympa après une partie

points négatifs

  • La non-traduction des succès
  • Des fois un peu perdu quand on ne sait pas ou sauter
  • Des sauvegardes des fois un peu éloigner si on veut quitter

Sorti originalement le 14 sept. 2023 sur PC uniquement et payant, la suite du premier opus de Deceit nous parvient en ce mois d’avril 2024 sur PS5 et Xbox Series en plus avec cette fois-ci une sortie Free to Play. Les joueurs étaient déçu du lancement, mais est-ce que cette nouvelle version FTP est mieux ? Nous allons le voir tout de suite !


Petit message avant la lecture du test : Les images sont de mauvaise qualité car je n’ai pas pu les récupérer via l’application Microsoft, qui présentait un bug et de plus la partie que j’ai lancé à durer 2 mins vu que je me suis fait voter par cette communauté cancérigène dont je parles plus tard dans le test. Dès que la situation sera rétablie, je vous fournirai des images de meilleure qualité ainsi que d’autres photos pour illustrer.

Deceit II c’est quoi ?

Dans le monde sombre et retors de Deceit 2, l’horreur et la suspicion s’entrelacent dans un jeu en ligne captivant. Prenez part à une expérience unique où la terreur règne en maître, où les innocents cherchent désespérément à survivre, et où les maudits manipulent les ombres pour semer le chaos.

Plongez-vous dans une partie palpitante avec jusqu’à neuf joueurs, où chaque décision peut signifier la différence entre la vie et la mort. Deux cartes distinctes vous attendent, chacune imprégnée d’une atmosphère oppressante et d’un danger latent. Lorsque la voix mystérieuse vous implore de collecter des âmes, le véritable défi commence.

Parmi les neuf âmes en jeu, six sont des innocents, dont la mission est de rassembler 45 âmes pour obtenir la précieuse clé de l’évasion. Mais méfiez-vous, car deux des neufs joueurs sont des agents de terreur, déterminés à manipuler les ténèbres pour éradiquer leurs adversaires. Pendant le jour, les terreurs se fondent parmi les innocents, cherchant des mutations dans les lieux de rituel pour renforcer leur pouvoir. Mais quand la nuit tombe, appelé l’entre deux tours, ils se métamorphosent, traquant les âmes innocentes pour les enfermer dans les abysses.

Dans ce ballet macabre, l’entre-deux tours plonge les joueurs dans un océan de doutes, où les joueurs ne deviennent que des ombres afin de faire cogiter notre matière grise. Enfin il reste une personne dont je n’ai pas parler : le maudit. Doté de deux rôles distincts, le maudit peut se métamorphoser en une figure bannie et prendre son rôle, mais pour les plus audacieux, le maudit peut embrasser le rôle de chimiste, où son but sera de répandre du poison à tous les joueurs avec habileté pour accomplir sa sinistre destinée et remporter la partie. Cependant celui-ci est disponible dans le pack DLC inaugural du jeu « Wereworlf ».

La cohésion de groupe et la communication mis en avant

Deceit 2 ressemble beaucoup au type de jeu qu’on peut tous connaître, Among us ou encore Project Winter. Et l’un des point fort, c’est indéniablement la communication. Nous pouvons parler dans le jeu avec la simple pression du bouton LB et tout le monde nous entends. Bien sûr, plus vous êtes éloignés, moins on vous attendra, voir pas du tout, comme un chat de proximité. C’est moment de discussion permettrons d’échanger avec les autres joueurs, de savoir un peu comment ce passe leurs progression mais aussi de mettre du doute à votre gameplay. Bien sur, les terreurs pourront communiquer aussi entre eux avec un canal réservé à eux, il faudra juste faire attention de ne pas faire l’erreur d’être dans le mauvais canal.

Il est crucial d'aborder un sujet qui détruit l'expérience de jeu : les serveurs français et leurs communautés, en particulier sur PlayStation (ce n'est pas une critique des consoles, mais une observation alarmante). À chaque partie, vous rencontrerez invariablement un perturbateur. Cela peut aller du joueur agaçant avec sa musique à un groupe déterminé à ruiner la partie en divulguant les informations dès leur mort, criant sans raison que tel ou tel joueur est coupable, juste pour gagner ou simplement vous voter gratuitement en vous insultant de tout les noms et sans pouvoir prendre la parole. Mais ce qui est encore plus préoccupant, c'est la présence de racisme et d'homophobie parmi les joueurs. Cette tendance est troublante, surtout lorsque l'on entend la jeunesse de ces joueurs, dont la voix trahit rarement plus de 15 ans. Je me demande si cela est spécifique à la France ou si je deviens simplement un vieux grincheux, mais à un moment donné il faut le souligner surtout que cela impact la qualité d'un jeu.

L’autre élément crucial réside dans la solidarité du groupe, car nouer des alliances s’avère vital pour mener à bien nos missions. Imaginez le scénario : vous gagnez la confiance d’un camarade innocent qui se révèle être en fait un Gardien. Cela vous assure une protection si vous vous retrouvez face aux terreurs. À l’inverse, si vous avez pour collègue un innocent qui a le pouvoir de bannir et que vous entrez en conflit avec lui, cela peut mettre en péril deux vies au lieu d’une. La vigilance et la qualité de notre communication deviennent donc des éléments essentiels. Mais pour vous aidez dans votre progression et vous défendre, une boutique vous finira des objets qui peuvent être utiles dans les deux camps.

On est un peu jeté la gueule dans le loup

Abordons maintenant le principal défaut de Deceit II, un manque criant d’explications et de tutoriels. Si vous avez déjà joué au premier opus, vous vous en sortirez probablement. Mais pour un nouvel arrivant, c’est un véritable casse-tête. Pas de tutoriel à proprement parler, juste une longue série de textes qui tentent de tout expliquer sur le jeu. Même avec cela, les premières parties sont souvent chaotiques, et on se sent désorienté. Une introduction avec une IA ne serait pas de refus, surtout pour appréhender les mécaniques du jeu. Observer les nouveaux joueurs errer dans la carte met en lumière le besoin d’une initiation, surtout pour les vétérans sur PC qui maîtrisent le titre depuis septembre 2023 et peuvent facilement prendre l’avantage.

Même les tâches à accomplir, bien que pas très compliquées en soi, demandent un certain effort intellectuel. Par exemple, au lancement du jeu sur Xbox, une quête vous demande de répondre à une question liée à la carte via un téléphone. Mais en tant que nouveau joueur, vous ne connaissez aucune réponse. Avec le temps et l’expérience, vous les apprenez, mais les nouveaux joueurs peinent. Heureusement, depuis le patch de mi-saison, le studio a simplifié la tâche en fournissant les réponses (c’est même devenu trop facile). Il est dommage de ne pas trouver un juste milieu ou de fournir une assistance uniquement aux nouveaux joueurs lors de leurs premières parties.

Le passage en Free to Play ouvre la voie aux cosmétiques

Depuis le mois dernier, le studio a décidé d’adopter un modèle gratuit pour Deceit II, une décision saluée, surtout compte tenu du fait que le premier opus était déjà accessible sans frais. Cette transition a ouvert la voie à un système de progression permettant de débloquer une multitude de skins et de titres dans le jeu. Désormais, Deceit II propose un passe similaire aux pass de combat, où l’expérience gagnée en jouant permet de faire progresser son niveau. Il va de soi que cette progression est purement cosmétique et n’introduit aucun élément de pay-to-win. Tant une version gratuite que payante sont disponibles, et le prix d’entrée est abordable, s’élevant à seulement 5€.

Un point qui me préoccupe davantage est l’introduction d’un premier DLC (mentionné précédemment), qui introduit une nouvelle terreur et un nouveau rôle pour le maudit. Je trouve regrettable que cela ne soit pas proposé gratuitement à tous les joueurs. Le rôle du maudit étant déjà complexe, le nouveau rôle de Chimiste le rend beaucoup moins. Il est beaucoup plus facile à maîtriser, car il suffit de empoisonner les autres, ce qui se fait simplement avec le temps. De plus, jouer avec des amis qui savent que vous possédez le DLC peut rapidement compromettre votre rôle, que vous incarniez une terreur ou un maudit.

Enfin, la progression des joueurs, qui est indépendante pour chaque rôle, permettra de remporter des titres et des cosmétiques, et chaque joueur se verra attribuer un rang global. Pour obtenir des titres, il faudra relever des défis disponibles dans le menu Ascension, avec des niveaux de rareté de plus en plus difficiles à atteindre, ce qui permettra également d’augmenter la rareté de vos implants.

Graphisme & Audio

Explorons maintenant les facettes graphiques et sonores de Deceit II. Les visuels se situent dans la moyenne sans vraiment se démarquer. En réalité, de nombreux éléments tels que les personnages, les monstres et les objets semblent manquer de finition. Malgré une atmosphère générale solide et angoissante, avec son lot d’éléments effrayants et macabres, la qualité graphique laisse parfois à désirer de manière flagrante. De plus, l’immersion est souvent brisée par quelques chutes de FPS fréquentes, des problèmes de performance où encore on se bloque dans certaines textures.

La bande-son ne fait pas non plus l’unanimité. Le thème musical du menu principal est criard, puissant et inutilement dramatique, un choix étonnant pour un jeu au thème démoniaque. On aurait pu s’attendre à une musique plus subtile, étrange et effrayante. Le placement des sons est également contestable, avec des effets sonores forts surgissant à des moments incongrus, ajoutant à la confusion générale lors des premières parties.

En ce qui concerne le chat vocal, la qualité laisse à désirer, voire même est désastreuse à certains moments, sans que l’on comprenne pourquoi. Bien que le chat de proximité fonctionne, il est loin d’être optimal et il est souvent difficile de comprendre les autres joueurs. Il arrive même parfois que, entre deux parties, le micro ne fonctionne pas du tout, sans que l’on en comprenne la raison…

Conclusion

Deceit 2 est un excellent jeu de déduction multijoueur mais entaché par un chat vocal dont la qualité laisse à désirer mais aussi par une communauté française désastreuse. Les games sont plaisantes, les tâches à faire aussi et le sentiment de cohésion est présent. Je ne peux que vous recommandez ce jeu si vous souhaitez jouer avec vos amis, comme de bonnes soirées Among Us, mais difficile de vous le recommander en casual avec cette communauté qui détruit ce type de jeu.

Points positifs

  • Le titre est devenu Free to play
  • Crossplay entre PC PS5 et Xbox series
  • La cohésion et la communication la clé est de mise
  • Possibilité de jouer en partie perso et de progresser

Points négatifs

  • Le manque d’un vrai tutoriel pour les nouveaux
  • Le chat vocal pas optimisé
  • Les serveurs FR et sa communauté

AFIL Games est un studio indépendant à l’origine de 21 jeux allant du jeu de puzzle, au jeu d’action en passant par celui qui nous intéresse avec un jeu Rogue Lite, Et ce jeu c’est Gladiator’s Arena qui sortira le 18 Avril 2024 sur Playstation et Steam

Gladiator’s Arena un concept simple

Comme son titre l’annonce Gladiator’s Arena est un jeu de gladiateur. Avec du sang des monstres. Rien de vraiment étonnant au final. Le concept est simple, vous contrôlez un gladiateur qui va affronter des vagues d’ennemis. Chaque ennemi vous rapportera de l’argent que vous pourrez ensuite dépenser en augmentation de statistiques ou en nouvelles capacités.

 Au début de chacun de vos essais, vous pourrez choisir une arme. Seulement deux sont disponibles au début, une épée et un bouclier. Mais vous pouvez en débloquer 5 de plus en réussissant de petits défis du genre tuer 30 ennemis sans vous faire toucher. Chaque arme dispose de ses caractéristiques particulières, la lance à une bonne portée mais fait moins de dégâts que le marteau.

Un gameplay enfantin

Oui c’est le mot Gladiator’s Arena est enfantin mais c’est pas plus mal un peu de simplicité. Vous pouvez jouer avec simplement 2 touches. Le X vous permet de dasher pour esquiver et le carré d’activer les autels. 

Ces autels vous offrent des bonus de caractéristiques comme une accélération de votre vitesse d’attaque, plus de vie, plus d’armure etc. Vous pouvez aussi avoir de nouvelles capacités comme déclencher une pluie de flèche, provoquer un tremblement de terre etc. 

Et pour pouvoir les débloquer ya pas de mystère, va falloir tuer du monstre à la chaîne. Son aspect die and retry se présente sur le fait que si vous mourrez, vous gardez l’argent qui peut vous permettre d’acheter de puissant passif beaucoup plus cher que ceux obtenable dans vos runs qui seront d’ailleurs à chaque fois unique.

On peut toutefois regretter le fait qu’une fois la première vague d’ennemis vaincus, le reste arrive au goutte à goutte et ça devient très facile.

Gladiator’s Arena graphiquement parlant

Pour ceux qui aiment les pixels, Gladiator’s Arena est fait pour vous. Je ne suis pas particulièrement fan de ce type de graphismes mais là c’est agréable à voir et à prendre en main. Au final pour un si petit jeu c’est un sans faute de ce côté là.

Conclusion du test de Gladiator’s Arena sur Playstation 5

Sans aucune prétention Gladiator’s Arena vous permettra de passer un agréable moment. Très facilement platinable (en 16 minutes pour être précis), il saura vous occuper si vous avez quelques minutes à occuper. Si on ajoute un prix de seulement 2.99 euros sur Steam vous ne regretterez pas votre argent.

Pros

  • Gameplay simple
  • Tout petit prix
  • Chaque run est unique

Cons

  • Un poil répétitif

En ce début d’année 2024, il est indéniable que l’univers vidéoludique a été enrichi par de nombreuses sorties, notamment dans le domaine des RPG. Alors que nous attendons avec impatience le prochain opus d’Eyuden, c’est au tour de Vanillaware de nous proposer son dernier titre : Unicorn Overlord. Mais la question qui se pose est la suivante : cet opus est-il à la hauteur, voire même surpassera-t-il la précédente production du studio ?

L’Histoire derrière Unicorn Overlord

Unicorn Overlord nous transporte dans les méandres du continent de Fevrith, jadis sous la férule de l’Empire Zenoirien. Depuis la chute de cette puissance ancestrale, cinq nations ont émergé de ses ruines : Cornia, Drakengard, Elheim, Bastorias et Albion. Ces nations coexistent dans une harmonie relative, peuplées d’individus de races diverses et variées. Bien que les humains prédominent, un monde médiéval ne saurait être complet sans la présence d’autres créatures humanoïdes ou bestiales, issues des légendes et folklores du monde entier. Comme tout bon récit de stratégie, la tranquillité initiale est rapidement perturbée par une menace obscure.

L’histoire s’ouvre sur le Royaume de Cornia, alors que le général Valmore, désormais connu sous le nom de Galvius, se retourne contre la Reine Ilénia. Son dessein : restaurer l’Empire défunt en conquérant l’ensemble du continent. Dans un ultime acte de courage, la reine confie son fils à Joseph, l’un de ses plus vaillants chevaliers, avant de se lancer dans la bataille, gagnant ainsi un précieux répit tandis que son enfant s’échappe sous la protection de Joseph.

Dix années ont passé. Alors que Galvius a étendu son empire sur le monde, une quête mystérieuse le mène finalement à l’île de Parévia, à l’ouest du Royaume de Cornia, où le prince Alain a été élevé et formé par Joseph durant une décennie. Avec les modestes forces de l’île, formant une armée de libération, nous repoussons l’invasion. De retour sur les côtes de Cornia, le prince Alain prend la tête de cette armée rebelle, déterminé à contrecarrer les plans de l’Empereur Galvius. L’assaut sur Parévia révèle également que tous ne sont pas nécessairement ralliés à l’Empire Zenoirien. Ainsi commence la quête pour libérer Fevrith.

Pour connaître le dénouement de cette histoire, il faudra investir une bonne quarantaine d’heures, voire moins pour les amateurs de ce genre de récits, avec bien sûr la promesse d’un contenu additionnel pour prolonger l’aventure. L’écriture reste fidèle aux codes du genre, mais malheureusement ici, est un peu ternis au niveau de l’écriture de personnages qui est complétement mis de coté à cause du nombre de personnages que l’on va rencontrer.

Le monde est votre champ de bataille

La stratégie est au cœur de chaque bataille. Pour mener à bien la conquête libératrice, la carte de Unicorn Overlord devient votre terrain de jeu. Chaque niveau est une épreuve unique, mais avec un objectif commun : la capture de la base ennemie. Votre arsenal stratégique repose sur le déploiement de troupes à partir des bases que vous contrôlez, en utilisant vos précieuses réserves de bravoure (PB). Cette ressource, gagnée en éliminant des ennemis ou en capturant des points stratégiques, est également nécessaire pour activer les compétences spéciales de chaque classe.

Pour ce faire, vous allez créer en amont des batailles des escouades qui pourront être améliorer, d’une par la taille du groupe mais aussi par les nouvelles classes que vous obtiendrez durant votre périple. Il faudra bien étudier le champs de bataille et ainsi sortir les meilleurs escouades qui pourront vous donnez un avantage sur le terrain.

Il est possible aussi de rappeler une escouade en la faisant revenir au point de commandement et regagner 1 PB. Puis utiliser ce point dans une compétence ou alors déployer un groupe d’unités à un autre point. Cela devient notamment possible en capturant des points stratégiques du champ de bataille, permettant ainsi de déployer des unités à un poste de commandement plus avancé et gagner du temps de déplacement. Cela donne également une importance à la capture des forteresses ou villes du champ de bataille.

L’autre point pertinent de ces captures, c’est la possibilité de pouvoir laisser nos unités se reposer à un endroit bien plus sûr que dans un lieu random du champ de bataille. En fait, nos groupes d’unités ne peuvent pas combattre indéfiniment, tous ayant un chiffre symbolisant leur endurance. Une fois à 0, le groupe est à la merci des ennemis sans possibilité de riposte. Le groupe doit ainsi se reposer un temps pour regagner de l’endurance et est alors totalement vulnérable. Stationné sur une ville ou une forteresse, ce même groupe bénéficie de quelques soutiens et surtout de soins prodigués par intervalle de temps, des soins incluant le rappel d’éventuels personnages d’un groupe dont les PV sont tombés à 0 et donc dans l’incapacité de poursuivre le combat.

Le jeu réside aussi dans la variété des environnements, chacun imposant ses propres contraintes. Les forêts épaisses et les montagnes escarpées entravent les déplacements, tandis que les machines de siège ennemies menacent vos lignes. Et pour corser toute ça et rendre les batailles encore plus tactiques, les batailles sont chronométré. Mais pas de panique, il sera possible de mettre en pause la petite horloge pour indiquer à nos troupes où aller, le temps ne défilant que pendant les phases actives. Oui ! Il y a beaucoup de paramètre à prendre en compte et je vous avoue au début on est en peu perdu, mais au bout de quelques heures, on maitrise aisément les champs de bataille.

Pour terminer, parlons des combats. Et je vous avoue j’ai était en peu déboussolé et perplexe au début. Les batailles se font tout à l’automatique. Mais pas d’inquiétude à ça, vous avez la grande liberté sur vos troupes pour définir, comment attaquer en amont des batailles via des conditions de quand utiliser les compétences que chaque personnages obtiendra. Mais à force de jouer, j’ai vite compris que j’avais à faire au système de combat au tour par tour le plus riche et profond que j’ai pu jouer. Unicorn Overlord ne se résume pas à une simple confrontation de forces brutes ; au contraire, la coordination des actions devient essentielle. Cette subtilité stratégique prend toute son ampleur lorsque l’on réalise que le niveau individuel de nos personnages n’est pas toujours déterminant : une analyse minutieuse des paramètres externes peut permettre de triompher, même face à des adversaires de rang supérieur.

Enfin, parlons de l’inventaire du jeu, qui est pour moi une plaie. Que ce soit pour mettre les nouvelles armes à nos personnages où encore pour trouver l’objet dont on a besoin, il faut se l’avouer c’est un peu trop complexe et surtout brouillon.

Parlons des activités annexes

Comme mentionné précédemment, le jeu principal vous occupera pendant environ quarante heures, mais je n’ai pas encore abordé les quêtes secondaires ou annexes. Ces quêtes s’inscrivent dans la continuité de notre mission de libération, avec notamment la reconstruction des villages dévastés. Pour ce faire, il faudra localiser les ressources disséminées à travers la carte et les livrer pour améliorer le niveau de la ville et faciliter sa rénovation. En récompense, les habitants nous gratifieront de médailles (l’une des deux monnaies du jeu) ainsi que de services divers, comme l’utilisation du port pour des déplacements rapides, entre autres. Cette dynamique d’activités secondaires s’harmonise parfaitement avec les batailles, offrant l’occasion d’accéder à de nouveaux villages et de faire progresser le temps pour obtenir de nouveaux matériaux.

De plus, vous aurez la possibilité de participer à des activités sociales visant à renforcer les liens entre les personnages. Malheureusement, ces quêtes sociales ne laissent pas un souvenir impérissable, puisqu’elles consistent généralement à envoyer un personnage dans un village, lui donner plusieurs objets pour améliorer notre relation, puis aller discuter avec lui une fois les affinités maximales atteintes, et voilà. Cependant, il s’agit là d’un défaut mineur parmi les quêtes annexes ; d’autres seront bien plus lucratives et gratifiantes, offrant par exemple des armes puissantes qui justifieront une exploration plus approfondie de Fevrith. tout ceci ce fera durant votre progression naturellement le plus souvent.

Graphisme et Audio

En ce qui concerne les graphismes, on retrouve immédiatement la signature visuelle distinctive du studio Vanillaware. Les personnages en 2D sont d’une précision et d’une expressivité remarquables, tandis que les décors sont époustouflants. Ce style graphique, qui a fait ses preuves dans les productions antérieures du studio, semble évoluer avec chaque nouveau titre, devenant toujours plus propre, détaillé, et esthétiquement saisissant. Bien sûr, certains pourront critiquer les phases de combat pour leur manque de dynamisme, mais il est possible de les passer rapidement, donc pas de quoi se plaindre. Personnellement, je suis pleinement satisfait et impressionné par la qualité visuelle du jeu.

En ce qui concerne l’aspect sonore, l’OST est d’une grande qualité, avec certains thèmes qui se démarquent et confèrent une identité sonore unique à Unicorn Overlord. Le doublage, que ce soit en anglais ou en japonais (où toutes les quêtes sont doublées), est de haut niveau. Malheureusement, pour les francophones, et surtout ceux qui ne sont pas particulièrement friands de ce type de jeu, seule la partie textuelle sera traduite. Cependant, cela est souvent le cas pour ce genre de jeux et personnellement, cela ne me dérange pas. Surtout que c’est une occasion rare d’avoir un titre de ce genre sur la console Xbox.

Conclusion

Unicorn Overlord nous embarque dans une épopée palpitante à travers le vaste continent de Fevrith, offrant une expérience de jeu à la fois captivante et unique. Malgré la profusion de personnages et de quêtes relationnelles qui peuvent parfois sembler accablantes, le jeu brille par son récit passionnant, que j’ai savouré tout au long de mes heures de jeu. Avec des graphismes d’une beauté saisissante, des décors richement détaillés et une bande-son de qualité, Unicorn Overlord est une expérience à ne pas manquer, surtout pour les joueurs Xbox, où ce type de jeu est rare. Je ne peux que vous le recommander chaudement.

Points positifs

  • La richesse stratégique des combats
  • Visuellement parfait
  • On ne s’ennuie jamais
  • Une progression habilement “libre et linéaire”
  • Un scénario captivant avec ses rebondissements
  • Une durée de vie plus que correcte

points négatifs

  • L’écriture des personnages au second plan même pour les affinités
  • La gestion de l’inventaire et des objets

Et toi voudras tu aider le chat Felix à échapper au vilain monsieur ?

Felix the Cat revient dans sa plus grande aventure. L’emblématique personnage de dessin animé Felix se lance dans un périple épique pour arracher sa petite amie Kitty aux griffes du Professeur. Pour y parvenir, tu devras affronter des ennemis variés à l’aide de boulets de canon, de disques volants et d’autres manœuvres.

tu seras transporté dans l’univers iconique du dessin animé, où tu incarnes un personnage adoré dans le monde entier

Mais qui a-t-il dans ce jeu ?

* 2 jeux de la franchise sont disponibles (Ness et Game Boy)
* Sauvegarde du jeu (progression) à tout moment
* Fonctionnalité de retour en arrière

Une version japonaise du jeu est aussi disponible avec les deux versions.

Mais qui est Felix Le Chat ?

Tu ne sais pas qui est Félix ? tu veux savoir, eh bien laisse-moi t’expliquer qui il est, mais avant toute chose.. je tiens à te dire que ce n’est pas celui que tu crois !

Hélas non c’est un personnage très ancien !

Félix le Chat est un personnage de dessin animé américain de la période des films muets, créé par Pat Sullivan et Otto Messmer. Il est un chat tuxedo noir et blanc anthropomorphe. Le personnage apparaît pour la première fois dans le court-métrage muet Feline Follies en 1919.

Depuis le succès de la série originale, il est devenu le premier personnage d’animation suffisamment populaire pour attirer le public du cinéma. Il a acquis en 1920 une renommée qui rivalisait avec celle de Charlie Chaplin dans son personnage de Charlot au même moment

En 2014, Don Oriolo, le fils de Joe Oriolo, vend les droits du personnage et de la licence au studio DreamWorks Animation.

A ce jour, ce personnage peut être vu dans :

* Des Films,
* Des Séries télévisé,
* Des Bande dessiner,
* Des jeux vidéo.

Savez-tu aussi que Félix a eu droit à deux hommages ? Oui même si peut pas grand monde à remarquer ou la vraiment noter !

* Félicette, première chatte à avoir été envoyée dans l’espace en 1963, a été nommée en référence à Félix le Chat
* Dans le film Qui veut la peau de Roger Rabbit, le visage de Félix le Chat apparaît comme des masques de tragédie grecque sur la clé de voûte de l’entrée du tunnel de Toonville

Maintenant que tu sais qui est ce petit Félix laisse-moi t’emporter dans ce petit jeu sorti il y a peut qui remets en lumière d’ancien jeu de la licence !

Une traduction.. manquante !

Le jeu se dit en français, tout comme le dit même le site de playstation, plateforme sur laquelle j’ai testé le jeu.
Alors, je m’explique ne t’en fait pas, pas de panique.

Oui les menues sont en français, mais le bémol n’est pas là, comme tu peux le voir jusque là tout va bien mais ce qui peut nous faire grimacer ce passe tout de suite après avoir lancé le jeu..

Voilà, ce qui est vraiment dommage d’ailleurs.. ils sont très peu présent et ils ne sont pas traduits, je pense qu’avec ce petit portage remis un peut au gout du jour sa aurait été l’occasion de le faire surtout que quand nous allons sur la page playsation..

Nous pouvons voir qu’en effet normalement les langues à l’écran devraient être en français ! C’est bien dommage pour les enfants qui veulent comprendre l’histoire du jeu.

Le Gameplay

Le jeu à certes des touches simple, c’est vrai, le jeu reste plutôt bien à prendre en main même si je trouve qu’il y a quand même certaines choses que j’aurais faites autrement.

Le rembobinage peut vraiment être utile si on a du mal à certains passages. Je trouve que certaines touches sont un peut mal placer ! Surtout le bouton  »X » de la manette playstation, je ne l’aurais pas mis pour attaquer mais pour sauter, je l’aurais plus mis sur carrer ou cercle de mon côté.

C’est la première fois que je vois un jeu qui propose deux touches pour mettre en pause, sur ce menu on peut faire beaucoup de choses comme on peut le voir. C’est plutôt sympa comme choix.

Je trouve le jeu aurait dû avoir d’autre touche mais il reste jouable !

Toi tu aimes avec les bordures ou sans ?

Si jamais pour toi c’est plus agréable de jouer avec un fond noir ou jaune et des petits symboles sachent que c’est possible selon t’es préférence, un petit rajout non obligatoire mais plutôt sympa d’avoir pensé à ça !

Tout est bon pour ton confort, alors pense à mettre ce qui te rend à l’aise.

Les Graphismes

Le jeu date c’est vrai, mais la version console rend vraiment un petit côté nostalgique plutôt plaisant quand on y pense.
Pour certains les graphismes ne sont pas très beau, ce que je peux comprendre. Personnellement j’aime bien ceux de cette dernière versions.

Celle de la version gameboy est sympa mais ce n’est pas là qu’est le souci de cette version ! La version Japonaise est plutôt bien porter ça va.

Armée de petit bonus !

Dans ce petit jeu de plateforme vous pourrez prendre plusieurs bonus, tu en as un qui te permet de regagner du temps pour certaines armes que tu auras à ta disposition pour battre les ennemies que tu croiseras, chaque arme aura une amélioration au fur et à mesure que tu prends les petites boules qui seront dispersées dans le niveau. Puis tu te doutes bien que ce bonus n’ait pas en illimiter sa serai trop facile donc il te faudra attraper les bouteilles de lait qui te redonneront du temps pour pouvoir te défendre !

Et si le chat était un convoi exceptionnel ?

Si tu veux tout savoir, en vrai la version Gameboy a de nombreux succès, qui seront donc drôles pour ceux qui veulent débloquer tout les succès du jeu et dire qu’ils ont platiné le jeu, le jeu est plus court en plus de ne pas avoir la partie scénario ce qui est bien dommage !

En plus d’avoir pas mal de ralentissement c’est compliquer de se déplacer, d’où mon impression de contrôler un convoie ! C’est l’une de mes déceptions de cette version porter sur console.

Jeu dis-moi tout !

Je me demande si c’est moi mais je me suis retrouvé à attendre pendent quelques instants sur le menu de fin des deux versions du jeu, comme je ne savais pas si il aura eu un petit texte ou même une petite cinématique voir même un petit générique de fin mais.. non du tout on se retrouve sur un dialogue sur la version console et finir sur un écran où c’est écrit : The End.
Tout comme la version Gameboy, du coup je me demande ce qu’il fallait faire !

Je trouve ça bien dommage je te l’avoue, j’aurais bien aimé une autre façon de terminer !

L’arbre qui voulait s’embrouiller avec son voisin !

Demain a là une ! Si tu vois une dispute d’arbre qui a mal tourné ne t’inquiétè pas, sache que notre envoyez spécial à pu avoir des images de leurs dernières disputes !
Attention, certaines scènes peuvent choquer les plus jeunes !

Que vaut Felix The Cat ?

Alors le jeu est plutôt sympa, après peut-être un peu trop cher pour juste le même jeu, je pense donc qu’il serait mieux de le prendre en promotion autant pour les anciens fans comme les nouveaux qui découvrent avec le jeu ! J’avoue être un peu mitigé, j’aime bien car je me suis tout de même surprise à platiner le jeu sur Playsation 4 !

Malgré ces défauts le jeu est sympa si vous ne savez pas quoi faire durant une après-midi que ce soit seul ou en famille !
Bien pour passer le temps mais ça pourrait aussi permettre à certaine personne qui ne connaît pas le personnage de pouvoir se renseigner dessus, peut être même découvrir les autres formats.
Du coup en vrai si on me demande si je le conseille je dirais oui.

Points positifs

  • La petite place que demande le jeu
  • Le Gameplay facile à prendre en main
  • Le portage de la version console plutôt bien faite
  • La disponibilité sur plusieurs plateformes dont la Nintendo Switch

points négatifs

  • Le prix un peu trop cher
  • Des touches qui auraient pu être réorganisées
  • Un portage Gameboy qui aurait pu être revu pour la vitesse du personnage
  • Dommage qu’on a juste des écrits à la fin du jeu
  • un manque de traduction sur les moments de scénario

AFIL Games est un petit éditeur indépendant à l’origine d’e 21’une vingtaine de jeux allant du jeu de puzzle, au jeu d’action en passant par du Rogue Lite. Cette fois-ci c’est un petit jeu de Puzzle, Doctor Cat de Headway Games, que nous allons parler, sorti l’an passé sur Steam et en début d’année sur Playstation.

Une histoire de chat psychologue

Dans « Doctor Cat », vous serez plongé dans une société de chats captivante ! Incarnez le Docteur Cat, psychologue émérite, et prenez soin de charmants patients félins en découvrant leurs histoires et en les aidant à surmonter leurs traumatismes. Avec 12 cas à résoudre, chaque patient présente une histoire unique qui constitue le cœur du jeu. Votre tâche principale consistera à assembler un puzzle pour chaque cas, dévoilant ainsi l’image représentant le traumatisme du félin en consultation.

Comme vous l’avez compris, le jeu offre une expérience cosy avec une difficulté modérée, centrée sur le nombre de pièces de puzzle à échanger. Dans le mode « campagne » du jeu, vous aurez le choix entre deux niveaux de difficulté : facile, avec des puzzles de 6×6 tuiles, et normal, avec des puzzles de 8×8 tuiles. Préparez vous à plonger dans cet univers félin captivant où chaque puzzle résolu vous rapprochera de la guérison de vos précieux patients. Pour trouver la troisième difficulté, il faudra avoir fait au moins le puzzle une fois pour le retrouver dans l’onglet Gallery, et se frotter à la difficulté Hard qui proposera des tuiles de 10×10.

Simple et efficace qui vous prendra peu de temps

Disons-le franchement, ce petit jeu est vraiment conçu pour ceux qui recherchent une expérience détendue, et probablement aussi pour les enfants. Il est également attrayant pour les chasseurs de succès/trophées, offrant une platine ou un score de 1000G en moins d’une heure, garantie.

Cependant, le jeu a quand même le mérite de proposer une histoire sympathique, bien que vous deviez être bilingue pour en profiter pleinement. En effet, le jeu est en anglais et la seule autre langue disponible est le portugais… C’est dommage, car pour nous, cela se résume juste à un jeu facile pour augmenter notre score. Mais c’est un problème courant avec ce genre de jeux.

Du point de vue graphique, le jeu est superbe, les puzzles sont bien conçus et la musique qui accompagne le titre est calme et apaisante. Sur ce point, il n’y a rien à redire, cela correspond parfaitement à ce que le jeu propose.

Conclusion

Doctor Cat est un jeu simple qui vous permet de facilement augmenter vos scores si vous êtes un chasseur de succès. Cependant, il reste agréable et propose au moins une histoire plutôt intéressante, reflétant un peu ce que nous vivons au quotidien et ce que nous pourrions aborder lors d’une séance chez un psy. Cela change des jeux purement axés sur les succès, où rien d’autre n’est présent et où l’objectif est simplement d’augmenter votre score. Le petit inconvénient est que le jeu est en anglais (ou en portugais)… mais bon, c’est un détail mineur et je chipote !

points positifs

  • Une histoire intéressante
  • Graphiquement mignon
  • Petit jeu rapide à faire (1H) & cozy
  • Prix doux
  • 1000G/Platine Facile

points négatifs

  • En Anglais & Portugais seulement

Plongez dans l’univers passionnant de l’immobilier et de la rénovation avec House Flipper 2, la suite du jeu de simulation de rénovation domiciliaire. Préparez-vous à reprendre les rênes de votre entreprise de rénovation, à explorer de nouveaux quartiers et à transformer des propriétés délabrées en véritables joyaux immobiliers. Mais vaut-il plus le coup que son prédécesseur ? On va le voir tout de suite !

Que le grand nettoyage commence ! (mode campagne)

À l’inverse du premier volet, House Flipper 2 propose une expérience plus guidée grâce à une intrigue, certes simple, mais qui oriente le joueur à travers les diverses facettes du jeu. Notre protagoniste retourne dans sa ville natale avec pour dessein de redonner vie à des propriétés délaissées. Un ami d’enfance, désormais agent immobilier, lui confie régulièrement des projets à réaliser. L’objectif ultime ? Devenir le restaurateur de renom de la région et remporter le contrat de rénovation du centre communautaire, jugé comme le bâtiment le plus désuet de la localité. La région se divise en trois zones distinctes : une zone suburbaine, une autre forestière et une dernière côtière.

Dans House Flipper 2 comme vous l’avez sûrement déjà compris, vous allez devoir mettre les mains dans le cambouis en nettoyant, en restaurant et en réaménageant/réhabilitant des maisons de tailles diverses. Le mode campagne se présente comme un ensemble de missions (requêtes des habitants) qui font appel à vos services en vous envoyant un mail. Chaque mail raconte une petite histoire, souvent tragique, qui explique pourquoi ils font appel à vos services. J’apprécie particulièrement ces petites mises en scène, car elle nous permet de connaître l’origine du désordre.

En réalisant ces requêtes qui commence par un simple nettoyage, vous allez petit à petit débloquer divers outils avec pour chacun une ou des fonctionnalités spécifiques : le sac poubelle (pour enlever les déchets), le flipper (une sorte de scanette pour vendre), le rouleau de peinture (pour peindre), la spatule (pour poser du parquet ou du carrelage) et un splendide marteau pour tout casser (mon préféré héhé-héé).

Manette en main (Xbox) la prise en main de ces divers outils est relativement simple et les missions permettent de s’exercer rapidement et efficacement. Seul le flipper est un peu galère, car il faut bien pointer l’objet pour le vendre… sur des meubles c’est relativement simple, mais sur une brosse à dents, c’est un tout autre level…

A la longue de nettoyer, ramasser des déchets et tout casser vous allez gagner des niveaux de compétences d’objets. Ces niveaux vous permettront de réaliser plus rapidement certaines tâches et/ou ajouteront un plus à votre équipement. Par exemple, en améliorant votre rouleau à peinture, ce dernier sera beaucoup plus large et vous permettra de couvrir en un seul passage une zone beaucoup plus grande.

Pour ce qui est de la partie décoration lors des missions, vous pouvez prendre votre temps à bien placer chaque meuble un à un ou y aller en mode bourrin (comme moi) car une seule chose vous intéresse vraiment… le fric, l’argent ou comme diraient les jeunes de nos jours : la moula. Vous allez en avoir besoin pour acheter des maisons, les rénover et bien sûr les revendre !

Vous aurez aussi la possibilité de monter vous-même certains meubles/cadres/luminaires avec un petit mode de jeu. Dans ce mode Assemblage (on se croirait chez Ikea), vous allez devoir placer les vices, viser et monter des objets en tout genre ! Et relever de petits défis pour gagner les 3 étoiles.

En parallèle des missions du mode campagne et du mode assemblage, vous pouvez acquérir des biens. L’objectif : les rénover, les décorer grâce à une large panoplie de meubles, puis les revendre au meilleur prix via un système d’enchères.

Un mode créatif pour faire la maison de ses rêves

La grande nouveauté introduite dans ce deuxième opus réside dans son mode créatif (bac à sable), qui répond pleinement aux attentes des joueurs. Il offre une liberté totale pour construire la maison de ses rêves, qu’il s’agisse de reproduire fidèlement sa propre demeure ou, comme dans mon cas, de donner vie à des projets architecturaux uniques (fut un temps où je rêvais d’être architecte ou encore décoratrice d’intérieur).

Pour réaliser ces ambitions, tous les outils nécessaires sont déjà mis à disposition, et les contraintes financières sont absentes puisque notre budget est illimité. De plus, la possibilité d’ajouter des objectifs personnalisés permet de créer nos propres missions, que l’on peut partager avec la communauté ou même télécharger celles élaborées par d’autres joueurs.

Cependant, il est à noter que House Flipper 2 semble proposer un contenu relativement limité et que les options de personnalisation demeurent restreintes, surtout en comparaison avec son prédécesseur qui, cinq ans après son lancement, disposait d’une panoplie de contenus additionnels. Toutefois, je reste confiant quant à l’avenir du jeu, sachant que de nombreuses extensions seront probablement publiées avec le temps, enrichissant ainsi l’expérience de jeu et lui offrant davantage de profondeur.

Graphisme & Audio

Le style graphique de House Flipper 2 est un peu plus cartoonisé par rapport à son prédécesseur mais cela rend le titre plus agréable. Il n’y a pas réellement de révélation graphique à attendre de ce type de jeu, mais House Flipper 2 tourne avec le moteur Unity et parvient à bien représenter la scène et constitue une légère amélioration par rapport au premier opus.

Pour le moment, je n’ai rencontré aucun bug et l’audio (musique de fond et bruitage) est agréable. Même lorsque l’on fracasse des murs ou que l’on peint, les bruits n’est pas du tout dérangeant. Le seul bémol qui a tendance à m’agacer lorsque je suis en mode campagne, ce sont les png qui te téléphonent en plein ménage pour savoir si tout se passe bien et qui s’excuse (ou pas) d’avoir mis le bordel.. Tu es obligé de faire la causette avec eux ou de les ignorer en sélectionnant une réponse…

Ah ! Et le fait de ne pas pouvoir sauter ou enjamber certains obstacles (les gros meubles je dis pas, mais parfois tu te retrouves bloquées par un petit objet posé par terre) est assez contraignant et on est obligé de changer d’outil pour le ramasser et le décaler.

Conclusion :

Pour conclure, j’ai pris un réel plaisir à jouer à House Flipper 2. Ce jeu détente, allie à la perfection le nettoyage, la rénovation et la décoration. De plus, il offre un large choix de meubles pour laisser cours à notre imagination. Je trouve juste un peu dommage, et c’est mon avis personnel que le jeu ne dispose pas d’un mode multijoueur pour ceux et celles qui aimeraient jouer ensemble.

points positifs

  • Audio et graphisme
  • Prise en main facile
  • Mode bac à sable / Créer ses propres niveaux
  • Large choix de meuble

points négatifs

  • pas de mode multijoueur
  • Pas de saut ou pouvoir enjamber les meubles

La Team Ninja n’est plus à présenter. Forte de nombreuses séries de jeux réputées très bonnes comme Wo Long Fallen Dynasty. Elle nous revient en date du 22 Mars 2024 pour nous présenter une nouvelle exclue Playstation 5 nommée Rise Of Ronin. Nous avons fait le choix de jouer un maximum au jeu avant de vous offrir ce test. En effet, cette date était assez remplie avec la sortie de Dragon’s Dogma 2. Et je pense qu’au vu des tests de nos confrères, prendre le temps était plus nécessaire.

Un context historique

Rise Or Ronin se place dans le Japon à l’ère du Bakumatsu. Période charnière de l’histoire japonaise où les puissances étrangères ont débarqué afin de tenter une colonisation du pays du soleil levant. Cette période a marqué un schisme entre les classes dominante des samouraïs se retrouvent à deux doigts de tout perdre.

C’est dans ce contexte que sont formées les lames jumelles. Unique rescapés de la destruction de leur village, deux orphelins (un garçon et une fille) sont secourus par le clan Kurosu. Ce clan a formé un duo d’élite nommé les “lame Jumelles”.

Entraînés à la perfection par le clan, ils ont pour mission de perturber  ou de saboter toute tentative de relation entre le shogunat et les diverses puissances étrangères.

Un scénario riche en rebondissement

Et le mot est faible. Rise Of Ronin dispose d’un scénario vraiment intéressant et surprenant. Après la créations de vos deux lames jumelles (Qui soit dit en passant sont vraiment complète en terme d’outil de personnalisation). Vous voila sur un petit tutoriel qui vous demandera d’affronter vos pairs au sein du clan Kurosu en terminant par votre mentor la Forgeuse”. 

Vous voila sur un bateau noir américainavec pour missions de dérober les plans adverses et d’assassiner le commodore Matthew Perry. Tout se passe relativement bien jusqu’à l’apparition du mystérieux Démon Bleu qui en plus de vous mettre un sacrée rouste vous empêche de tuer Matthew Perry.

Et voici votre premier dilemme, vous allez devoir sacrifier une de vos deux lames pour réussir une partie de votre mission. Donc on résume, on passe un long moment à créer deux personnages pour en sacrifier un au bout de 20 minutes ? Pas mal bien qu’un peu frustrant non ? Après la destruction du votre clan par le shogunat, vous voila seul sur la route à la poursuite de votre lame jumelle qui selon certaines rumeurs serait toujours en vie.

Un gameplay nerveux et incompris

On va attaquer un gros morceau de ce test car Rise Of Ronin sans être parfait offre de très bonne idée de gameplay. Si vous avez joué à Nioh, vous aimerez le fait que le gameplay est beaucoup plus nerveux. Si vous avez aimez Wo Long Fallen Dynasty vous aimerez l’aspect plus tactique des combats de Rise Of Ronin. C’est un peu comme si vous aviez mélangé les gameplay de ces deux jeux. 

En terme de combat, c’est nerveux, vous pouvez choisir entre 3 styles de combats qui sont classés entre 3 sous-catégorie et qui fonctionne comme un jeu de pierre-papier-ciseau. Et c’est donc à vous de choisir la bonne posture en fonction de votre adversaire afin de lui infliger plus de dégâts.

Cela permet une polyvalence jusque-là rarement vue dans un jeu. Vous avez à l’heure actuelle plus de 42 styles de combat répartis dans 10 armes totalement différentes. Aucun des ces styles ne se ressemble et dispose d’attaques spéciales propres au style en lui-même. C’est juste fou d’ajouter que chaque style dispose d’une jauge d’expérience qui débloque des nouvelles attaques en plus. Et pour finir chaque style dispose de son propre contre-éclair qui est une composante indispensable à la maîtrise de Rise Of Ronin.

De plus, lors de certaines missions vous aurez avec vous des compagnons, soit ceux du jeu, soit des amis que vous pourrez inviter. et pendant ces missions vous aurez accès à un mécanisme un peu particulier qui vous permettra de switcher de personnages en plein combat. C’est original et vous permet de facilement perturber vos adversaires qui se retrouvera attaqué de tous les côtés.

Le cas du contre-éclair

Lors de vos combats en plus de la simple garde, vous avez avec la touche triangle le contre-éclair qui est une sorte de parade qui met votre adversaire en difficulté. Si vous êtes habitué au jeu de chez Team Ninja vous comprenez de suite ce dont il s’agit. réussir votre contre-éclair fera monter une jauge chez votre adversaire qui vous permettra de sonner votre adversaire et d’infliger un coup critique à votre adversaire.

Et c’est là que j’ai compris après la lecture des tests de mes confrères que Rise Of Ronin est son système de parade était sous-estimé. En effet, chaque style a son propre contre-éclair qu’il faudra apprendre à maîtriser, certains seront facile à prendre en main, d’autre plus ardu, on est plus sur un simple j’appuie sur la touche au bon moment car le bon moment change selon le style de combat.

 Et oui ce n’est pas un système de parade au hasard comme j’ai pu lire sur certains sites. Rise Of Ronin est un jeu difficile à prendre en main.

Je dois dire qu’une fois la prise en main de Rise Of Ronin, j’ai été sacrément impressionné par sa qualité de gameplay. C’est nerveux, difficile, le monde ouvert vous offre une belle liberté de mouvement. Le côté social et la progression est vraiment bien maîtrisé. Ça serait limite le jeu parfait si…

Rise Of Ronin un monde complet

Bon par où commencer ? Rise Of Ronin est un monde ouvert solide et complet. En fonction du chapitre en cours vous êtes dans la région d’une ville de l’ancien Japon. Libre à vous d’explorer les zones, et en fait, vous DEVEZ fouiller ces zones ! Dans chaque zone vous allez devoir exécuter des fugitifs (qui pourront vous apprendre de nouveaux styles de combats), piller des coffres, recueillir des chats, prendre des photos, prier dans des sanctuaires et rétablir l’ordre public.

Et c’est sans compter sur les missions secondaires et les événements aléatoires. En ce qui concerne les missions, vous avez souvent le choix de la fin. Par exemple, lors d’une des premières missions, vous combattez Ganzo, vous pouvez le tuer ou pas. Et si vous ne le faites pas, vous pourrez le retrouver plus tard et il deviendra un de vos compagnons. C’est assez intéressant de devoir peser le pour et le contre lors de ces moments.

Je viens de vous parler des compagnons et justement c’est un composant important de Rise Of Ronin. Vous disposerez de plusieurs endroits faisant office de Hub social comme la Nagaya qui est une auberge et le quartier des plaisirs de chaque ville. Ces endroit seront assez important car il vous permettront d’y faire de nombreuses activités intéressantes:

  • Personnaliser votre chambre à l’instar de Nioh, vous pourrez décorer votre chambre et vous procurer des bonus passif
  • Envoyer un chien pèlerin qui vous rapportera un bonus d’argent passif
  • Louer vos chats, vous rencontrerez rapidement Usugumo qui vous demandera de récupérer ces chats. Une fois un peu avancé dans le jeu, vous pourrez louer vos chats qui vous rapportent de très nombreuses ressources.
  • Personnaliser votre lame jumelle via des éléments cosmétiques
  • Discuter avec vos compagnons, vous pourrez leur offrir des cadeaux et en apprendre plus sur eux. Cet aspect est vraiment indispensable afin de pouvoir obtenir des bonus ou des attaques spéciales que seul une bonne relation avec certains personnages pourra vous apporter.

Une progression un peu spéciale

Je me dois de vous parler du système de progression de Rise Of Ronin qui est un peu particulier. En effet, vous avez un système double. Lorsque vous créez votre lame jumelle vous commencez par choisir un archétype qui vous procurera un bonus de statistique ainsi que deux armes de prédilection. Vous disposez de 4 statistiques, force , dextérité, charisme et intelligence. 

Lorsque vous prendrez de l’expérience (appelé karma), un fois â la bannière des lames jumelles qui fait office de feu de camp, vous obtiendrez en fonction de votre progression des points de statistiques ET des points de compétences. Vous pourrez ensuite dépenser ces points pour vous acheter des bonus de et des compétences. Certaines demandant des points de statistiques et d’autres des points de compétence. Je sais ça fait un peu brouillon comme cela mais une fois la manette en main c’est plus clair. 

Des graphismes en demi-teinte

Les termes sont dits ! Sans être horrible, les graphismes de Rise Of Ronin sont corrects sans plus, voir même décevant sur certaines cinématiques. C’est dommage mais certains effets sont clairement ratés alors que d’autres sont au top. Certaines cinétiques sont juste magnifiquement exécutées (comme celle du combat avec kaishu Katsu). Alors d’autres moyennes comme celle de la cinématique d’introduction avec des kimonos juste moche. Cela crée une certaine ambivalence sur cette partie graphique. Il est beau est fluide mais il me laisse comme un arrière goût de peut mieux faire.

Par contre, l’ambiance sonore et les effets sonores sont vraiment au top on se croirait plongé au cœur du Bakumatsu sans aucun problème.

Conclusion du test de Rise Of Ronin sur Playstation 5

Rise Of Ronin est une pépite ! Fort d’un scénario riche en rebondissement et d’un gameplay nerveux exigeant et original. Vous embarquez dans un voyage au Japon à l’époque du Bakumatsu. Il y aura des choix à faire qui ne dépendent que de vos envies. Vous pourrez être une lame vengeresse ou la lame de la miséricorde. Chaque choix vous ouvrira des portes et vous en fermera d’autres. L’avenir du Japon est entre vos mains, libre à vous de détruire le shogunat ou de le préserver. Et malgré des graphismes en demi-teinte je ne peux que vous inviter à découvrir le dernier chef d’œuvre de Team Ninja en exclusivité sur Playstation 5 chaque disponible depuis le 22 mars 2024.

Pros

  • Un monde ouvert gigantesque
  • Un gameplay nerveux et exigent
  • Le contre-éclair
  • Le système social au top
  • Un scénario palpitant
  • Un système de choix vraiment intéressant

Cons

  • Graphismes décevant
  • système de progression un peu particulier

Expeditions: A MudRunner Game est un jeu d’exploration mettant en scène de gros 4×4 et des camions taillés pour le hors-piste. Saber Interactive, le développeur, n’en est d’ailleurs pas à son premier coup d’essai, car le studio était déjà à l’origine du jeu MudRunner, sorti en 2018, et de sa suite, SnowRunner, sortie en 2020. Mais ici, point de transport de marchandises. Il s’agit plutôt d’explorer l’environnement et de secourir d’autres véhicules en perdition, bloqués dans les marécages boueux.

Prêt pour la découverte.

Expeditions vous propulse dans trois environnements appelés ici Régions : le Little Colorado, l’Arizona et les Carpates. De plus, depuis une mise à jour récente, une petite nouveauté a été ajoutée : la Région Modifications, qui vous donne accès à une nouvelle carte avec des crédits illimités pour vous amuser à volonté. Le but ici est avant tout l’exploration : les régions vous proposent plusieurs expéditions pour parcourir et découvrir petit à petit les trois régions proposées et accomplir les missions principales du titre.

Certaines missions demandent, par exemple, d’étudier les sols, d’estimer les coûts pour le retrait d’épaves ou même le remorquage d’un camion bloqué dans les marécages. Avant chaque mission, il vous sera donc demandé de choisir un véhicule et de l’équiper de divers outils pour mener à bien votre expédition. Les camions peuvent recevoir une multitude d’options de renforcement du châssis, vous permettant de transporter plus de matériel ou encore d’avoir une réserve de pièces plus importante en cas de casse nécessitant une réparation.

Ici, il va d’abord falloir apprendre à rouler prudemment. Si vous foncez à travers les terrains comme dans un rallye Paris-Dakar, vous risquez de rester sur le carreau, car, comme dans la vraie vie, votre camion subira des dommages parfois irréparables, vous forçant à recommencer depuis le début ou au dernier point de contrôle. Les points forts du jeu incluent son aspect graphique soigné et très réaliste. Ajoutez à cela une large sélection de véhicules et d’équipements qui vous seront d’une grande utilité

Avant chaque mission, un menu vous propose les véhicules disponibles dans votre garage. Il est également possible d’acheter des améliorations moteur, des équipements de transport ou encore de renforcer votre engin. Cela vous permettra d’accomplir plus facilement les missions et de vous sortir aisément d’une impasse.

Le menu est d’ailleurs très simple et facile à comprendre. Vous serez également guidé dans le choix de votre véhicule, celui qui sera le plus adapté à votre mission, ainsi que dans le matériel à transporter pour vos diverses analyses. Il ne faut surtout pas oublier les crochets, le carburant et les pièces de rechange pour éventuellement réparer le moteur ou changer une roue, sous peine de devoir faire demi-tour pour rejoindre un point de ravitaillement, dispersé dans divers endroits de la carte.

Maniabilité

Malgré un certain temps d’adaptation et le nombre de possibilités offertes en termes de jouabilité, l’interface utilisateur (HUD) est très bien pensée. Une action sur la gâchette supérieure permet de changer le mode de la boîte de vitesses ou d’enclencher le mode 4×4. L’utilisation du treuil sera primordiale pour vous sortir des sentiers battus remplis de pièges. Tout cela se fait très facilement et est si bien pensé que j’ai pris un certain plaisir malgré quelques difficultés au début de mon aventure. La jouabilité est donc très bonne, surtout intuitive.

Graphismes et Audio

Expeditions est un jeu magnifique. Les différents environnements, l’éclairage avec le cycle jour/nuit, la modélisation des véhicules et l’affichage sont de très bonne qualité. Cependant, un petit bémol vient un peu ternir ce joli tableau : environ toutes les 3 secondes, un léger ralentissement se produit, ce qui peut être dérangeant à la longue. Heureusement, le studio Saber Interactive a justement publié une mise à jour cette semaine qui résout ce problème. Depuis, il n’y a plus aucun souci de micro-ralentissement. Le bilan est donc positif et offre une meilleure immersion dans le jeu.

En ce qui concerne le son en général, nous avons affaire ici à du classique, on va dire que cela remplit son rôle pour ce type de jeu et je n’ai rencontré aucun problème lié au son, que ce soit dans les menus ou en jeu.

Conclusion 

Expeditions est un jeu relativement tranquille, bénéficiant d’une belle signature graphique, de nombreux défis et d’une jouabilité bien pensée, ce qui en fait un jeu atypique mais accessible à tous. Avec son prix abordable, il vous offrira du fil à retordre et surtout de la satisfaction après avoir accompli certaines expéditions difficiles. Si vous avez apprécié MudRunner ou SnowRunner, Expeditions saura vous combler avec un genre légèrement différent par rapport à ses prédécesseurs. Le seul petit hic, c’est la non présence de la coopération au lancement du titre mais arrivera plus tard avec une mise à jour.

Points POSITIFs

  • Prise en main
  • Environnements variés
  • Nombre de missions
  • Les nombreuses options des véhicules

Points Négatifs

  • Certaines challenges sont assez compliqués.
  • On ne peut pas y aller en force.
  • Absence de mode coopératif au lancement.

Final Fantasy, une saga qui ne se présente plus. Débutée en en 1987 sur la Famicon, la série est actuellement à son seizième opus sortie le 22 Juin 2023 et dont vous pourrez retrouver le test ici. je me suis limité à la série de base car il y a eu de nombreux jeux dérivés comme la série des Final fantasy Dissidia, celle des Chocobo dungeon entre autres. Mais celui qui nous intéresse c’est la deuxième partie du remake de Final fantasy 7. Après un Final Fantasy VII Remake qui nous avait mis une jolie claque, voici notre test de Final Fantasy VII Rebirth sur PS5.

Petit moment nostalgie

Bon déjà je me dois de vous parler de ma relation avec Final Fantasy VII. C’est tout simplement mon premier jeu sur Playstation. J’y ai passé de longues heures à une époque où internet ne s’était pas encore démocratisé et où nous avions pour seule aide les magazines de jeux vidéo (je laisse quelques secondes aux anciens le temps d’essuyer nos larmes). Bref pour moi il ne fallait pas que Square Enix se loupe sur ce remake.

Et on peut dire que le contrat était clairement rempli. Final fantasy VII Remake était un vrai hit. En grande partie fidèle à l’histoire originale, le passage du RPG au tour par tour à un jeu action-RPG s’est fait sans heurts. Final Fantasy VII remake était beau, nerveux, difficile. La seule chose que l’on pouvait reprocher à cette première partie c’était qu’elle était un peu courte et ne couvrait que le premier CD (sur les 4 du jeu Playstation). Mais en lui même le jeu avait fait un sacré carton.

Final Fantasy VII Remake

Final Fantasy VII suit les aventures de Cloud Strife, ancien Soldat génétiquement modifié pour devenir un guerrier aux ordres de la Shinra. Cette dernière est une entreprise qui maîtrise la Mako, l’énergie vitale de la planète afin d’en tirer une source d’énergie, des armes. Oui un peu comme si Total venait à devenir la première puissance mondiale.

Cloud est engagé par Avalanche, une organisation éco-terroriste pour les aider à commettre des attentat visant à faire exploser des réacteurs à mako. Fort des ses compétences martiales et physique augmentée par la Shinra et maniant un énorme épée broyeuse, nous suivons leur tentative de rébellion contre une Shinra Omniprésente dans la vie courante.

Vous rencontrerez vos plus fidèles compagnons au fur et à mesure de votre aventure. Je parle bien sûr de votre ami d’enfance Tifa. Du rustre mais puissant Barret. De la mystérieuse Aerith. et vous verrez même une apparition du bestial Red XIII. Vos ennemis ne sont pas en reste. Vous allez devoir affronter toute la direction de la Shinra ainsi que les monstres quíls ont créé. Et il nous faut bien sûr parler du principal antagoniste de ce Final fantasy. Je parle bien sûr du majestueux Sephiroth. 

Je pourrais écrire un article complet rien que sur ce personnage tellement il est charismatique. Déclaré mort suite à une mission qui à mal tourné auquel Cloud avait pris part, il revient pour régler ses comptes avec la Shinra et semble avoir un attrait pour Aerith. Suite à une confrontation épique Final Fantasy VII Remake s’arrête après une victoire temporaire contre Sephiroth.

Final Fantasy VII Intergrade

Mais ce n’est pas tout, l’ épisode totalement inédit est sorti sous le nom de Final Fantasy Intergrade. Un épisode original qui nous présente Yuffie et Sonon. Deux shinobi du Wutaï pays à inspiration asiatique en guerre froide avec le Shinra. Au final même si il n’est pas indispensable ce petit DLC est vraiment agréable à jouer avec des mécanique de jeu unique qui seront reprises dans le Final Fantasy VII Rebirth.

Final Fantasy VII Rebirth

On y est enfin après 4 ans, nous avons enfin pu mettre les mains sur Final Fantasy II Rebirth. Les joueurs avaient quelques peu grogné à cause d’un manque de communication sur une éventuelle sortie. Mais au final est ce que ça valait le coup d’attendre ? La réponse est oui ! Malgré quelques défauts, je passe un très bon moment actuellement sur  Final Fantasy VII Rebirth. Je suis actuellement à 40 heures de jeux et au chapitre 9 et j’ai hâte de continuer mon aventure.

Final Fantasy VII Rebirth reprend l’histoire quasiment juste après la fin de la cinématique de l’opus précédent. C’est plutôt agréable de se retrouver sur une “vraie” suite: Malgré tout, c’est là que les scénaristes ont imbriqué à l’histoire originelle. Mais je dois tout d’abord vous parler de Zack un personnage que vous découvrez dans une sorte de triangle amoureux et qui dans le jeu original aura son importance dans l’arc de Nibelheim. Bref, il apparaît en tant que sauveteur qui œuvre dans les ombres pour apporter son support dans l’ombre. 

Malgré tout, j’avoue que cela me gène un peu. Dans l’histoire originale il n’apparaît que pour justifier l’intrigue et est d’ailleurs déclaré mort dès le début du jeu. Et là il apparaît et sauve tout le monde et apparaît lors de moment que j’ai du mal à justifier et à placer temporellement dans l’histoire.

Pour le reste, on retrouve le principal, le ranch chocobo et la capture de votre premier chocobo. Fort condor et son mini-jeu. La parade de Junon et son mini-jeu de rythme. La traversée pour Costa Del Sol et son combat contre Jenova. Bref je vais m’arreter là sinon je vais commencer à spoiler à mort.

Un gameplay bien maîtrisé

Voila un gros morceau de ce test. Si vous avez joué à l’opus remake, vous ne serez pas dépaysé si ce n’est des ajouts que je détaillerai plus tard le gros des combats ne change pas. Pour les novices, on est dans un action-RPG. Vous composez une équipe de 3 combattants et lors des combats vous contrôlez un personnage principal tout en pouvant switcher/donner des ordres à vos deux compagnons. Pour utiliser vos capacités, vous devez remplir des barre d’ATB (Active Time Battle), au début c’est un peu lent à monter mais avec le renfort de capacités et de Matéria on se retrouve vite à enchaîner les attaques toujours plus spectaculaires les unes que les autres.

On se prend vite au jeu des matérias qui sont des perles qui vous permettent d’utiliser la magie. Ces perles sont à imbriquer des vos équipements (arme et armure) et à combiner si possible afin de créer des combos de magie plus puissants ou ajouter un effet. Sur le papier cela à l’air un peu compliqué mais une fois la manette en main c’est limpide je vous assure.

Il existe plusieurs type de matéria classé en fonction de leur couleur:

  • Vertes: matéria d’action offrant un sort offensif ou défensif.
  • Bleues: matéria particulière à combiner avec une matéria verte pour obtenir des effets bonus.
  • Roses: matéria qui offre un bonus de statistique pure
  • Jaunes: matéria qui offre une nouvelle capacité d’action comme la possibilité de voler ou de transmuter un ennemis.
  • Rouge: matéria d’invocation permettant d’invoquer de puissantes créatures appelées Esper qui peuvent littéralement faire basculer un combat en votre faveur.

On est sur un gameplay vraiment bien maîtrisé de base accompagné de d’un mécanique d’équipement vraiment bien pensé de base. Et vous savez quoi ? ils ont réussi à l’améliorer.

Dans Final Fantasy VII Rebirth vous avez les mêmes mécaniques mais ils ont ajouté en plus quelques nouveautés plus que bienvenues.

Les nouveautés du gameplay

l’une des plus grosses nouveautés de Final Fantasy Rebirth en terme de gameplay tient  en une seule expression: les compétences synchronisées. Et c’est juste génial ! Vous allez pouvoir récupérer des points d’action à dépenser dans un sphérier qui vous permettra de débloquer les actions particulières. Elles sont au nombres de deux:

  • Les compétences synchronisées sont des actions que vous pouvez utiliser à n’importe quelle moment de vos combats. Cela va d’une défense à un attaque chargée qui pourra faire de gros dégâts.
  • Les attaques synchronisées sont une version survitaminée des compétences. Pour les activer vous allez devoir faire un nombre de compétences donnés avec vos personnages afin de pour déclencher une attaque dévastatrice visuellement magnifique. Et pompom sur le Mog, elles vous offrent un bonus temporaire comme une réduction de dégâts ou de consommation de vos points de magie. 

Au final pour un ajout relativement simple, cela change votre façon de jouer du tout au tout.

Si Remake avait pu être frustrant par son aspect assez cloisonné, Final Fantasy VII Rebirth corrige ce défaut. Une fois sorti de la ville de Kalm vous avez accès à un monde ouvert vraiment démentiel. Ce monde ouvert est plus ou moins sous la tutelle de Chadley.

Pour rappel, ce dernier est un stagiaire de la Shinra qui s’est pris de passion pour les simulation de combat qu’a mis au point la société. Il est friand d’analyse et vous envoie faire un des missions annexes sur chacun des chapitres du jeu. Ces missions sont au nombre de 5:

  • Les tours de transmissions qui  vont révéler sur la cartes les autres missions, généralement gardées par un groupe de monstres, le terminal sera ensuite accessible via un petit parcours d’escalade (et souvent des caisses contenant des médailles Mog).
  • Les terrains de chasse sont des combats avec des monstres ayant mutés et étant plus costaud que la moyenne. Vous avez 3 sous-objectifs à remplir généralement assez facilement pour obtenir la mission à 100%. Ces mission permettent de débloquer des combats dans le simulateur de Chadley
  • Les puits de vie en plus de vous fournir de nombreux matériaux pour la synthèse, l’analyse d’un certain nombre de ces puits vous débloque l’accès à des zones contenant des puces débloquant de nouvelles recettes de synthèse.
  • Les cristaux d’Esper qui une fois analysés permettent de réduire le niveau du combat de l’esper lors de vos tentatives d’obtention de la dites Esper.
  • Les Protoreliques mission file-rouge du jeu, grâce à ces missions aussi différentes que marrantes, apporte une originalité bienvenue dans une histoire qui reste relativement sombre.

Il existe aussi une mission qui ne dépend pas de Chadley qui vous met en relation avec des Mogs et leur magasin qui regorge de produits indispensable à la bonne progression de vos personnages.

Au final, cela semble indigeste toutes ces missions et je dois avouer qu’à partir du chapitre 8 cela le devient un peu. Mais ces missions vous permettent de récupérer des matérias ultra puissant vous garantissant un avant tactique certain.

Final Fantasy VII Rebirth et ces innovations

Cette version Rebirth nous offre quelques nouveautés qui m’ont vraiment conquises. Quand on me dit RPG j’ai tendance à sous-entendre création d’objet. Et la synthèse est ce que j’attendais dans ce Final Fantasy VII Rebirth. Vous trouverez des matériaux dans les différentes zones du jeu. Et grâce à cela, vous allez pouvoir créer vos propres potions, vos protection et vos accessoires. C’est juste génial et on à vite envie de trouver le composant manquant pour créer la pièce qui vous manque.

Le système d’évolution est aussi intéressant. A l’image du sphérier de Final Fantasy 10 (bien que beaucoup plus simple), les PA que vous offre les passages de niveaux et les compendium (trouvable chez les Mogs en autres) vous permettent de débloquer des bonus de statistique et les fameuses attaques/compétences synchronisées.

Le Queen’s Blood. Dans chaque Final Fantasy ou presque, vous avez un mini jeu de cartes. Et dans Final Fantasy VII Rebirth vous avez cet étrange jeu. Dans ce jeu de cartes, vous devez placer vos cartes sur un damier composé de 3 lignes de 5 cases. Vous débutez avec les trois premières cases de gauche et vous pouvez y poser une carte de niveau 1. En fonction de votre carte, vous pourrez débloquer la case d’à côté ou l’upgrader pour mettre un cartes de niveau supérieur(jusqu’au niveau 3). Chaque carte étant différente, c’est à vous de composer votre deck de 15 cartes.Votre but ? faire la maximum de points sur chaque ligne afin d’obtenir un score plus élevé que votre adversaire.

Ce jeu est vraiment addictif et dispose d’un sous-quête qui à l’air vraiment sombre lié au créateur du Queen’s Blood.

Un sentiment d’overdose

C’est dur d’utiliser un tel mot mais c’est la réalité. Final Fantasy VII Rebirth est truffé de mini-jeu. J’aime bien cela à l’origine, cela change un peu le gameplay et ajoute une touche de gaieté dans le jeu. Mais là… c’est trop. Vous voulez un chocobo? Mini-jeu. Vous voulez augmenter vos PA ? Débloquer votre limite ultime ? Mini-jeu. Je vois déjà les personnes venir me dire mais tu n’es pas forcé ‘à les faire. Oui sur le papier ça y ressemble mais au final, pas de chocobo, pas de mission de Chadley, pas de mission de Protorelique. Ça en devient vite indigeste même si je dois avouer que la variété est là.

Au final, malgré un gameplay et un scénario explosif et vraiment bien maîtrisé, il s’installe une certaine redondance qui ne fait qu’empirer plus on s’enfonce dans l’histoire. je suis actuellement sur la fin du chapitre 10 et je commence à prendre moins de plaisir (mais vous inquiétez pas j’irais au bout)

Final Fantasy VII Rebirth graphiquement inégal

C’est un peu une douche tiède. Autant Remake était magnifique sur Playstation 4. Autant Final fantasy VII Rebirth est inégal. Les personnages sont magnifiquement modélisés, les environnements magnifique mais on sent que le potentiel graphique de la Playstation 5 ne sont pas exploités. Ya un petit sentiment de “peut mieux faire·”. Si on ajoute un çe caméra qui peut vite se retrouver aux fraises lors de certains combats, ben c’est une partie technique en demi teinte.

Par contre l’ambiance musicale quelle tuerie ! Les musiques du jeu original sont là en version 2024 et ça rend vraiment bien. La montée du mont Corel est juste épique ! Vraiment une ambiance musicale épique

Conclusion

J’attendais une claque de la part de Final Fantasy VII Rebirth. Et bien je l’ai eu ! Ce second jeu de la trilogie a réussi à pallier le problème de Remake. Fidèle à la version Playstation mais en prenant des libertés plutôt correctes, l’ajout d’un monde ouvert est un gros plus surtout qu’il est aussi bien maîtrisé que celui là. Les nouveaux ajouts sont cohérents et apportent de nouvelles fonctionnalités vraiment agréables. Toutefois la profusion de mini-jeux (qui restent indispensable si on veut avoir accès à des équipements puissants) devient vite indigeste et freine quelque peu la motivation dans le jeu. L’aspect graphique est en dessous de ce que peut offrir une playstation 5 mais cela ne freine pas vraiment l’expérience en jeu. Toutefois l’ambiance musicale bordel c’est juste magnifique ! Pour conclure, Final Fantasy VII Rebirth est un très bon jeu que je vous recommande à 100%. J’espère que la suite arrivera bientôt.

Pros

  • Scénario fidèle au jeu original
  • Un vrai monde ouvert
  • Les attaques/compétences synchronisées
  • Une suite directe
  • Ambiance musicale démente
  • Le Queen’s Blood
  • Gameplay nerveux et difficile
  • Les Espers

Cons

  • Trop de mini-jeux
  • Graphiquement inégale
  • Un peu redondant

Publié initialement sur Nintendo Switch en 2023, le jeu Manic Mechanics du studio 4J Studios débarque désormais sur Xbox, PlayStation et PC depuis le 7 mars. Son gameplay rappelle celui d’Overcooked, mais dans une version automobile, mettant les joueurs au défi de réparer des véhicules aussi rapidement que possible en utilisant des pièces à réparer. Mais est-ce vraiment divertissant ?

Un gameplay simple à l’Overcooked

Manic Mechanics offre une expérience de jeu dynamique axée sur la réparation effrénée de véhicules dans un laps de temps donné. Bien qu’il puisse être apprécié en solo, le plaisir s’intensifie considérablement lorsqu’on y joue en groupe comme bon titre anarchique. Le but sera de faire le meilleur score et obtenir les 3 engrenages nécessaires pour compléter le level. Le gain de points dépend du nombre de voitures réparées, des pièces préparées mais non utilisées, ainsi que des pièces haut de gamme utilisées pendant le niveau.

Pour réparer nos véhicules, on aura besoin de pièces à réparer qui arrivent via un convoyeur, demandant aux joueurs d’être attentifs aux nouvelles arrivées pour éviter les ruptures de stock. De plus, certaines pièces « haut de gamme » préparées à l’avance peuvent passer et disparaître à jamais si personne ne les récupère.

Quand nous avons récupérer la pièce, il faudra accomplir des taches assez simple nécessitant l’utilisation du même bouton, mais de manière variée. Par exemple, remettre un pneu à neuf exige une pression frénétique sur le bouton « X », tandis qu’un moteur demande une seule pression au bon moment. Les joueurs peuvent également foncer, lancer des objets et s’occuper du nettoyage du sol ou de l’extinction d’incendies.

Un jeu un peu court et un peu trop facile

Manic Mechanics présente diverses zones, chacune dotée de plusieurs niveaux. En gros, le jeu se compose de six mondes, comprenant chacun cinq niveaux, avec un niveau opposant le personnage de la zone (comme un boss) venu troubler la réparation des véhicules. Chaque zone arbore son propre thème et des caractéristiques distinctes.

Cependant, le jeu est trop court. Le titre m’a pris environ 4 heures pour explorer tous les niveaux et obtenir les 3 engrenages. Même pour atteindre la complétion à 100%, cela ne m’a pas pris beaucoup plus de temps (6 heures pour les 1000G), même en tenant compte des petits secrets pour débloquer des personnages, bien que ceux-ci soient facilement accessibles dans le menu des personnages. Chaque niveau de monde possède également une variante. L’ajout d’un mode versus ne parvient pas vraiment à rehausser l’attrait du titre, un problème inhérent à ce type de jeu qui se prête davantage à quelques soirées entre amis.

En plus de la durée de vie faible, le titre est d’une facilité déconcertante. La réparation des véhicules n’est pas la seule source de points, car même la réparation de pièces partielles octroie des points. Il est donc facile d’accumuler des points sans grande difficulté.

Abordons également la coopération en mode multijoueur. J’ai apprécié les heures passées, en particulier lors de l’introduction des batteries électriques et des tâches nécessitant une coordination entre les coéquipiers. Cependant, en dehors de cette coordination nécessaire, le titre ne se révèle pas aussi coopératif qu’il ne le suggère. Il suffit souvent de s’occuper d’une tâche en solo et d’attendre que le coéquipier fasse la sienne pour obtenir le meilleur score.

Pour terminer, une petite caractéristique anecdotique mais agréable est la possibilité d’examiner la carte et les postes de travail avant de débuter un niveau, facilitant ainsi une meilleure organisation et prévenant des défaites injustifiées (mais faut le faire quand même de ne pas réussir).

Graphisme et Audio

Les graphismes et l’aspect audio de Manic Mechanics sont une véritable réussite, contribuant de manière significative à l’immersion et à l’expérience globale du jeu. Les visuels sont colorés, détaillés et agréablement stylisés, créant un environnement visuellement attrayant et cohérent. Les véhicules à réparer sont rendus avec un souci du détail qui enrichit l’aspect visuel du gameplay. Les animations fluides et les effets visuels ajoutent une touche dynamique aux actions frénétiques des mécaniciens en plein travail.

Du côté audio, la bande-son accompagne parfaitement l’atmosphère chaotique du jeu, avec des mélodies entraînantes et des bruitages bien travaillés. Les effets sonores réactifs aux actions des joueurs renforcent l’immersion, offrant une expérience sensorielle complète. L’ensemble des éléments graphiques et sonores fusionne harmonieusement pour créer une atmosphère ludique , captivante et familiale.

Conclusion

Manic Mechanics offre une expérience de jeu plaisante qui s’aligne bien avec son aspect anarchique. Son gameplay divertissant et facile à appréhender constitue un atout majeur. Cependant, le principal inconvénient réside dans la durée de vie extrêmement limitée du titre. Même l’introduction d’un mode Versus ne parvient pas à susciter un intérêt prolongé, surtout après avoir débloqué tous les éléments et accompli tous les succès. C’est regrettable, surtout après son lancement sur d’autres plates-formes, de ne pas avoir offert davantage de contenu. Néanmoins, le jeu demeure une option satisfaisante pour des moments de convivialité avec des amis ou en famille, grâce à ses modes en ligne et local.

points positifs

  • Un jeu très fun que ce soit seul ou à plusieurs
  • Un bon gameplay anarchique
  • Un level design bien pensé
  • Des graphismes mignons tout plein
  • Une progression agréable

points négatifs

  • Trop Court
  • Pas si coopératif que ça
  • L’ajout du mode Versus anecdotique

Développée par Red Barrels, la série Outlast s’inscrit dans l’univers de l’horreur psychologique, plaçant les personnages au cœur d’environnements oppressants et d’expériences terrifiantes. Pour ce troisième opus, The Outlast Trials se distingue par son orientation multijoueur, proposant une expérience de jeu coopérative dans un contexte de guerre froide. En effet, le jeu nous transporte dans les années 50, permettant ainsi de plonger dans les origines du Lore qui entoure la série. Cependant, la transition d’un gameplay solo à une expérience coopérative impliquant jusqu’à quatre joueurs est-elle viable ?

Nous sommes les Cobayes

The Outlast Trials explore les premières expérimentations de la Murkoff Corporation, l’antagoniste central de la série. Situé en 1959, au cœur de la guerre froide, cet épisode se déroule pendant le célèbre projet MK-Ultra de la CIA, qui a eu lieu de 1953 au début des années 1970. Dans cette trame, la CIA collabore avec la Murkoff Corporation en la finançant pour maximiser les résultats en matière de manipulation mentale. Le jeu met en scène des cobayes humains, recrutant parmi les marginaux, les sans-abris, les prostitués, ainsi que des volontaires ou des individus contraints à participer à ces expériences. The Outlast Trials offre aux joueurs l’opportunité d’incarner l’un de ces sujets d’expérience, avec pour objectif de renaître.

Contrairement à ses prédécesseurs, The Outlast Trials réduit considérablement l’importance de son aspect narratif au profit d’une expérience fortement influencée par le genre de l’Escape Game, chaque programme proposant une atmosphère distincte. Pour sa sortie en version 1.0 (à noter qu’il est resté un an en Early Access), le jeu propose un total de 5 épreuves pour sa première thérapie, chacune avec son propre terrain de jeu. En plus de ces épreuves, deux missions défis sont disponibles pour chaque épreuve. De plus, le studio n’abandonne pas les amateurs de lore, offrant la possibilité de recueillir des documents dispersés à travers les différentes zones de test.

Si vous faites bien les choses, lors de votre premier programme de thérapie, vous aurez assez de jeton pour libérer votre premier sujet. Il s’agit d’une épreuve finale, qui comme pour l’introduction se fera seul mais d’une difficulté tout de même bien relevé. Et oui, faut la mérité votre liberté ! Si cette dernière épreuve est réussite, nous allons simplement recréer un nouveau personnage et débloquer des programmes de thérapies différentes qui seront bien sûr plus durs avec des mutateurs qui seront actifs.

Même si on peut trouver sa un peu redondant car on refera les mêmes épreuves, le contenu est assez conséquent pour s’en priver. Car avec ses trois thérapies, plus une thérapie à la semaine un programme de mise à jour saisonnier, le titre peut se voir avec un contenus sans fin, jusqu’à l’épuisement créatifs des développeurs.

Nous ne sommes plus seuls

Nous commençons ainsi notre nouvelle vie de Cobaye avec une première pour la franchise – la possibilité de créer notre propre personnage. The Outlast Trials permet une personnalisation de votre avatar via un éditeur relativement simple mais efficace. Ensuite, nous sommes plongés dans la première mission, servant de tutoriel après une petite cinématique où les scientifiques de Murkoff nous équipent de lunettes de vision nocturne sur le crâne (qui remplace la bonne vieille caméra). Cette mission, réalisable uniquement en solo, instaure une atmosphère horrifique et perturbante au titre, tout en permettant d’observer des similitudes avec ses prédécesseurs.

En termes de gameplay, la recette qui a fait ses preuves n’est pas modifiée, mais elle est agrémentée de plusieurs nouveautés. Vous avez la possibilité d’alterner entre votre vision naturelle et celle de vos lunettes à tout moment pendant votre progression, que vous évoluiez dans un environnement éclairé ou sombre. Comme dans les volets précédents, l’utilisation de la vision nocturne consomme de l’énergie, donc trouver des batteries pour les recharger est impératif sous peine de voir votre champ de vision considérablement réduit dans les zones sombres des niveaux. En plus de rechercher des batteries, vous pourrez mettre la main sur divers objets pour faciliter vos sessions, tels que des bouteilles de soins, des shots d’adrénaline, et des endroits pour se cacher, améliorant ainsi votre endurance et votre expérience de jeu.

Parlons des nouveautés, la première est que vous pouvez désormais vous défendre, même de manière limitée. Vous pouvez envoyer des briques et des bouteilles vides pour leurrer ou désorienter temporairement vos assaillants, une nouveauté bienvenue bien que ponctuelle. La seconde, tant attendue, est l’ajout de la composante coopérative. Vous pouvez être jusqu’à 4 pour affronter les épreuves horrifiques préparées par la Murkoff Corporation. Cela peut diminuer légèrement l’aspect effrayant du jeu, mais la variété des ennemis et le sentiment constant d’exposition restent intacts. Cette approche facilite la progression à travers les épreuves, bien que les objectifs soient ajustés en fonction du nombre de joueurs dans la session, et offre une exploration plus détendue des éléments d’horreur.

Quand je parle de facilité pour passer les épreuves, je pense surtout à la possibilité pour vos alliés de vous aider à vous échapper des griffes des ennemis via une interaction d’aide. Ils peuvent également vous orienter, signaler des objets nécessaires, voire même des ennemis. Vous pouvez volontairement attirer l’attention des ennemis pour permettre à vos coéquipiers de plus facilement atteindre l’objectif, surtout lorsque l’ennemi reste dans une zone bien définie. Car le gros problème du titre vient de l’IA, qui peut être aléatoire, en vous agressant alors que vous êtes loin d’elle dans le noir ou encore rester planter dans la zone d’objectif, qui pour le coup de jouer à plusieurs et bénéfique.

La progression devient un élément clé du jeu

Une autre grande nouveauté dans cet opus réside dans la progression du joueur. À la fin de chaque mission, vous recevez une note en fonction de vos accomplissements tout au long de la partie. Allant de F à A+, cette note est individuelle et influence votre gain d’expérience en plus de l’achèvement de la mission. Évidemment, plus votre note est élevée, plus l’expérience gagnée est conséquente.

Une fois que votre personnage atteint le niveau 2, vous pouvez obtenir un atout spécial auprès de Cornelius Noakes, l’ingénieur de la Murkoff Corporation : une Machine. Les Machines sont des atouts supplémentaires, dépendant de votre barre d’inventaire. Vous pouvez choisir entre quatre options : Étourdissement, Soins, Aveuglement et Rayons X. Le premier a pour but, comme son nom l’indique, d’étourdir temporairement une cible, le second de vous redonner de la santé, le troisième d’obstruer la vision des ennemis, et enfin le dernier de voir où se trouvent vos poursuivants à travers les murs. Après avoir utilisé votre Machine, vous devez attendre un moment avant de pouvoir la réutiliser, à moins de trouver une recharge pour passer la période de refroidissement.

Un système de tickets, que vous pouvez acquérir en faisant monter le niveau de votre personnage, vous permet d’améliorer ces Machines pour les rendre plus efficaces. En plus de Noakes, deux autres PNJ vous procurent des avantages. L’infirmière à l’accueil propose plusieurs bonus passifs pour votre personnage, et Doris, disponible à l’étage, vous donne accès à des AMPS, des bonus supplémentaires à équiper sur votre personnage. Vous pouvez équiper jusqu’à trois AMPS à partir du niveau 20. Tous ces éléments sont conçus pour faciliter la progression, que vous jouiez en solo ou en coopération, tout en offrant des approches variées pour les missions.

En ce qui concerne l’espace où vous pouvez vous détendre et planifier votre prochaine épreuve, il s’agit de la salle de sommeil, un hub de rencontre pour les joueurs formant des groupes potentiels. L’ambiance ici est différente. Bien que les scientifiques et les gardes observent depuis les hublots, et que les cris de douleur au loin puissent donner des frissons, le hub est l’endroit le plus « normal » du centre de test. À mi-chemin entre un pénitencier et un hôpital, vous disposez de votre propre chambre et avez la possibilité d’améliorer votre personnage auprès de quelques personnages clés. Vous pouvez également participer à des matchs de bras de fer ou à des parties d’échecs contre d’autres joueurs si le cœur vous en dit.

Pour terminer, c’est aussi dans ce HUB que nous pourrons personnaliser notre personnages mais aussi la chambre, avec divers éléments cosmétiques gagner durant nos épreuves réussies ou par la montée de niveau afin de nous rendre SWAG même dans la mort !

Graphisme & Audio

L’atmosphère horrifique de The Outlast Trials se révèle incroyablement intense et remarquablement bien construite. Certains décors ont réussi à provoquer en moi un malaise à plusieurs reprises, illustrant l’audace des développeurs qui repoussent les limites avec brio. Certaines scènes pourraient sans conteste choquer les âmes sensibles, mais c’est précisément cette capacité à susciter des émotions fortes qui constitue l’une des forces majeures de la série Outlast. Au-delà de l’aspect visuel, les bruits ambiants et les sons émis par vos poursuivants parviennent à créer des frissons. J’ai même été la victime de quelques jumpscares ou de cris stridents, même en groupe.

Un autre élément qui accélère le pouls dans The Outlast Trials est le recours fréquent à l’obscurité. Parfois, l’obscurité peut même devenir votre alliée, car certains ennemis ne vous repéreront pas, créant ainsi des situations comiques où vous pouvez surprendre vos alliés en apparaissant derrière eux. Oui, j’ai failli avoir plusieurs crises cardiaques à cause de ces moments de sursaut inattendus.

Abordons maintenant le sujet des ennemis. Bien que la plupart des créatures soient familières, certaines présentent des capacités différentes. Pour en mentionner une, certaines peuvent vous droguer, vous plongeant ainsi dans un état de psychose. En l’absence d’antidote, votre seule option est de fuir pour survivre, vous obligeant à abandonner toute tentative de discrétion, d’autant plus que votre santé diminuera progressivement. Pour le reste, je vous laisse découvrir en jouant !

En conclusion, je vous conseille vivement de prendre votre temps au cours de vos parties, cela n’affecte pas votre note. Cette approche vous permettra d’analyser votre environnement, d’éviter vos poursuivants, de déjouer les nombreux pièges dissimulés dans la carte, et surtout, de vous familiariser progressivement avec la carte pour connaître les meilleurs endroits où vous cacher.

Conclusion

The Outlast Trials offre une expérience horrifique immersive, captivante et riche en contenu. Le gameplay reste fidèle à la formule de la série, mais avec des ajouts significatifs, dont la défense limitée et la coopération à quatre joueurs. La diversité des éléments de gameplay, la coopération, la personnalisation du personnage et la progression individuelle contribuent à une expérience de jeu complète et intense, destinée à satisfaire les amateurs de frissons. Pour ma part, je ne peux que vous recommander cette version multijoueur de Outlast et espérer que le titre continuera de s’étoffer afin de nous proposer de nouvelles expériences à la hauteur du titre.

Points positifs

  • L’ambiance malsaine et sale à souhait
  • Les ajouts de gameplay
  • Le système de progression
  • Pouvoir survivre à 4
  • Un doublage en français disponible
  • Un véritable potentiel de contenu sur le long terme si le suivi est là

Points négatifs

  • L’IA un peu aléatoire

Petite galerie d’images

Le tout premier jeu de Josef Fares, Brothers: A Tale Of Two Sons bénéficie d’un remake, près de 11 ans après sa première sortie. C’est le studio Avantgarden qui est en charge, proposant ainsi une occasion unique de redécouvrir cette aventure magique. La question inévitable qui se pose est de savoir si le gameplay conserve sa facilité d’accès et si le jeu a été sublimé dans cette nouvelle mouture.

Un rappel de l’histoire

Brothers: A Tale of Two Sons suit l’histoire de deux frères, Naia et Naiee, dans leur quête pour sauver leur père gravement malade. Leur aventure débute dans un village pittoresque, mais rapidement, ils se retrouvent confrontés à des défis et à des paysages fantastiques. Guidés par le besoin de trouver l’eau de la vie, les frères entreprennent un voyage périlleux à travers des environnements variés, allant des sommets enneigés aux profondeurs obscures d’une caverne.

Même 11 ans après, l’histoire est vraiment unique. D’une part avec la manière dont elle est racontée. Il n’y a aucun langage compréhensible, les personnages s’exprimant dans une langue fictive. D’une autre part par certains passages poignants que nous rencontrerons durant notre aventure. La rencontre avec d’autres personnages, crée une connexion émotionnelle profonde avec les frères et rend l’histoire mémorable jusqu’à la conclusion émotionnelle du jeu.

Cependant, ne vous attendez pas à trouver une petite nouveauté scénaristique. Il s’agit exactement du même jeu sorti en 2013. C’est regrettable, d’autant plus que la durée de vie reste relativement courte, soit environ 3 à 4 heures pour atteindre le dénouement de cette épopée.

Un gameplay à une seule manette mais pas que !

La caractéristiques la plus frappantes de « Brothers » est son concept de contrôle dual. Celui ci reste le même et n’a pas bougé d’un iota et reste toujours facile à comprendre. Le joueur contrôle le frère aîné avec le joystick gauche et le cadet avec le joystick droit. De même, toutes les interactions avec le décor sont attribuées aux deux gâchettes : la gauche pour l’aîné et la droite pour le cadet.

Une coordination minimale est nécessaire dès les premiers instants, car les deux frères doivent manœuvrer une brouette contenant leur père malade. La complémentarité des deux frères est essentielle pour réussir leur mission : l’aîné peut parfois servir de support au cadet, et ce dernier peut se faufiler entre des barreaux pour débloquer le passage à son frère. Les compétences mutuelles des frères, logiques et bien intégrées, renforcent le lien émotionnel entre eux. La véritable force du jeu réside dans ce gameplay unique, qui, bien loin d’être une simple fantaisie des développeurs, contribue pleinement à la narration immersive.

Cependant, ce Remake ne se limite pas à une simple aventure solo, car il offre également la possibilité de jouer en coopération locale à deux. Chaque joueur dispose de sa propre manette et prend le contrôle d’un des protagonistes. Cette addition est particulièrement appréciée, surtout compte tenu des récents travaux de Josef Fares, qui mettent en avant l’aventure en coopération.

L’audio et le graphisme sublimés par ce Remake

De plus, le terme « remake » prend tout son sens dans le cas de ce Brothers. La refonte graphique opérée sous Unreal Engine 5 confère une immersion totale, offrant des textures plus travaillées et un jeu de lumière qui en met plein la vue. L’évolution graphique est évidente, et je vous invite à comparer ces quelques images avec celles du build de 2013 pour apprécier la différence frappante.

Par ailleurs, un aspect qui contribue grandement à l’expérience est le réenregistrement en live de la bande originale. Cette démarche ajoute une dimension supplémentaire d’émotion au jeu, amplifiant l’impact des moments clés et renforçant l’immersion sonore. La combinaison de cette refonte graphique et de l’amélioration audio crée une expérience encore plus captivante et mémorable pour les joueurs, faisant de ce remake une véritable réussite dans la modernisation de l’aventure Brothers.

Conclusion

Brothers: A Tale of Two Sons Remake offre une expérience exceptionnelle qui allie habilement une histoire profonde et touchante à un gameplay novateur. Malgré le fait que l’histoire reste inchangée depuis sa sortie initiale en 2013, elle demeure unique et mémorable, grâce à la narration sans langage compréhensible et aux moments poignants rencontrés tout au long du périple des frères Naia et Naiee. Le gameplay, centré sur le contrôle dual, reste aussi captivant que dans la version originale, avec l’ajout bienvenu de la coopération locale à deux. La refonte graphique réalisée sous Unreal Engine 5 est un véritable tour de force, offrant des textures plus détaillées et un jeu de lumière époustouflant qui modernise l’esthétique du jeu de manière spectaculaire. De plus, le réenregistrement en live de la bande originale apporte une nouvelle dimension émotionnelle, renforçant l’immersion sonore et amplifiant l’impact des moments clés. Malgré la durée de vie relativement courte, Brothers: A Tale of Two Sons Remake se distingue comme une réussite dans la modernisation d’une aventure déjà appréciée en 2013, offrant une expérience qui ravira tant les fans de la version originale que les nouveaux venus.

Galerie d’image du jeu (Sans Spoil !)

points positifs

  • Une superbe direction artistique sublimé par ce remake
  • L’audio joue encore plus un rôle pour transmettre les émotions
  • Pouvoir faire l’aventure à 2 sur le même écran
  • Une section contenu bonus (artworks, vidéo)

Points Négatifs

  • Les mêmes qu’en 2013, durée de vie, pas de challenge.

Explorez un univers fantastique et combattez des forces maléfique depuis votre canapé !

Granblue Fantasy est une franchise japonaise de jeu vidéo développé par Cygames, sorti pour la première fois au Japon en mars 2014. Le jeu est notamment connu pour la réunion du compositeur Nobuo Uematsu et du directeur artistique Hideo Minaba, qui ont collaboré sur plusieurs Final Fantasy et Lost Odyssey.

il y a peut, Cygames, nous à mis à disposition une démo de Granblue Fantasy : Relink, pour faire attendre les fans qui voulait cet opus qui était prévu le 01 Fevrier 2024 sur PlayStation 5, PlayStation 4 et PC.

Intriguée par cette annonce je me suis dit pourquoi ne pas jouée à la démo ne connaissant pas la série avant.

La démo jouable nous donne accès à trois mode de jeu :

*Didacticiel : Permets d’apprendre à jouer au jeu et comprendre sont fonctionnement
* Histoire : Pour un avant gout de ce qui nous attends durant cette aventure qui n’a pas l’air de tout repos
* Quête : Trois quêtes vous seras proposer pour mettre votre talent à l’épreuve (Solo ou multijoueur)

Je me suis donc prise au jeu avec le contenue de cette démo, au final je ne suis pas déçue ! malgré quelques bémol que j’ai pus constatée.

J’ai débutée avec le tutoriel qui était plutôt simple et rapide, en plus d’être plutôt clair. Le jeu à un style de combat plutôt sympa et bourrin qui fera plaisir a celles et ceux qui veulent combattre du méchants pas beau ! on peut tout de même voir que le jeu donne pas mal de place à l’esprit d’équipe. Grace aux actions combiner. Quand tout le monde lance sont attaque dévastatrice l’un après l’autre nous avons le droit à un Full Burst que je trouve classe !

La partie histoire même si j’ai plutôt bien aimée, j’ai trouvée tout de même cela dommage que nous avions pas pus en voir plus.Il y a beaucoup de combat ce qui est fun mais j’aurais vraiment apprécier avoir plus d’histoire car sa à l’air d’être épique.
On peut partir en exploration.. même si au bout d’un moment on ne pourra hélas plus faire demi tour comme on nous bloquera la route. J’aurais aimée avoir une petite partie de terrain à explorer.

On peut voir aussi plusieurs boutique, dans le mode Histoire et Quêtes. Celle ci sont disponible que dans la version final du jeu.

J’ai plutôt trouvée la partie contre la montre avec les coffres invisibles drôle mais aussi plutôt ragent par moment vu que le protagoniste à des déplacements un peut trop rapide, Le jeu fera apparaître des petits cristaux à récupérer dans un temps limiter, une fois le parcours réussi, le contenu vous sera accessible.

Durant ma ballade, de nombreux coffres était disponible. ils peuvent contenir des objets varier que ce soit des pièces d’or ou même de l’équipement pour améliorer les personnages.

La partie dialogue est plutôt agréable, les petites bulles qui apparaisse quand vous passez prêt des personnages, les fenêtres ou l’on peut voir le texte défiler son plutôt facile à lire même si la partie sous titre en pleine scène d’action est pas trop pratique..

Pour ceux qui ont peur d’avoir pas compris quelques choses ou même d’avoir sauter une ligne sans faire attention, pas de panique vous avez la possibilité de retrouvez les dialogues dans le journal mis à disposition

La démo nous propose donc aussi trois difficultés pour le mode histoire. Tout le monde trouvera le niveau qu’il souhaite !

Cette partie, en plus d’avoir de magnifique design et des musiques de fond géniaux je suis clairement restée sur ma faim à la fin de ce mode. Trop de combat est pas assez de phase ou l’on apprend plus sur cet opus ! Mais on reste pris par l’action qu’elle nous offre.

Ensuite viens le mode quête, qui nous proposes trois missions plutôt tendue et fun à faire pour découvrir un peut plus ce titre. On découvre aussi des lieux qu’on à pas vu dans les deux modes précédents.

Même si la troisième partie et elle aussi courte on peut toujours essayer à nouveau pour avoir un meilleur score ! La possibilité de jouer entre amis sera disponible.
Il est aussi possible de discuter avec les autres avec des emotes directement en jeu.

Les personnages sont plutôt attachent et bien fait comme les décors, on à vraiment envie de ce plonger dans cette univers qu’est Granbule Fantasy ! on veut tout voir, on pourrais même avoir envie d’allumer le jeu juste pour ce balader.

La démo vaut il le coup d’œil ?

Malgré qu’elle soit courte, je pense que oui ! sa ma permis de découvrir cette univers qui à l’air bien intéressant donc hésitez pas. Elle fait bien patientait les fans impatient d’avoir le jeu ou plairont aux joueurs qui découvre.
En plus d’avoir un fonctionnement et des touches simple elle est plutôt facilement accessibles si on à pas l’habitude !

Mes attentes pour Granblue Fantasy :

Après cette démo et le trailer qui donne envie j’espère que jeu sera à la hauteur de mes attentes, il à vraiment tout pour me plaire, en espérant que l’on soit plus libre. J’aimerais vraiment pouvoir voir le monde et c’est environs, en plus d’avoir pas mal d’objet à ramasser, pourquoi pas nous laisser faire quelques petites potions et autre concoction. Une partie histoire plus présente aussi ne serait pas de refus ! Je n’aurais rien contre une carte plutôt grande.

Conclusion

J’avoue être impatiente de voir ce que nous réserve le jeu, j’ai plutôt était charmée par les graphismes, les décors et les personnages, même si j’aurais aimer en savoir plus. Je trouve les combats fun et dynamique, je me demande ce qui va donc ce passer ensuite après cette petite quête de sauvetage. La musique est vraiment superbe, le jeu est colorée ! Un petit coup de cœur qui me donne envie de me penchée sur les anciens jeux de la série.

Prochainement..

Bientôt en plus de ce petit avis sur la démo, je peux te dire qu’un test est en cours sur le jeu entier, alors reste bien attentif !

Points POSITIFS

  • L’ambiance musical
  • Les graphismes et le designs des personnages sympa
  • L’action plutôt présente, ce qui ennuie pas la personne qui joue
  • Les commandes simples

points NÉGATIFS

  • La durée de la démo et des modes
  • Un petit peut trop de combat
  • Manque beaucoup de passage ou on peut être libre d’explorer
  • Notre personnage un peut trop casse pieds pendent les moments de parcours

Skull and Bones, le jeu tant attendu développé par Ubisoft, promet de plonger les joueurs dans un monde de piraterie plein d’intrigues, de batailles navales et de trésors cachés. Après 11 ans de développement, de multiples reports et surtout un reboot du projet, le premier titre du studio basé à Singapour mérite-t-il toute cette haine de la part des joueurs ? Nous allons le voir ici après plus de 70H de jeu (bêta ouverte incluse) !

Contexte et histoire

Skull and Bones plonge les joueurs dans l’âge d’or de la piraterie, une époque où les océans étaient le théâtre de conflits féroces entre les grandes puissances maritimes. L’histoire se déroule au XVIIIe siècle, une période caractérisée par l’essor des compagnies commerciales, des rivalités impérialistes et des flibustiers intrépides. Le joueur incarne un capitaine de navire personnalisable, évoluant dans un monde où les alliances sont fragiles et les trahisons monnaie courante. Alors que les empires coloniaux s’efforcent d’étendre leur influence sur les mers tumultueuses, les pirates émergent en tant que force indomptable, aspirant à leur propre liberté et fortune. Au cœur de ce contexte, le protagoniste naviguera à travers des océans imprévisibles, affrontera des ennemis redoutables, et participera à des intrigues politiques complexes, contribuant ainsi à sculpter son destin dans les vagues tumultueuses de l’histoire maritime.

Vous l’avez compris sur le papier ça rend du rêve. Après une petite introduction directement à la barre d’un navire en plein combat où l’issue tragique est inévitable, on se retrouve à la dérive sur un morceau d’épave. La suite sera basé sur des contrats qui serviront de fil conducteur à notre ascension en temps que Kingpin. Le premier personnage qu’on nous rencontrera pour faire le pan d’histoire de notre jeu sera Scurlock. Celui-ci nous confiera une série de quêtes principales. Il faudra qu’on l’aide à garder le pouvoir à Sainte-Anne en éliminant les concurrents et les traîtres.

Un deuxième arc narrative s’ouvrira plus tard en rencontrant l’amirale Rahma mais avec une difficulté plus importante et une toute autre région que celle où nous avions commencé (on reparlera des régions plus tard). Bien sûr, multitude de contrats annexes seront également disponibles aux quatre coins de la carte en discutant avec divers PNJ.

Malheureusement, l’intérêt scénaristique reste très limité et ces contrats impliquent finalement toujours le même genre d’objectif : couler un ou plusieurs navires désignés ou récupérer des ressources particulières. Et grosse déception aussi au niveau du Lore que peut apporter le jeu. J’adore Ubisoft qui aime mettre le coté historique dans leur jeu, mais ici il y en a très peu et c’est dommage.

Les batailles navales au cœur du titre, en contrario des phases terrestres

Ubisoft a fait le pari de faire de Skull and Bones une immersion dans le système de navigations et les batailles navales. Sur ce coup le pari est réussie. Le système de navigation et les batailles navales de Skull and Bones offrent une expérience immersive et dynamique, transportant les joueurs au cœur de l’excitation et du danger des océans. La navigation est fluide et réaliste, mettant en avant la taille imposante des navires, leurs détails minutieux et les conditions météorologiques changeantes qui influencent la stratégie du joueur.

Les commandes intuitives nous permet de manœuvrer habilement à travers les vagues déchaînées tout en profitant de la sensation authentique de la navigation maritime. Les batailles navales sont le point d’orgue, offrant des affrontements épiques contre les flottes adverses. Les joueurs peuvent personnaliser leurs navires en fonction de leur style de jeu, que ce soit en privilégiant la rapidité pour échapper à leurs poursuivants ou en renforçant la puissance de feu pour dominer les batailles.

L’impact visuel des canons tonitruants, des voiles déchirées et des navires en flammes crée une expérience intense, renforcée par des mécanismes de combat stratégiques qui récompensent la planification tactique et la maîtrise des compétences navales. Dans l’ensemble, le système de navigation et les batailles navales de Skull and Bones ajoutent une couche immersive et palpitante à cette aventure pirate captivante.

Parlons maintenant de la chose qui fâche, les phases terrestres. Le peu de ce gameplay est tout de même réussit on ne va pas ce mentir mais enrichit l’expérience globale. Ces segments offrent aux joueurs la possibilité de débarquer sur des îles exotiques, explorant des environnements variés pour certains des lieux vivants. On pourra bien sût trouver des trésors cachés, interagir avec des personnages non joueurs intrigants, et d’accomplir des quêtes spécifiques.

Cependant toutes les îles ne sont pas fréquentables, vous avez deux repaires (une pour L’île rouge où abrite Scurlock et une pour l’Asie avec Rahma) où vous pouvez retrouver les métiers qui vous aideront à avancer dans la route pour devenir le plus puissant des pirates (Forgeron, raffinerie marchand, etc …). Le reste des îles où nous pourront poser pieds seront juste des avant-postes, où nous trouveront dans chacune d’entres elles un marchand qui ne vendra pas la même chose, un peu de vie mais surtout l’endroit où vous pouvez déterrer vos coffres.

D’ailleurs en parlant des coffres, c’est assez facile. Il y a plusieurs rareté qui donneront plus ou moins d’indice sur le lieu ou le coffre se trouvera. Quand nous avons trouvé l’ile, il suffira d’aller à l’endroit dessiner sur la carte et un grand faisceau lumineux sortira pour vous dire que c’est ici. Une interaction et voila le coffre est déterrer. C’est dommage et ça gâche un peu le plaisir de devoir chercher notre trésor.

Enfin, certaines îles ne seront pas accessibles pour l’accostage. Elles serviront de sites de pillage, disposant néanmoins de protections pour obtenir des ressources plus rares. Dans ces zones, nous pourrons trouver des scieries, capitales de la faction, voire même des forts (que je vous conseille d’attaquer en équipe).

La progression d’une montée en puissance

La progression du joueur dans Skull and Bones est ancrée dans une expérience immersive où la personnalisation et l’amélioration constante du capitaine et de son équipage jouent un rôle central. On commence en tant que Vaurien pour devenir ensuite Kingpin. Pour nous aider dans cette première phase de progression appelée Infamie, tous les moyens sont bons, que ce soit à travers des contrats principaux ou secondaires, des investigations, le naufrage de navires, ou encore le pillage de localités. Bien sûr, l’expérience gagnée sera proportionnelle au niveau. Si vous affrontez des navires de bas niveau, l’infamie obtenue sera moindre.

Parallèlement à notre montée de niveau, il est nécessaire d’améliorer la puissance de notre navire au fil de notre progression. Cela se fera progressivement, en commençant par un premier navire qui grandira au fur et à mesure de notre avancée. Plusieurs caractéristiques entrent en jeu, la première étant la puissance. Chaque navire a une puissance de base variant de 2 à 5, et son augmentation dépend des armes et des protections que l’on installe. Plus les caractéristiques sont puissantes, plus notre bateau augmentera en puissance. Bien sûr, chaque navire ne pourra pas s’équiper du même nombre de canons ou armes à notre disposition.

En ce qui concerne les bateaux, en plus de la puissance, chacun possède ses propres caractéristiques. Certains sont davantage axés sur l’attaque (DPS), d’autres sur la résistance aux dégâts (Tank), et il existe même une classe de bateau dédiée aux soins (bien que ce soit la seule). Outre ces paramètres, il faut tenir compte de la vitesse maximale que peut atteindre votre bateau ainsi que de sa cale. Il y a tellement de paramètres à prendre en compte, et même si le nombre de bateaux est limité (9 au lancement), Ubisoft propose une variété de gameplay, en particulier avec le nombre d’armes à notre disposition.

En parlant des armes, elles conviennent à tous les goûts, des canons classiques aux armes de corps à corps, des armes à distance aux mortiers, voire même des torpilles. Bien sûr, chaque arme nécessite un temps d’adaptation à prendre en compte pour créer l’arsenal de notre navire où l’on se sentira le plus à l’aise. Certaines de ces armes peuvent également infliger des malus à l’ennemi (inondation, incendie) ou aider vos alliés en difficulté avec des boulets de soins à envoyer s’ils se trouvent dans une situation délicate.

Le craft – un élément sous-exploiter

Pour fabriquer toutes ces belles choses, il va bien falloir s’atteler à la tâche. Et pour cela, plusieurs PNJ seront là pour exaucer vos vœux les plus chers, en particulier pour construire vos bateaux, armes, ou même des éléments essentiels à votre capitaine. Cependant, pour fabriquer tout cela, il vous faut des schémas ! Et pour obtenir ces schémas, il existe plusieurs façons. La première consiste simplement à progresser dans l’histoire principale ou à monter votre niveau de capitaine. La seconde option serait tout simplement de marchander avec les PNJ disponibles dans les différents avant-postes. Mais pas de panique, vous pouvez facilement suivre depuis le PNJ où vous souhaitez crafter votre schéma ou depuis votre codex pour connaître le lieu où vous pouvez l’acheter. Il est appréciable que l’accès complet ne soit pas donné dès le début de la progression, cela donne également de l’utilité à la monnaie présente dans le jeu.

Maintenant que nous avons le schéma, il nous faut les ressources. Il existe deux moyens, le premier et le plus simple, où je vais passer le moins de temps, consiste à couler des bateaux. Tous les bateaux que nous rencontrons auront de la marchandise, qui pourra soit être revendue, soit, pour certains, nous servir de ressources pour le craft. Bien sûr, tout n’est pas trouvable sur les navires (et inversement), mais les marchands seront la meilleure proie à avoir pour cette première occasion. Car la deuxième méthode, c’est tout simplement de récolter nous-mêmes les ressources manuellement.

Et là, je ne suis pas très content ! Pourquoi c’est aussi simple et limite inintéressant … Comme il n’y a pas de phase à pied (hormis sur les avant-postes), tout se fait en bateau. Il suffit simplement de mettre son bateau à côté d’une zone de récolte (bois/minerais/fibres) et de cliquer sur une touche. Un mini-jeu type QTE avec une barre s’installe sur notre écran et il faut appuyer dans la bonne zone pour récolter plus ou moins de notre ressource. Et voilà, c’est terminé…. Je vous avoue que c’est un peu décourageant comme méthode, mais il faut se rappeler qu’on est totalement en bateau. Donc, je peux comprendre que cet élément puisse déranger, mais on fait vite abstraction.

Ce qui m’embête le plus, c’est l’utilité de la raffinerie. Je me souviens des alphas et bêtas où il fallait chercher du charbon pour la faire fonctionner. Ici, plus rien, nos matériaux bruts, on les emmène, on paie et c’est fait ! Mais cela est dû, je suppose, aux retours différents de la communauté qui ont peut-être trouvé le jeu un peu difficile. Ubisoft a dû rendre certaines choses plus faciles et, pour ma part (et cela reste mon avis !!), c’est dommage. J’aimais bien cet aspect un peu plus hardcore et survie que proposait Skull and Bones durant ses phases alpha et bêta. Dommage !

Pimp my Boat et Kaptain !

Pour enrichir davantage notre aventure et lui conférer une dimension unique, nous avons la possibilité de personnaliser notre bateau, notre équipage et notre capitaine. De nombreux éléments cosmétiques seront disponibles tout au long de notre périple, que nous pourrons acquérir de différentes manières, à l’instar des schémas. Ces cosmétiques peuvent être achetés auprès des divers marchands présents sur les îles ou obtenus en accomplissant certains contrats principaux ou secondaires. C’est un ajout appréciable, et pratiquement tout est disponible à l’achat avec les différentes devises du jeu. Bien sûr, comme c’est souvent le cas dans les jeux mettant en avant l’aspect cosmétique, il est possible d’acheter certains éléments avec de l’argent réel, bien que cela ne soit pas intrusif.

À chaque nouvelle saison, de nouveaux thèmes seront proposés avec une boutique associée, mais rassurez-vous, vous pourrez toujours acquérir certains cosmétiques avec la monnaie in-game. Enfin, Ubisoft proposera, comme c’est désormais la norme, un système de passe de saison. Cependant, pour l’instant, il n’y a pas plus d’informations disponibles sur cette partie, le début de la première saison étant prévu pour le 27 février.

Multijoueur et mode en ligne

Avant de terminer sur le End game du titre, parlons du multijoueur dans son ensemble ! En dehors d’un mode coopératif légèrement décevant, qui ne dévoile son potentiel que lorsque plusieurs joueurs de niveau équivalent s’attaquent à un défi commun, le jeu service d’Ubisoft est quasiment full PVE (on ne peut pas attaquer les joueurs) et est animé par des événements mondiaux qui se déclenchent régulièrement sur la carte.

Les deux premiers incite les loups de mer à collaborer pour affronter un boss navire ou s’impliquer au vol d’une cargaison bien gardée. Le seul évènement qui amène le PVP durant notre progression au range de Kingpin est la Chasse à la cargaison de coupe-gorge, qui offre une expérience PvP où il faut récupérer une carte au trésor légendaire et la livrer sur l’île correspondante aux informations de la carte. Il n’y a pas grand-chose à dire sur le sujet, c’est un concept classique et plutôt agréable à réaliser, même si l’événement ne peut rassembler que maximum 6 joueurs (sur 20 disponible sur le serveur) et surtout que personne ne veux la faire (peut-être par peur du PVP ….).

Pour ce qui est des contrats, vous pouvez partager certains de vos contrats avec votre équipe, mais ça ne sera que l’hôte de la session qui pourra vous les partager (mais vous pouvez tout de même accomplir vos propres contrats !). C’est un système un peu bizarre, surtout que lorsque vous partagez vos contrats, vos alliés n’auront qu’un pourcentage de la quête et non la totalité. Mais au moins, Ubisoft ouvre plus facilement le jeu en coopération, avec un système de progression encore déroutante mais qui va dans la bonne voie.

La timonerie : le end game du titre

Bon je vous ai dit juste avant que le PVP étant un évènement mais pas tout à fait. Le PVP va s’ouvrir sur une grosse partie du End Game. La phase de fin de partie de Skull and Bones vous offre l’opportunité de gérer votre propre empire commercial via la « Timonerie », un système de contrebande accessible dès le niveau 5. Initialement axé sur l’achat de matières premières, leur transformation en rhum ou opium, puis leur livraison. Ce volet prend une toute autre ampleur lorsque vous atteignez le statut de Kingpin. En tant que tel, vous avez la possibilité de prendre le contrôle de points stratégiques sur la carte pour générer de la richesse sans lever le petit doigt. Ce qui rend cette dynamique captivante, c’est que la domination de ces points stratégiques implique des phases PvPvE, mêlant joueurs réels, navires contrôlés par l’IA, et autres adversaires. La victoire revient à celui qui capturera le plus de pourcentage de la zone, ce qui rend la réalisation de cet objectif loin d’être évidente, incitant les joueurs à optimiser au maximum leurs embarcations.

Cependant, l’aventure ne s’arrête pas là. Une fois que vous possédez un point stratégique prêt à remplir vos coffres, il vous faut encore partir à la récolte de votre butin. Cette étape vous impose une implication directe, mais elle est également accompagnée du déclenchement du PvP, offrant ainsi la possibilité à d’autres joueurs de vous attaquer, couler votre navire et dérober vos précieuses ressources. L’idée centrale est donc de choisir judicieusement vos points stratégiques et de planifier un itinéraire commercial aussi sûr que rentable. La coopération avec deux autres amis, susceptibles de vous escorter, peut se révéler déterminante à ce stade. À terme, cette stratégie vous permettra d’accumuler une monnaie spéciale pour acquérir des objets légendaires. En résumé, le concept de la phase finale du jeu est extrêmement captivant, offrant une perspective totalement nouvelle sur Skull and Bones. Et le point positif de cette phase, c’est qu’il y a un classement, pouvant vous octroyez diverses récompenses durant la saison en cours. Et lorsqu’une nouvelle commence, tout est remis à zéro et de nouveau le grind de territoire peut recommencer.

Graphisme / audio

Parlons des graphismes et du son. Graphiquement, je trouve que Skull and Bones est une réussite indéniable. Bien que l’on perçoive que le jeu n’utilise pas le tout dernier moteur graphique, le rendu est soigné et n’est pas problématique. Certains paysages, notamment lors des levers et couchers de soleil, sont tout simplement magnifiques, incitant même à capturer ces moments en photo. Les détails des lieux, en particulier des capitales, sont remarquablement élaborés, créant une impression de vivacité. La bande sonore contribue énormément à l’expérience, surtout pendant les phases en bateau avec les chants de marins qui vous invitent à chanter avec eux !

Le principal souci de Skull and Bones réside surtout dans les finitions et les bugs. Tout d’abord, le doublage n’est pas une totale réussite. Il n’est pas complètement raté, mais pour certains personnages, la voix ne correspond pas à la personne. Il y a même un moment où c’est l’IA qui prend la parole (mais cela n’arrive qu’une fois) pour signaler qu’il reste encore quelques finitions à revoir. Cependant, ce moment m’a plutôt fait sourire, donc cela ne m’a pas dérangé. La synchronisation labiale n’est pas non plus parfaitement en accord.

Le jeu souffre également de quelques plantages, nécessitant parfois de relancer la console, ou simplement d’une boucle de quêtes se répétant en objectifs pour certaines missions. Mais bon, un jeu sans défaut n’existe pas de toute façon, et en rien cela n’a vraiment gâché mon expérience de jeu.

Petit coup de gueule avant de finir

Je vais conclure ce test par un coup de gueule qui n’engage que moi, exprimant mon opinion. STOP, arrêtez de comparer Skull and Bones avec Sea of Thieves ou même AC Black Flag. Nous ne sommes pas du tout dans le même registre de jeux, et je vais expliquer mon point de vue. Tout d’abord, en ce qui concerne Sea of Thieves, c’est un sandbox, et bien que les thèmes soient similaires, les gameplays sont totalement différents. De même pour AC Black Flag, qui appartient à la franchise Assassin’s Creed. Le simple fait qu’une caractéristique du jeu puisse sembler similaire ne signifie pas que nous avons affaire au même jeu. Je peux concéder sur un point, mais cela relève d’un problème de communication d’Ubisoft. La comparaison fréquente entre Skull and Bones et l’aspect multijoueur de Black Flag était une lacune dans la communication, car il s’agit d’un tout autre jeu, évoluant dans un tout autre univers qui n’a pas lieu d’être comparé.

Alors, s’il vous plaît, ouvrez-vous, cessez d’écouter les détracteurs qui n’ont jamais ou à peine joué au jeu. Le jeu est disponible gratuitement pendant 8 heures, formez votre propre opinion. Même si elle diffère de la mienne, cela ouvrira un débat constructif, stimulant et surtout ouvert.

Conclusion

Skull and Bones offre une expérience immersive et captivante, ancrée dans la progression du joueur et la personnalisation de son équipage et de son navire. La diversité des bateaux, armes et caractéristiques offre une variété de gameplay, bien que certaines mécaniques, comme le système de récolte, puissent sembler simplistes. Graphiquement, le jeu est une réussite, offrant des paysages magnifiques et détaillés. Cependant, les problèmes de finitions, de doublage et de bugs peuvent parfois ternir l’expérience, bien que ceux-ci n’aient pas été suffisamment gênants pour altérer significativement le plaisir de jeu. Au final, Skull and Bones, malgré quelques défauts, offre une base solide, surtout avec sa phase finale, où la gestion de l’empire commercial et les affrontements PvP ajoutent une profondeur appréciable. Dans l’ensemble, le jeu mérite l’attention et je ne peux que vous conseiller le dernier né d’Ubisoft. Pour mon avis personnel, j’y retourne avec plaisir et le jeu grandira au fur et à mesure des saisons et j’ai hâte de connaître le futur de cette toute nouvelle franchise tellement c’est plaisant !

Points Positifs

  • Les batailles navales, très réussies
  • Une réalisation solide (visuels, son)
  • Le contenu juste énorme
  • Le End game
  • Le contenu post lancement GRATUIT !!

Points négatifs

  • Manques de finition / bugs
  • La chasse au trésors
  • Un peu trop simple

Dans toutes les sorties que nous avons eues durant le mois de février, un petit jeu m’a interpellé, tout d’abord par ses graphismes et surtout par une nouvelle simulation que nous n’avions pas encore vue sur nos plateformes. « Garden Life: A Cosy Simulator » est développé par Stillalive Studio, que l’on connaît davantage pour avoir créé le Bus Simulator, et il nous promet de nous livrer un cadre simple et créatif dans un monde chaleureux. Mais le pari est-il réussi ?

Entre Narration poétique et Créativité florissante

Garden Life: A Cozy Simulator est un jeu qui mélange les aspects narratifs avec des éléments créatifs dans le contexte d’un jardin communautaire. Le titre présente deux modes de jeu distincts, l’un axé sur l’histoire et l’autre sur la créativité. On va parler tout d’abord du mode créatif. Dans ce mode, tous les outils, graines et décorations sont accessibles, offrant aux joueurs une liberté totale pour explorer et s’amuser. Cependant, il est recommandé de commencer par le mode histoire, qui offre un didacticiel complet et toutes les informations nécessaires pour une expérience de jeu sans stress.

L’aventure débute donc par la réception d’une charmante carte postale de Jasmine, une amie proche de Robin, le concepteur du jardin communautaire. Robin étant décédé, la responsabilité de redonner vie à son projet inachevé nous incombe. À notre arrivée, la tâche initiale consiste à défricher le sol et à transformer l’endroit en un lieu charmant et apaisant.

La zone de jeu se divise en trois parcelles, avec une seule disponible au début. La remise, située dans cette parcelle, est essentielle pour entreposer les outils, les graines, les décorations, et dispose même d’une table de fabrication pour créer divers objets. Un recueil écrit par le regretté expert en botanique, Robin, offre des informations précieuses sur les plantes, les personnages liés à l’histoire, ainsi qu’un rappel du didacticiel.

Bien entendu, la réalisation de toutes ces actions nécessite des fonds. Afin de générer des fonds et faciliter l’expansion de notre jardin communautaire, les divers résidents nous confieront des missions spécifiques. Ces missions impliquent principalement la cueillette de fleurs, la confection de bouquets et d’objets spécifiques, puis leur dépôt dans une boîte dédiée à cet effet. Grâce à l’accomplissement de ces missions, nous pourrons acquérir de nouvelles graines, mais également investir dans des objets essentiels pour enrichir notre aventure, mais aussi débloquer de nouvelles zones voire même des bâtiments.

Simple mais avec quelques contraintes

Mais votre progression ne sera pas si facile et heureusement. Quelques contraintes peuvent s’opérer afin de ne pas avoir un gameplay redondant. Les éléments environnementaux, tels que les insectes, ajoutent une dimension dynamique à la vie du jardin ou encore avec des défis saisonniers qui apportent leur lot de contraintes et d’avantages, offrant une expérience de jeu dynamique tous les trente jours pour ce côté.

Mais le jeu se voit tout de même assez facile dans son ensemble et rien n’est insurmontable. Tout d’abord, le processus de croissance des plantes, accéléré après l’arrosage, procure une expérience visuelle agréable, avec des végétaux qui semblent pousser quasiment instantanément sous nos yeux. Bien sûr, on peut aller encore plus vite grâce à des engrais, mais cela donne une impression un peu brouillon. Je m’explique, quand on arrive à un moment où nous avons pas mal de fleurs, celles-ci poussent tellement rapidement qu’on ne sait pas où donner de la tête.

Car le jeu souffre d’un énorme défaut, les journées sont beaucoup, mais alors beaucoup trop courtes… Mais nous avons la possibilité de rester travailler après la fin de la journée, offrant tout de même une flexibilité appréciée malgré les indications du jeu.

Nous retrouvons aussi le côté recyclage, par exemple, des mauvaises herbes ou des tas de feuilles, qui pourront être transformées en engrais grâce à un bac de compostage permettant de maximiser l’utilisation de chaque ressource.

Un gameplay simple et efficace sublimé par les graphismes

La prise en main du jeu s’effectue de manière rapide, et le gameplay se distingue par sa simplicité et son intuitivité. Une barre de raccourcis permet une transition aisée entre les différents outils en utilisant les gâchettes LT et RT, tandis que l’accès au sac à dos se fait par le biais du bouton Y. En cas de sac plein, tout objet collecté est automatiquement rangé dans les emplacements désignés de la réserve, garantissant une utilisation efficace de chaque trouvaille.

De plus, pour rendre encore le gameplay simple du titre, pas besoin de parcourir des kilomètres pour passer dans une nouvelle section du village. Il faudra tout simplement aller sur le panneau d’indication pour changer de lieu. Pareil pour rentrer chez nous à la fin de notre journée, où il faudra juste se rendre à l’abri de bus pour rentrer chez nous et changer de journée.

Côté direction artistique, Garden Life: A Cozy Simulator brille avec des visuels magnifiques et réalistes. Les saisons apportent une variété visuelle, et un mode photo permet d’immortaliser chaque détail du jardin. Les bruitages et les mélodies renforcent l’immersion, bien que les journées courtes puissent sembler un inconvénient. La possibilité de rester travailler après la fin de la journée offre une flexibilité appréciée malgré les indications du jeu.

Conclusion

Garden Life: A Cozy Simulator offre une expérience de jeu captivante, équilibrant habilement la narration poétique avec la créativité. Le jeu propose deux modes distincts, mettant en avant une liberté totale dans le mode créatif, tandis que le mode histoire guide les joueurs à travers une aventure engageante. Malgré quelques contraintes ajoutant de la complexité, telles que les éléments environnementaux et les défis saisonniers, le jeu reste globalement accessible. Dans l’ensemble, Garden Life réussit à créer un équilibre offrant aux joueurs une expérience riche et agréable sans prise de tête. La combinaison de l’aspect narratif et créatif crée une atmosphère immersive, où la gestion du jardin communautaire devient à la fois une aventure personnelle et une expression artistique.

Amateur de jeux de stratégie que je suis, je ne pouvais passer à côté de ce titre pour un test. Inkulinati ne vous dis rien ? Moi non plus jusqu’à ce que je me penche dessus. Une main dessinant des animaux armés, un style graphique peu ordinaire, bienvenue pour ce test de Inkulinati sur Nintendo Switch.

Vous êtes un Inkulinati !

Mais c’est quoi un Inkulinati ? Et bien vous ! Un héro médiéval ayant la particularité de pouvoir invoquer des créatures avec de l’encre magique sur une feuille de parchemin. Ne vous inquiétez pas, un tutoriel plutôt complet est là pour vous aider à comprendre les rouages du jeu. Que je vous conseille fortement de faire avant de passer par le mode campagne.

En effet, pourquoi peintre des animaux et créatures si ce n’est pour aller aux combats. Le mode campagne est un roguelike. Cela signifie qu’il existe une carte générée aléatoirement sur laquelle vous pouvez sélectionner les prochains événements. Qu’il s’agisse d’un combat contre des créatures, d’une pause dans une taverne ou d’un combat final contre un Inkulinati adverse , comme d’habitude dans les roguelikes, vous pouvez choisir librement votre itinéraire. Vous disposer d’un total de 4 vies pour terminer votre parcours. Plus de vie, c’est le game over.

Cependant, pendant votre périple, vous collecterez de l’expérience. Nécessaire pour débloquer de nouvelles compétences et unités. mécanique encore une fois classique d’un roguelike. Et de ce fait une certaine re jouabilité.

Votre armée

En effet, un héro tel que vous à besoin d’une armée pour ce battre contre d’autres inkulinati. Le système de combat est simple, un petit terrain de jeu dans lequel se trouvent également les Inculinati eux-mêmes. Depuis leur emplacement, ils peuvent utiliser de l’encre vitale pour peindre l’une des cinq unités sur le parchemin, qui peuvent être sélectionnées avant le début du duel. Oublié les fiers chevaliers en grosse armure, ce sera plutôt des chiens, des chats, des lapins et des ânes, mais aussi toutes sortes de créatures mystiques médiévales.

Histoire de rajouter un peu de piment sur le champs de bataille, quelques obstacles et objets qui peuvent vous desservir ou bien vous servir. Des vases explosifs, des nuages ​​magiques et des obstacles tels que des tonneaux et des armoires. Le but est donc clair et précis, vaincre le Inkulinati adverse !

Cependant, votre armée de chiens et lapins n’est pas votre seul atout. Des capacités spéciales vous y aideront, tant de la part de vos unités que de votre Inkulinati. Les unités peuvent par exemple péter sur leurs adversaires, ce qui réduit leur précision et les met hors de combat pendant un round. Votre héros, lui, a le choix entre des actions dites manuelles. Vous pouvez l’utiliser pour infliger des dégâts à vos adversaires ou les pousser à travers le terrain de jeu. Cela ouvre diverses options tactiques ainsi que l’encre de vie que vous pouvez utiliser pour dessiner des unités ou effectuer des actions manuelles. Vous pouvez également les récupérer au cours d’une partie, par exemple si vous vous tenez sur le cadavre d’une unité vaincue.

Enfin, il faudra faire attention aussi à certains évènements tel que le feu apocalypse. Celui-ci survient après un nombre de tours. Ni plus ni moins que des flammes qui brulent le terrain, la peste qui ravage vos unités à chaque tours.

Direction artistique à main levée

C’est bien là le point fort du jeu. Ca direction artistique qui rend le tout agréable et qui je le pense, vous accrochera le plus au jeu. Un style peint à la main, minimaliste mais soigné qui tranche avec l’absurdité des combats. Le tout avec effets sonores assez amusants et des musiques d’un autre temps. Cela devient tout de suite plus agréable de se plonger dans le jeu. Une part de gâteaux avec un petit goût de reviens y.

Conclusion

Enfin, Inkulinati ne plaira pas à tout le monde, c’est sûr. De part son aspect roguelike que seul les puristes aiment. Mais aussi par sa charte graphique minimaliste. Mais le mélange lui marche très bien ! l’idée de gameplay est assez originale, et marche parfaitement bien avec l’ensemble. les fa de tacticals comme moi s’y retrouveront malgré tout.

Pour moi, c’est un oui pour le peu qu’on veuille se pencher dessus !

Pros

  • Roguelike
  • Direction artistique simple mais qui fonctionne avec le reste.
  • Idée original de jeu tactique

Cons

  • Devient un peu répétitif tout de même

Persona 5 Tactica, le dernier né de la série emblématique de jeux de rôle japonais, offre une expérience captivante qui fusionne avec brio le style caractéristique de Persona avec des mécanismes de jeu tactiques. Que vaut ce Spin-off, nous allons le découvrir !

Petite information : Les images proviennent directement du kit press fournit par l'éditeur ! Désolé de ne pas avoir mis les miens mais avec la nouvelle politique de Xbox, mes screens ont été supprimés... J'agrémenterais de nouvelles fournées d'images dans les jours suivants 

Une Narration Captivante

Persona 5 Tactica se déroule dans un Tokyo alternatif, où une mystérieuse distorsion spatiotemporelle menace d’engloutir la ville. Les protagonistes, issus du groupe de voleurs fantômes déjà connu des fans de la série, sont confrontés à un nouvel ennemi, la Déesse de la Distorsion, qui manipule le tissu même de la réalité.

L’histoire débute lorsque les voleurs fantômes découvrent qu’ils peuvent invoquer leurs Personas dans un monde tactique distinct. Ils doivent naviguer à travers des labyrinthes générés par la distorsion, combattre des ombres, et résoudre les mystères liés à la Déesse de la Distorsion.

Bien que l’histoire de Persona 5 Tactica ne soit pas aussi étendue que celle des jeux principaux, elle est captivante et constitue une parfaite addition à la série. Le récit explore de nouveaux aspects de la personnalité des personnages, et donne un souffle et permet aux anciens joueurs de connaitre encore d’avantages sur nos protagonistes. L’écriture st toujours autant remplie d’humour et colle parfaitement avec ce qu’on a pu connaitre des anciens épisodes de la série.

Enfin, pour terminer l’histoire de ce Persona 5 Tactica, compter environs 30H minima. Bien sûr, ce temps peut-être facilement doublé avec le nombre de quêtes secondaires à son actif, surtout si on le souhaite complété à 100%. Surtout que certaines missions demandent des exigences assez costaud.

Des mécaniques de jeu ingénieuses

Le point fort du jeu réside incontestablement dans ses mécanismes de jeu. Les éléments de stratégie au tour par tour sont bien exécutés, mêlant un mouvement basé sur la grille traditionnelle avec le système distinct des Personas. La profondeur tactique découle de l’utilisation stratégique des Personas, chacun possédant des compétences et des faiblesses uniques. L’expérimentation avec différentes combinaisons de personnages et de Personas ajoute une couche de complexité qui maintient le gameplay captivant et encourage la réflexion stratégique.

Une des caractéristiques remarquables du jeu est l’intégration de l’aspect simulation sociale de la série principale. Entre les batailles, les joueurs peuvent explorer une version stylisée de Tokyo, participer à des interactions sociales et renforcer les liens avec les membres de leur groupe. Cela offre non seulement une pause bienvenue, mais affecte également les performances de vos personnages en combat, ajoutant ainsi une couche de profondeur significative à l’expérience globale.

Cependant, Persona 5 Tactica peut ne pas être l’entrée idéale pour ceux qui ne sont pas familiers avec l’univers de Persona. La connaissance des personnages et de leurs Personas améliore l’expérience globale, en faisant un vrai régal pour les fans de longue date. La courbe d’apprentissage peut être abrupte pour les nouveaux venus, mais le jeu propose des tutoriels complets pour les aider à s’acclimater.

Bien que le gameplay tactique soit bien équilibré, certains pourraient trouver que les batailles peuvent parfois devenir répétitives, surtout pour ceux qui ne sont pas habitués au genre. Cependant, les qualités narratives et la variété des Personas disponibles contribuent à maintenir l’intérêt au fil du temps.

Un Esthétisme Éclatant

Dès les premiers instants, Persona 5 Tactica séduit par son design visuel. Il conserve l’esthétique emblématique de la série principale, avec ses couleurs vives, ses designs de personnages saisissants et son interface utilisateur élégante. La transition vers un format tactique ne compromet en rien le style du jeu ; au contraire, elle l’amplifie, offrant une perspective nouvelle.

La bande-son, une marque de fabrique de la série Persona, continue d’impressionner dans Persona 5 Tactica. Les mélodies jazzy et les airs accrocheurs rehaussent l’atmosphère générale, rendant chaque combat et moment de l’histoire mémorable. La qualité exceptionnelle de la musique contribue grandement à l’immersion dans le monde stylisé du jeu.

Conclusion

Persona 5 Tactica se révèle être un spin-off habilement conçu qui marie avec succès le style distinctif de la série Persona avec un gameplay tactique profond et gratifiant. Il se dresse comme un témoignage de la polyvalence de la franchise et est un incontournable aussi bien pour les passionnés de Persona que pour les amateurs de jeux de stratégie. Avec ses mécaniques de jeu ingénieuses, son esthétisme éclatant et sa narration captivante, Persona 5 Tactica s’impose comme une perle tactique au cœur du monde captivant de Persona. Il faudra juste ce dire, que si on est nouveau et qu’on veut se plonger dans l’univers, ce n’est pas la meilleure porte d’entrée.

points positifs

  • Un gameplay tactique qui se marie bien avec la série
  • Les musiques sont toujours au rendez-vous
  • Une Direction Artistique impeccable

Points négatifs

  • Des exigences pour les missions parfois rebutantes
  • Trop de temps de chargements

Tu rêves de te prendre pour un électricien mais tu as toujours eu peur d’avoir une décharge ! Sache que maintenant c’est possible avec ce petit simulateur.

Joue le rôle d’un électricien et apprend les bases de l’énergie électrique. Tout comme dans la vraie vie, répare des objets cassés, installe des prises de courant, change les ampoules et pose les fils.. etc. Un jeu sortit sur PlayStation 4 et 5,Nintendo Switch, PC (Steam, Epic Games), Xbox One et Xbox Series. Développer par Take IT Studio tout droit éditer chez Gaming Factory, Ultimate Games S.A.

Redécouvrez le trailer

Papa et maman on dit pas touche aux câbles ou à la prise… mais tu écoutes pas ?

Electrician Simulator est un jeu qui nous emmène dans un petit garage qui nous sert d’atelier, nous somme plutôt bien accueillis comme tu peut le voir sur le message en dessous. C’est à toi de reprendre le flambeau ! il te faudra t’armer de patience et de mémoire, le jeu te demandera de regarder chaque petit recoin de l’objet. Une fois que tu auras tout le matériel tu pourras partir aidez ton client qui appelle au secours ! Mais avant cela et même pendant le jeu tu auras le droit au fameux didacticiel, pour avoir ton certificat. Mais n’ai crainte, tu n’iras pas s’saccager une maison, il ce passe dans un casque VR.

Puis vient le moment de créer le logo de son entreprise. De ce coté, il y a un manque de personnalisation mais au moins tu as le choix du nom de ta bo
L’entrée en matière est plutôt bonne, ça nous met directement dans l’ambiance.
Il faudra tout de même faire attention à ton budget, personne n’aime faire faillite !

Une ambiance calme qui t’aidera à réfléchir, même si je l’avoue certaines demandes sont drôle.
Le jeu garde un minimum son sérieux et te guide, il y a un petit aspect léger constant. Tu auras tout les demandes de t’es clients dans l’ordinateur sur la table de l’atelier. Oui, un vrai ordinateur ! ils ont réussi à faire un petit ordinateur ou tu peut naviguer, même si cela reste un peu limité. voici quelques exemples au cours de mon parcours :

En plus un petit magasin fictif sera mis à ta disposition via le PC où tu pourras acheter ton matériel.

Electrician Simulator est en vue à la première personne ce qui à tout de même du bon.

Ce qui est intéressant ici est la possibilité de zoom que tu auras en plus d’une lampe torche ! ce qui n’est pas de refus lors de l’aventure sur ce jeu.

J’ai même était amusée de voir les ressemblances avec les manettes. même si nous n’avions pas de marques on voit tout de même l’inspiration.

C’est quand même incroyable le nombre de visse qu’on à dans chaque petit objet ! Tu te rends comptes toi ?

Papa, maman, j’ai fait joue joue et j’ai eu des soucis. Promis ! j’ai pas mis mon doigt dans la prise !

Durant certaines phases, j’ai eu un soucis de texture. Même le canard qui veille, te sera d’aucune aide face au texture qui disparait ou fusionne entre elle !

Mon dernier souci fut avec le multimètre. Celui-ci ne voulant plus marcher, je me suis retrouvée avec la musique du jeu et une fonction retour qui ne marchait plus aussi. J’étais tout simplement bloquée dans le menu des objets et celui d’observation. J’ai du relancer le jeu, le seul moyen pour arrêter le bug.
Comme quoi la vie d’électricien n’est pas aussi simple.

Un bon portage Switch ?

Pour un format switch, le jeu à tout de même un bon potentiel.. mais pas assez, pour pouvoir prendre du plaisir, le jeu à l’air d’être plus abordable sur ordinateur. Les graphismes on était un peut limiter, il fallait privilégier l’intérieur que l’extérieur, ce qui est fortement dommage car quand tu regardes dehors, ce qu’on peut voir laisse tout de même à désirée comparais au décor.. On ressent un grand vide. Je ne pensais pas faire un remix de Corneille :  »Seul au monde ». en voyant le manque de vie.
Il y a tout de même un effort c’est vrai..

J’aurais voulu faire un personnage pour m’identifier un peut plus.. une fois devant le miroir je pensais pouvoir lever le voile sur une question qui me trotte en tête.. Sache que.. cela est impossible ! On ne pourra pas voir à quoi on ressemble, car le boss de la salle de bain t’en empêche : Le Miroir Pixeliser

Enfin parler des commandes de jeu. Via les Joy-Con, elles ne sont pas trop pratiques il te faudra une manette de jeu à brancher au boitier de la Switch, si tu veux vraiment être à l’aise.
L’aspect portable à un soucis gênant qui te fera mettre la console sur sont socle, les écrits sont bien trop petit, ils seront plus visible sur la télé même si la encore on retrouvera le même soucis et pas d’option pour changer ça.
Je pencherais tout de même pour le non même si c’est bien pour ceux qui ne joue pas sur ordinateur.

Au final, que donne Electrician Simulator ?

Même si je ne connais rien au monde électronique, j’étais tout de même curieuse de voir ce que peut donner un simulateur de ce genre. Malgré les défaut.. je reste plutôt mitiger sur le portage Switch, et je doutes que ce soit un mauvais jeu. Mais sur cette console le jeu à l’air de perdre un peu de son charme.
Le jeu est reposant et plairont aux adeptes de simulation en tout genre, en plus d’avoir une bonne quantité de contenus.
On peut jouer au jeu sans trop en connaitre le métier, on n’est pas perdues avec les explication et arriveront au fur et a mesure et on se laisse prendre au jeu.
Tu pourras rire sur les histoires farfelue des clients, qui montre que les créateurs avait pas mal d’idée.
Cette simulation nous rappel que nos objet peuvent avoir une seconde vie et que nous demandons beaucoup de chose à nos chers électricien.
Au final.. je pense jouée hors test mais sur Ordinateur car je reste tout de même pas déçue de cette expérience sur Nintendo Switch.

Points Positifs

  • L’ambiance
  • Le contenu diversifié
  • Le Zoom et la lampe torche
  • Les histoires et photos dans les mails
  • Les explications, tuto durant le jeu pour ne pas être perdu

Points négatifs

  • Les contrôles en mode Joy-Con
  • Les graphismes inégaux
  • Les écritures trop petites
  • Le manque de vie dans le jeu
  • Le manque de personnalisation

J’ai adoré Wo Long Fallen Dynasty lors de sa sortie en Mars 2023 et dont vous pouvez retrouver le test ici. Son aspect Dark souls like survitaminé couplé a son histoire inspirée de la chine médiévale c’était juste le pied. Et voici que Koei Tecmo Europe nous offre une édition légendaire sortie le 7 février 2024.

Petit rappel du scénario

Wo Long: Fallen Dynasty nous emmène en pleine chine médiévale. Et tous les fans des jeux Dynasty Warriors ne seront pas dépaysés car nous suivons typiquement le même cheminement. Le jeu prend place en 184 après Jésus Christ, dans un chine en plein révolte des Turbans Jaunes. Mais là où on s’écarte de l’histoire, c’est par l’ajout d’une dimension fantastique avec des démons et des esprits.

Votre héros/héroïne entièrement customisable via un outil de création plutôt bien pensé et instinctif (comme dans Elden Ring) fait partie de la milice d’un petit village attaqué par les Turbans Jaunes. Après avoir sauvé un jeune homme aveugle, vous prenez un coup qui aurait dû vous être fatal. Mais le jeune homme que vous venez de sauver partage son pouvoir avec vous et vous guide afin de combattre Zhang Liang. 

Vous découvrirez à ce moment, le pouvoir de l’élixir qui est capable de sublimer la force de n’importe qui mais le corrompt jusqu’à le transformer en monstre. Ce sera l’occasion pour vous de découvrir les esprits, des créatures célestes capables de vous prêter leur pouvoir (comme dans Nioh). Suite à votre premier combat de boss (qui est plus que ardu) vous vous lancerez à la poursuite d’un moine défroqué à la recherche du pouvoir ultime. Lors de votre aventure vous rencontrez de nombreuses légendes de l’histoire chinoise comme Lu Bu, Cao Cao ou encore Liu Bei.

Wo Long Fallen Dynasty vraiment complète !

Oui 3 extensions c’est ce que nous offre cette édition légendaire. Pour donner des chiffres, cela rajoute un total de 27 missions (appelé champs de bataille) supplémentaires vous embarquant dans des histoires légendaires.

  • Bataille de Zhongyuan: Vous embarque en pleine période trouble, juste après la chute de Dong Zhuo, vous vous efforcé de soutenir Cao Cao afin de consolider le pays qui traverse une crise sans précédent.
  • Conquérant de Jiangdong: Après la mort de Sun Jian, vous aidez Sun Ce à conquérir le territoire qui vous revient de droit.
  • Soulèvement à Jingxiang: Les derniers utilisateurs d’élixir résistent. Liu Bei et vous partez à leur poursuite afin de régler le problème de l’élixir et ainsi assurer une paix longue et prospère pour la chine.

En plus de nous ajouter des nouvelles histoire ainsi qu’un challenge plus que corsé (coucou Taishi Chi). Ces 3 extensions nous offrent 3 nouveaux types d’armes, les cestes, les épées longues et les fouets. Si les épées longues gardent un gameplay classique se rapprochant de celui des bâtons, les cestes et les fouets apportent un vent de fraîcheur par un gameplay encore plus rapide dans un jeu déjà bien sanguin.

Il faut aussi ajouter à cela 3 nouveaux esprits gardiens ainsi que de nouveaux ennemis. A noter toutefois que si le bestiaire s’étoffe, c’est assez décevant car il n’apporte que seulement 5-6 monstres. Par contre j’ai été énormément impressionné par les nouveaux boss qui en plus d’être impressionnant représentent un sacré challenge pour tous les fans de jeux difficiles.

On garde un gameplay qui fonctionne

En ce qui concerne le gameplay, rien ne change. On reste sur un système de jeu qui mélange Sekiro et Dark Soul. Si vous faites votre parade au bon moment, vous deviez le coup pour vous permettre de frapper votre ennemi et aussi monter une jauge chez votre adversaire. Et c’est précisément cette jauge qui nous intéresse. Car un fois remplie, vous pouvez effectuer un frappe mortelle qui inflige des dégâts monstrueux quasiment fatal à vos adversaires.Il faut aussi noter qu’a certains moment, vos adversaires se nimbent d’une aura rouge qui signifie qu’il prépare un attaque dévastatrice qu’il faudra soit parer soit esquiver sous peine de prendre une grande quantité de dégâts.

Wo Long: Fallen Dynasty implante un nouveau système qui influe énormément sur le combat de boss: le moral. Plus votre moral est haut, plus vous infligez de dégâts. Et pour cela il n’y a que 3 solutions. Fouiller la carte afin d’activer les drapeaux. Tuer du monstre. Et pour finir consommer de l’élixir (mais cela ne sera que temporaire). Attention a vous car à chaque mort, votre moral baissera jusqu’à un niveau défini par les drapeaux que vous aurez activé. C’est plutôt ingénieux car cela vous incite à fouiller les moindre recoin de chaque niveaux.

De plus, les drapeaux sont l’équivalent de feux de camp dans les jeux du genre. Vous pourrez y passer vos niveaux, changer votre animal totem, préparer vos sorts et appeler des renforts. Rien de particulier en ce concerne le passage de niveau, vous avez le choix entre 5 statistiques liées à un élément (bois, feu, terre métal et eau).

Graphiquement amélioré

Autant lors de son premier test j’avais trouvé Wo Long Fallen Dynasty sans plus côté graphique, autant sur cette édition légendaire je trouve que les graphismes sont plus beaux, plus fluides.

Les cinématiques sont toujours aussi belles, et les effets de lumière vraiment bien maîtrisés. Rien à redire de ce côté là.

Conclusion du test de Wo Long Fallen Dynasty Complete Edition sur Playstation 5

J’avais aimé Wo Long Fallen Dynasty de base, et cette édition légendaire ne me déçoit pas. Les 3 extensions sont vraiment agréable à jouer et couvre un aspect post bataille vraiment agréable et ajoute un aspect limite touchant à l’histoire principal. Les challenge est toujours présent et offre des combats de boss vraiment mémorables. Les trois nouvelles catégories d’armes sont vraiment agréables à jouer. Au final le seul reproche que je pourrais faire et le nouveau bestiaire qui est selon moi un peu léger. Si vous découvrez le jeu c’est juste l’édition parfaite et la plus complète possible.

Pros

  • 3 Nouvelles extensions complètes
  • 3 nouvelles catégories d’armes
  • 4 nouveaux compagnons
  • Graphiquement amélioré
  • Un challenge toujours aussi dur
  • Des nouveaux boss épiques

Cons

  • Nouveau bestiaire trop léger

Helldivers est une franchise de jeu vidéo de tir coopératif développé par Arrowhead Game Studios. Le premier opus est sorti en 2015 sur plusieurs plateformes, dont PlayStation, PC et PlayStation Vita. Fort d’un concept original et sous couvert d’un scénario caricatural tellement bien maîtrisé, que nous avons droit à un Helldivers 2 sorti le 8 février sur Playstation 5 et PC.

Helldivers 2 et son scénario caricatural

Dans Helldivers, les joueurs incarnent des membres d’une unité d’élite appelée les Helldivers, chargée de défendre la démocratie galactique contre les forces ennemies. Le jeu se déroule dans un univers futuriste où l’humanité se bat contre une série d’ennemis extraterrestres. Dans ce deuxième opus nous affrontons les “Terminides” au design inspiré de Starship Troopers et les “Automatons”. 

Et j’adore ce scénario, il y a un côté “nanardesque” complètement assumé sous la forme d’une propagande forcé digne d’une parodie de recrutement américaine. Il n’y a rien de plus jouissif et marrant d’écouter votre Helldivers hurler “Prend ma démocratie” tout en canardant une horde de monstres.

Un gameplay original et totalement assumé

L’aspect coopératif est au cœur de l’expérience de jeu. Les joueurs doivent travailler ensemble pour accomplir des missions variées, telles que la récupération de données, la désactivation de dispositifs ennemis, ou encore l’élimination de cibles prioritaires. La coordination et la communication sont essentielles pour éviter les tirs amis et maximiser l’efficacité de l’équipe afin de maximiser l’expérience et les composants reçus en fin de missions.

Pour cela, rien de mieux que de faire parler la poudre. Votre Helldiver est équipé d’une arme de poing et d’une arme principale que vous pouvez équiper dans votre vaisseau. Une fois largué sur la carte de votre mission, c’est à vous d’assurer. Mais vous n’êtes pas seul(e). Votre vaisseau en orbite vous envoie tout le soutien dont vous avez besoin ! Une frappe orbitale ? Pas de problème, une lance roquette ? Laisse nous 5 secondes ! Dans Hellsdivers 2 vous avez pas moins de 47 stratagèmes pour vous aider ce qui rend chaque partie unique.

Et cerise sur la démocratie, pour appeler vos stratagèmes vous devez faire un code avec la croix directionnelle de votre manette. C’est juste génial une fois la manette en main.

Helldivers est également connu pour son système de commandes « friendly fire » (tirs amis), ce qui signifie que les joueurs peuvent accidentellement infliger des dégâts à leurs coéquipiers. Cela ajoute un élément de défi supplémentaire et nécessite une grande attention à la fois à l’environnement et aux actions de ses coéquipiers. 

Une progression originale

Le jeu propose également un système de progression où les joueurs peuvent débloquer de nouvelles armes, équipements et stratagèmes en gagnant de l’expérience au cours des missions. Cette personnalisation permet aux joueurs d’adapter leur style de jeu à différentes situations et de créer des synergies avec leurs coéquipiers. 

J’ai toutefois une petite critique sur ce système de progression qui se fait sous la forme d’un pass (comme sur Fortnite) pour les armes/armures/cosmétiques grâce à des médailles que vous gagnez grâce à des objectifs où dans les missions.

Rien à dire en ce qui concerne les stratagèmes qui sont déblocables en fonction du niveau et des ressources. 

Il existe aussi un pass de progression semi-payant. En effet, ce pass vous offre l’accès à des armes/armures améliorées qui offrent un avantage purement optionnel. Vous pouvez soit l’acheter avec de l’argent réel via une monnaie virtuelle soit farmer cette monnaie trouvable lors de vos missions. Après une semaine de jeu à un rythme de 3-4 missions par jour j’ai pu prendre ce fameux pass sans débourser d’argent.

Un lancement chaotique

Je me devais d’en parler, le lancement d’Helldivers 2 à était plus que compliqué. impossibilité de rejoindre en partie rapide, déconnexion fréquente, bug de récompense. La première semaine d’Helldivers 2 a fait grogner plus d’un joueur. Malgré tout on ne peux que saluer la réaction d’Arrowhead qui a réagit à une vitesse rarement vue pour corriger tout cela. Et à l’heure d’aujourd’hui, le jeu est stable et offre pas mal de plaisir à tout les joueur que j’ai pu rencontrer en ligne.

Graphiquement correct

Helldivers 2 est relativement beau. Les effets de lumière en jeu sont vraiment magnifiques. Il faut noter que chaque mission peut recevoir un effet  météorologique particulier. Ainsi vous pouvez avoir une mission dans la brume ou sous la pluie. Et en jeu c’est vraiment bien rendu.

Par contre, comme expliqué plus tôt, le jeu souffre de quelques bugs de textures en jeu qui s’ il ne sont pas handicapant en terme de gameplay peuvent gâcher un peu l’expérience.

Conclusion du test d’Helldivers 2 sur Playstation 5

Helldivers 2 est une exclusivité console Sony et il frappe très fort. C’est un jeu original, fun qui prend toute sa saveur en multijoueur. Il est bien sûr possible de jouer en solo mais vous y perdrez beaucoup en termes d’efficacité et de fun. Le scénario tient clairement sur un timbre poste mais est efficace et ne se prend pas au sérieux. Et vous voulez connaître la meilleure nouvelle ? Il est disponible à partir de seulement 39.99 euros. A ce prix là c’est l’un des meilleurs rapport qualité/prix.

Pros

  • Un scénario hilarant
  • Partie relativement rapide
  • très fun en multijoueur
  • Un très grand nombre de stratagèmes
  • Une personnalisation poussée

Cons

  • Lancement difficile
  • La progression sous forme de pass

Atomic Heart revient en ce mois de février, quasiment un an après sa sortie avec son deuxième DLC Trapped In Limbo. Ce DLC amène les joueurs à travers le monde onirique des Limbes, offre une expérience complètement différente de tout ce qu’il était auparavant. Mais que vaut-il réellement ? Nous allons le découvrir !

Parlons de l’histoire du DLC

Bon, je suis désolé mais on va commencer par un petit disclaimer ! Ce contenu contient du spoil, donc si vous n’avez pas fini le jeu, je vous conseille de sauter ce paragraphe.

C’est bon, vous êtes prévenu on peut y aller !! ! L’histoire d’Atomic Heart Trapped In Limbo suit la fin plus longue du jeu. Le major Nechayev (P-3) se retrouve piégé dans les limbes, le monde onirique que CHAR-les (alias Chariton Zakharov) lui a envoyé tout au long du jeu principal. Ensuite, il se transforme rapidement en une créature blanche à fourrure appelée Newton, dont de nombreux fans se souviennent peut-être du travail antérieur du directeur créatif artistique Artem Galeev.

Alors que les choses semblent désespérées, Ekaterina (ou Katya), l’amante perdue depuis longtemps de P-3, lui apparaît sous la forme d’une larme. Elle aide P-3 à se frayer un chemin à travers les limbes dans le but de se souvenir de tout. Puisque P-3 a tout oublié du monde extérieur, il doit naviguer dans les limbes afin de récupérer sa mémoire. Voilà le speech de cette extension ! Si on veut résumer en deux objectifs : le premier est de trouver un moyen de restaurer Katya et le deuxième se venger du traitre CHAR-les.

Bien sûr, je ne vais pas tout spoiler, je pense en avoir déjà trop dit, mais il fallait vous mettre un peu dans le contexte.

Un gameplay trop répétitif

A vrai dire, l’histoire est intéressante, on peut enfin interagir enfin avec Ekaterina. Puis en avançant dans les 5 niveaux des limbes, on découvre petit à petit nos souvenirs et rajoute encore plus de Lore à Atomic Hearts. Cependant, la manière dont est construit le DLC est répétitive. On va se retrouver à faire une section de plateforme, on parle à un personnage, on fait une autre section et on reparle au même personnage. Car oui, le DLC propose moins d’actions et principalement des plateformes et du Counter Strike Surfing. Nous pouvons choisir le niveau qu’on souhaite faire, mais on s’ennuie vite. Les cinq niveaux proposeront la même expérience de jeu, mais en se concentrant sur un aspect.

Mais les phases de combat sont agréables et le petit plus ici, ce sont les munitions illimitées. Cependant, on a accès qu’à cinq armes en plus de nos points, la seule modification est par rapport aux Skins. Donc inutile finalement… et rend les options d’armes et la personnalisation vraiment obsolète. D’ailleurs pour les ennemis, en nouveauté nous n’avons que le beau final, qui ma foi m’a laissé de marbre tellement il est inutile. Je me suis ennuyé à le battre, mais d’une force pas possible… Pour les autres, c’est du relooking des ennemis déjà connus, mais avec des mécaniques différentes.

Vous l’avez compris, le DLC est sauvé par l’aspect écrit et non jouabilité, même si à mon goût les interactions avec CHAR-les sont trop peu nombreuses et aurait pu être intéressant de ne plus montrer le passé qu’à les deux personnages. Mais ne vous attendez pas à avoir une conclusion, on sait qu’un deuxième épisode est prévu et le DLC est là pour alimenter encore plus et peut-être faire une passerelle à cette suite.

Pour terminer …

Les graphismes d’Atomic Heart sont incontestablement beaux, cela ne fait aucun doute. Et dans le DLC, on ressent encore cette magnifique patte graphique. Ici le design tourne autour d’un thème Candy-land, histoire de ne pas faire la même chose que le jeu principal. J’ai adoré, même si je vois beaucoup de critique sur ça, cela donne encore plus de crédibilité à l’atmosphère du titre complètement décalé que je trouve depuis le début.

Enfin, petit coup de gueule sur les nouveaux succès pour le DLC. A l’heure actuelle, aucun nouveau trophée/succès n’est disponible pour cette extension. Pourquoi ? Le premier DLC en a eu et lui non ? J’aimerais bien comprendre !

Conclusion

Atomic Heart – Trapped in Limbo souffle le chaud et le froid. L’histoire racontée donne encore plus de Lore au titre surtout avec les interactions qu’on peut avoir avec CHAR-les et Ekaterina. Mais le gameplay est trop répétitif dans les 5 niveaux que le DLC nous octroie. On va passer notre temps à passer sur des phases de plateforme à la discussion et au milieu de ça on aura des phases de combats, contre des ennemis déjà vus et revus, même si le boss final est un nouveau, mais qui va rester plus qu’oubliable. Il avait matière à faire mieux, qui à suivre le même schéma que le jeu principal.

points positifs

  • L’ambiance Candy-land
  • L’histoire narrée

Points négatifs

  • Les niveaux trop répétitifs
  • Pas de nouveaux ennemis sauf le boss …
  • … Qui reste totalement oubliable

Voilà maintenant 3 ans que les gars de chez Ryu Ga Gotoku Studio nous ont présenté le nouvel héros de la série des Yakuza en la personne d’Ichiban Kasuga lors de la sortie de Yakuza Like a Dragon. Ichiban succède ainsi au célèbre Dragon de Dojima, Kiryu Kazuma (ceux qui n’ont pas suivie la série Yakuza, soufflez ça risque d’être dur niveau scénario). La dernière apparition du Dragon était dans Like a Dragon Gaiden The Man Who Erased His name. Cet épisode tout récent (novembre 2023) est sorti histoire de faire patienter les joueurs et surtout de remettre sur le devant de la scène Kiryu Kazuma. Sauf que l’on a pas eu de passage de flambeau dans les règles de l’art et c’est ce que propose ce Like A Dragon Infinite Wealth (ouf j’y suis arrivé ! galère comme intro !). Après un bref retour sur le beat’em all, la licence reprend son chemin en revenant au mode RPG tour par tout que Gaiden avait apporté. J’avais découvert la licence avec Gaiden qui m’avait laissé sur le cul après une bonne claque ! Dois-je tendre l’autre joue pour ce nouvel opus ? La réponse dans ce test !

L’avis de Sturm

Grande première pour moi dans l’univers des Like a Dragon avec ce nouvel épisode sorti en ce début d’année. J’ai toujours été un peu réticent à me lancer dans les jeux japonais non traduits. Oui, il y a de la VOSTFR mais avant j’étais jeune et con et je voulais tout en français. Et bordel à cul, je suis à 40H de jeu sur le titre et j’en suis au chapitre 8 (sur 14) mais LA CLAQUE ! Même si on arrive en plein milieu de la franchise, on n’est pas perdu et l’histoire racontée nous tient aux tripes. On s’attache facilement aux différents personnages qu’on rencontre même sur les quêtes secondaires. Une petite larme est même apparue durant l’une d’elle. D’ailleurs, en parlant de la durée de vie, elle est colossale.

Je me suis pris au jeu de faire les intrigues secondaires et finalement en avançant peu dans la principale, mais sans forcer, c’est d’un naturel. On va retrouver des quêtes farfelues comme l’île de Dondoko Island ou encore la ligue de Sujimon (un genre de pokémon avec des humains !! !). On pourra trouver aussi des jeux d’arcade (en jouant à des jeux SEGA d’antan), fléchettes et j’en passe. Le monde est rempli et on ne s’ennuie jamais. Mon seul petit défaut que j’ai à dire sur le jeu, c’est la caméra un peu brouillonne par moments dans les phases de combats, surtout quand nos personnages sont proches d’un mur. Mais rien de grave en soi. Vous l’avez compris en ces quelques mots, le jeu fonctionne à merveille et je ne pensais pas que dès Janvier j’allais jouer à un titre qui sera sans doute dans mon top de cette année. Il vaut un gros 18/20 pour ma note !! Merci Sega d’avoir créé ce jeu et me donne plus qu’envie de faire la série maintenant ! Mais je vous laisse avec le test de Piwi, qui résume et rentre dans les détails !!

Attention spoiler sur les deux premiers paragraphes !

Oui je me suis dit qu’il n’y avait pas mieux comme titre avant d’évoquer l’histoire de Like A Dragon Infinite Wealth. Parce que pour parler du scénario du jeu, je suis obligé de passer par la case spoiler des précédents épisodes. Alors attention, il est possible de faire Like A Dragon Infinite Wealth sans les épisodes précédents mais vous risquez de passer à côté de pas mal de choses. Non pas au niveau de l’histoire mais de la relation entre les personnages et le retour de certains vieux ennemis… On parle quand même d’une saga qui accuse 20 ans d’âge et une dizaine d’épisodes au compteur qui se tiennent tous les uns aux autres !

Like A Dragon Infinite Wealth

Donc à la fin de Yakuza Like a Dragon, on assistait à la dissolution des Yakuza avec la disparition des clans Tojo et Omi. Ichiban devait alors protéger les chefs avec l’aide de… Kiryu Kazuma qui revenait d’entre les morts (oui car depuis le 6 on pensait qu’il était mort). Donc les Yakuzas n’existent plus car le gouvernement n’en voulait plus dont acte. Dans Like a Dragon Gaiden The Man Who Erased His name, on retrouvait donc Kiryu Kazuma et on apprenait qu’il avait simulé sa mort pour protéger les siens et travaillait pour les Daidoji, une sorte d’organisation qui est au dessus des factions des Yakuza classique qui bosse avec la police et le gouvernement. Les anciens clans n’ont pas totalement disparu et Kiryu devait donc naviguer entre deux eaux.

Like A Dragon Infinite Wealth

Les bases étant posées, dans Like A Dragon Infinite Wealth on retrouve Ichiban Kasuga qui bosse maintenant dans une agence de recherche d’emploi et qui tente de réinsérer des yakuzas à la retraite. Il faut savoir que le propos de la série Like a Dragon est réel ! La réinsertion des Yakuzas s’est réellement posée au Japon et les ex Yakuzas ont toujours interdiction d’ouvrir un compte bancaire 5 ans après avoir quitté le clan (oui je suis tombé sur le cul en lisant cela!). Il faut savoir qu’un Yakuza repenti est discriminé et mis de côté par la société… Du coup Ichiban au grand coeur tente de leur filer un coup de main sauf que les réseaux sociaux vont tout changer.

Like A Dragon Infinite Wealth

Oui la série des Yakuzas évoquent toujours des concepts ou notions d’actualité et avec cet opus on parlera de l’influence des réseaux. Une youtubeuse célèbre sort une vidéo diffamante sur Ichiban et celui-ci perd son emploi et se retrouve sans rien tout comme ses deux amis Adachi et Nanba que l’on met dans le même panier. Contacter par un ancien Yakuza, il apprend que sa mère qu’il n’a jamais connu vit à Hawaï et on ignore si elle est en vie. Ichiban décide donc de partir à sa rencontre. Like A Dragon Infinite Wealth va donc nous faire quitter la grisaille Ijincho pour le soleil de Hawaï : Aloha !

Like A Dragon Infinite Wealth

Nouveau lieu pour une nouvelle vie

Arrivée sur place, on apprend que la mère présumée d’Ichiban a disparu et personne ne sait où elle se trouve. Deuxième constat, si les clans ont disparu au Japon, à Hawaï ils subsistent et comme Ichiban n’a pas la langue ni ses poings dans ses poches, il va vite faire leur connaissance. Il va surtout croiser la route de… Kiryu Kazuma qui est venu l’aider ! Et… je m’arrête là pour l’histoire ! Non pas que je n’ai pas fait le jeu en intégralité mais le principal atout de la série c’est son scénario et sa narration. les gars de chez Ryu Ga Gotoku Studio ne laissent rien au hasard et en terme d’intrigue ils n’ont rien à envier à de très bons livres ou films. Je reste à chaque fois sur le cul de voir lors du dernier tiers du jeu, toutes les pièces du puzzle s’assembler y compris celle que l’on n’avait pas remarqué car trop « insignifiante » au moment de leur apparition.

Like A Dragon Infinite Wealth

Tous les personnages que l’on croise sont ultra soignés avec un back ground de malade. C’est la force de la série mais c’est aussi, pour moi, un gros point noir. Trop c’est trop. Régulièrement on enchaine cut scène; dialogue à nouveau cut scène et encore dialogue. Attention je ne parle pas de scènes de 30 secondes ni de dialogue de 5 lignes ! Pour vous donner un exemple, lorsque j’ai lancé le jeu, le deux premières heures j’ai été spectateur. Véridique, sur la deuxième heure j’ai lancé le chronomètre et j’ai retenu 3,28 minutes de temps de jeu effectif : comprendre je dirige mon personnage, je ne parle même pas de combat, juste déplacer son personnage ! C’est juste hallucinant.

Like A Dragon Infinite Wealth

Alors oui il y a un réel travail d’écriture et qui plus est de qualité mais j’avais vraiment l’impression de tomber dans le visual novel et ça je n’aime pas du tout. J’insiste mais par exemple certaines quêtes secondaires ont une narration plus poussée et détaillée que ne l’est la trame principale de Suicide Squad Kill the Justice League pour prendre un jeu récent… Une autre preuve est la rédaction de ce test, j’en suis à 7 paragraphes et pour le moment je n’ai parlé que de l’histoire… Je vous rassure, si Like A Dragon Infinite Wealth propose une histoire monstrueuse, son contenu est lui aussi gargantuesque !

Un système de combat ayant fait ses preuves

Je l’ai dit la série a opéré à un tournant dans son gameplay avec le 7ème opus en passant du beat’em all au RPG au tour par tour. Petite précision, Like a Dragon Gaiden The Man Who Erased His name qui n’est pas un épisode canonique était revenu au mode beat’em all. Like A Dragon Infinite Wealth reprend le système de son aîné en y ajoutant quelques améliorations. On retrouve donc le concept de se battre en équipe et d’affronter jusqu’à 8 ennemis en même temps. Chacun de nos personnages a une classe qui lui est propre sauf que dorénavant il est possible d’apprendre des capacités qui ne relèvent pas forcément de la catégorie du personnage histoire de l’équilibrer. On retrouve les attaques de base, les coups spéciaux, les acolytes qui apportent un soutien moyennant finances, les objets de soin et l’option de fuite.

Like A Dragon Infinite Wealth

Les modifications concernent surtout le placement des personnages et les combos qui peuvent en résulter. Comprendre, si on frappe un ennemi alors qu’il y a un objet au sol, notre perso va interagir avec l’objet pour frapper avec. Si en frappant un ennemi on l’envoie vers un collègue, celui-ci peut enchaîner ce qui augmente les dégâts. C’est un petit plus non négligeable. Les combats ne sont pas difficiles, l’IA est faiblarde et pour peu que vous fassiez attention au placement de vos personnages ça passe les doigts dans le nez ! J’ai trouvé cela un peu rébarbatif et c’est dommage car à priori c’est l’activité principale du jeu sauf qu’il y a tellement à faire dans Like A Dragon Infinite Wealth que l’on s’aperçoit vite qu’il faut varier les plaisir pour ne pas sombrer dans la monotonie.

Like A Dragon Infinite Wealth

Point négatif, les développeurs ont laissé la scène de fin de combat qu’il n’est pas possible de passer et qui devient insupportable lorsque l’on enchaîne les combats pour farmer. En parlant de farm, celui-ci est moins nécessaire que sur le précédent opus et c’est tant mieux ! Oui, qui dit RPG dit très souvent des sessions de farm histoire de monter en niveau et de gagner soit de l’argent soit de l’équipement. Je n’ai pas eu cette nécessité dans Like A Dragon Infinite Wealth. Faire les combats principaux et quelques quêtes annexes suffit à garder le niveau adéquat. Pour ce qui est de l’équipement, j’ai trouvé le jeu un poil déséquilibré. Il faut quasiment tout acheter le problème c’est qu’au début, il est difficile de gagner de l’argent puis on progresse et là le cash coule à flot pour peu que l’on soit malin sur la rentabilité.

Like A Dragon Infinite Wealth
Like A Dragon Infinite Wealth

Mieux que les Sims !

J’ai commencé à effleurer le sujet : le nombre d’activités proposées par le jeu est tout simplement monstrueux ! C’est simple, niveau contenu je dirai que Like A Dragon Infinite Wealth met à l’amende 95% des jeux qui sortent ! Ce qui est d’autant plus fort c’est que toutes les activités tiennent la route ! Je passe sur les quêtes secondaires qui à l’inverse de beaucoup d’autres jeux ne se limitent pas à nous faire jouer le facteur. Encore une fois, ces quêtes sont ultra scénarisées et c’est un plaisir de les faire. Point qui est à souligner : le changement de décor pour la série. On quitte les rues ultra connues d’Ijincho pour découvrir celle d’Hawaï et ça fait un bien fou ! J’avoue que lorsque le jeu débute j’ai juré en reconnaissant les lieux reproduits à l’identique et au pixel près !

Like A Dragon Infinite Wealth

On trouve toutes les activités de casino : le mahjong, le shogi, les fléchettes, les machines à pince. Les jeux d’arcade avec de vrais jeux type virtua fighting. Il y a un jeu de drague qui m’a vraiment mis mal à l’aise, un jeu de livraison façon crazy taxi vraiment fun ! Il y a deux grosses nouveautés qui demandent chacune une bonne cinquantaine d’heures si l’on veut les compléter à 100%. La première est la Ligue Sujimon. Non je ne parle pas de Pokemon mais presque… ça complète le précédent système qui consistait à recencer les ennemis que l’on croisait. Désormais on peut les capturer pour ensuite les entrainer les faire évoluer et devenir le maitre de la ligue… On est d’accord c’est du Pokemon dans le texte. En tout cas cela peut devenir addictif et il y a moyen de passer beaucoup de temps juste sur ce mode de jeu.

Like A Dragon Infinite Wealth
Like A Dragon Infinite Wealth

La seconde nouveauté et pas des moindre Dondoko Island. Encore une fois on retrouve des mécaniques vues dans les précédents opus mais développées de manière exponentielle ! Le concept est de remettre en état une île touristique. En fait… comment dire… c’est un jeu dans le jeu ! On retrouve de la construction, de la gestion de l’action c’est monstrueux ! Collecter des matières premières, fabriquer des infrastructures, cultiver des légumes, chasser, pêcher, satisfaire les clients… Après je vais faire mon rabat-joie mais certes c’est un contenu énorme mais bon ce n’est pas forcément pour cela que je me tourne vers un Yakuza… J’ai l’impression que les développeurs sont partis dans l’excès. Ils ont toujours habitué les joueurs à une multitudes d’activités parfois loufoques et parfois chronophages (comme la gestion d’entreprise dans le précédent opus) mais là c’est too much pour moi.

Une réalisation en dent de scie

La réalisation graphique n’est pas le point fort de la série et Like A Dragon Infinite Wealth ne déroge pas à la règle. Ce que je trouve dommage c’est que l’on passe de la quasi perfection lors des cinématiques à un résultat que je jugerai de moyen plus en jeu. Les cuts scènes, elles, ont le le cul entre deux chaises. Ce qui est bluffant avec Like A Dragon Infinite Wealth, c’est la modélisation des personnages et surtout de leurs visages. Les cinématiques et les cut scènes mériteraient d’être montrées dans beaucoup de studios de développement. Je vais reprendre l’exemple de Suicide Squad Kill the Justice League. Le jeu propose des graphismes assez réussis avec une ville de Metropolis qui impressionne mais pour ce qui est de l’expression des personnages c’est une horreur avec des visages et des regards vides de toute émotion.

Bon et bien Like A Dragon Infinite Wealth propose l’inverse. Je suis sur le cul de voir le détail apporté aux personnages et à leurs visages particulièrement lors des cinématiques. On sent toutes les émotions ! Avec un doublage original ou anglais de qualité, je ne peux qu’être aux anges ! Quand Kiryu parle, tout le monde l’écoute ! Quand des personnages se font face, on sent la tension, on sent qu’au moindre geste ça peut partir et tout cela rien qu’en regardant les visages et les yeux. C’est bluffant et ça donne encore plus de corps et de relief au scénario et à son intrigue. Pas de doute les gars de chez Ryu Ga Gotoku Studio maitrise à la perfection le domaine.

Et puis on a la session in game on l’on parcourt la ville et ou l’on effectue des combats. Il y a une amélioration c’est certain ! Certaines rues fourmillent de détails avec des points de lumière bien gérés.. On a également droit à un cycle jour nuit et un peu de météo ce qui est une nouveauté car jusqu’à présent la licence n’offrait pas ce genre de détail. Cependant je ne peux pas m’empêcher de trouver l’ensemble moyen à bien d’autres égards. L’animation des villes n’est pas dingue avec des PNJ statiques et sans aucune animation. techniquement, certaines textures font peine à voir. Vous me direz que je chipote sauf que ces petits défauts sont présents tout au long du jeu et savent se faire voir…

Conclusion

Like A Dragon Infinite Wealth est assurément un jeu à ne pas manquer ! Même si vous n’avez jamais fait un jeu de la série, je ne peux que vous le conseiller ! Au delà d’une scénario et d’une narration qui font parti des meilleurs en matière de jeux vidéo. Vous avez droit à un J-RPG ultra complet avec des mécanismes de combat intéressant. Vous aurez surtout droit à une multitude de jeux contenue dans un seul ! C’est juste impressionnant. C’est le genre de jeu qui entre dans la même catégorie que celle d’un Zelda TOTTK ! Vous pouvez y passer plus de 100 heures dessus vous n’aurez pas tout fait et tout débloquer ! Il n’y que dans un Yakuza qu’on peut trouver un mélange de J-RPG, baston, course, combat VS, jeux de cartes et même de drague ou encore du Pokemon ou du jeu de gestion. Like A Dragon Infinite Wealth est une sorte de mille feuille qui ne donne jamais d’indigestion !

« The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel » est une série de jeux de rôle développée par Nihon Falcom. De son nom original “Sen no Kiseki”, cette série débutée en 2013 compte à l’heure actuelle 4 jeux qui suivent Rean Schwarzer et de ses camarades de la Classe VII de l’Académie Militaire de Thors. Les deux derniers opus de la série sortis respectivement en 2019 et 2021 reviennent en version next gen sur PS5 le 16 février 2024.

The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel et son histoire

Dans l’univers de The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel, vous suivez l’histoire de Rean Schwarzer, un étudiant à l’Académie Militaire de Thors, placé dans la Classe VII, une classe expérimentale composée d’étudiants de différentes origines sociales et régionales. Sous la direction de leur professeur Sara Valestein, Rean et ses camarades apprennent non seulement les compétences militaires, mais aussi l’importance de la coopération et de la compréhension entre les différentes classes sociales d’Erebonia. L’histoire prend de l’ampleur lorsque des événements politiques et des complots commencent à émerger, menant Rean et ses amis à se retrouver impliqués dans des affaires plus vastes que ce qu’une classe de cadet d’école militaire aurait pu l’imaginer.

A la fin du premier jeu, Erebonia est plongée dans le chaos. Rean, séparé de ses camarades, se lance dans une quête pour les retrouver et pour rétablir la paix dans le pays. Avec l’aide de nouveaux alliés et de vieilles connaissances, il cherche à mettre fin aux machinations des puissantes factions politiques qui menacent de plonger Erebonia dans la guerre civile.

The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel III

Dans ce troisième volet, Rean est devenu instructeur à l’Académie Thors Branch Campus. Il supervise une nouvelle génération d’étudiants, tout en continuant à enquêter sur les mystères qui entourent son propre passé. Chargé d’enseigner la nouvelle Classe VII à l’Académie Thors Branch Campus. Cette classe est composée d’étudiants talentueux mais diversifiés, chacun apportant ses propres compétences et perspectives. Rean s’efforce de les guider non seulement dans leur formation militaire, mais aussi dans leur développement personnel. 

Pendant ce temps, des tensions politiques et sociales continuent de croître à Erebonia. De nouvelles factions et des forces mystérieuses commencent à émerger, menaçant l’équilibre fragile du pays. Rean et ses élèves se retrouvent rapidement pris au milieu de conflits politiques complexes et de machinations secrètes.

Au cours de leurs aventures, Rean et la nouvelle Classe VII rencontrent d’anciens alliés ainsi que de nouveaux personnages, chacun avec ses propres motivations et secrets. Certains des membres de la Classe VII originale font également leur retour, offrant leur soutien et leurs conseils à Rean et à ses élèves.

L’histoire de Trails of Cold Steel III approfondi les mystères entourant le passé de Rean Schwarzer et les événements qui ont conduit à sa situation actuelle. Des révélations choquantes sont faites sur son héritage, son lien avec l’Empire d’Erebonia, et le rôle qu’il est destiné à jouer dans les événements à venir. Alors que l’histoire progresse, les enjeux deviennent de plus en plus élevés. Rean et ses élèves se retrouvent confrontés à des défis de plus en plus difficiles, mettant à l’épreuve leur courage, leur loyauté et leurs compétences au combat. Ils doivent faire face à des choix moraux difficiles alors qu’ils luttent pour protéger leurs amis et leur pays.

Trails of Cold Steel III est à saluer pour son scénario riche et complexe, ses personnages bien développés et son gameplay amélioré. Il constitue une étape importante dans l’arc narratif de la série et prépare le terrain pour les événements à venir dans Trails of Cold Steel IV et au-delà.

The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel IV

Trails of Cold Steel IV est le quatrième et dernier volet de la série principale Trails of Cold Steel. Il conclut l’arc narratif commencé dans les jeux précédents et réunit les protagonistes pour affronter une menace imminente qui met Erebonia au bord de la guerre totale. Erebonia est au bord du chaos alors que les tensions entre les grandes puissances et les factions politiques atteignent leur paroxysme. Les événements des jeux précédents ont semé les graines de la discorde, et maintenant le pays est sur le point d’être plongé dans une guerre dévastatrice.

Face à cette menace imminente, Rean Schwarzer et ses alliés des jeux précédents se rassemblent pour former une union des héros. Ils comprennent les membres de la Classe VII, ainsi que d’autres personnages clés rencontrés tout au long de la série. Leur objectif est de mettre fin aux machinations des forces obscures qui manipulent les fils du destin d’Erebonia. Ils se lancent dans une quête périlleuse pour arrêter les forces qui cherchent à plonger Erebonia dans la destruction. Ils affrontent des ennemis redoutables, découvrent des complots sinistres et font face à des choix difficiles qui auront des conséquences durables sur l’avenir du pays.

Tout au long de leur voyage, les protagonistes découvrent des révélations choquantes sur le passé d’Erebonia, les origines de la Grande Guerre, et les véritables intentions de leurs ennemis. Des alliances sont forgées, des amitiés sont mises à l’épreuve et des sacrifices sont faits alors que les personnages se battent pour un avenir meilleur. Trails of Cold Steel IV offre une conclusion épique à l’histoire commencée dans les jeux précédents. Les joueurs découvrent enfin tous les mystères et les liens qui ont été tissés tout au long de la série, et les personnages sont confrontés à leur destinée finale dans un dernier affrontement pour le sort d’Erebonia et de Zemuria tout entière.

Trails of Cold Steel IV représente le point culminant de la série Trails of Cold Steel et offre une conclusion complètement folle à une série RPG qui n’a rien envié au mastodonte tel que Final Fantasy.

Un gameplay innovant

Etant une suite directe en termes de timeline, le gameplay des deux opus est le même. 

Le cœur du gameplay de la série Trails of Cold Steel est son système de combat tactique au tour par tour. Les joueurs contrôlent une équipe de personnages, chacun ayant ses propres compétences, magies et capacités spéciales. Ils doivent utiliser stratégiquement leurs compétences pour vaincre les ennemis et protéger leur équipe. Les batailles se déroulent sur un champ de bataille tridimensionnel où le positionnement des personnages et la gestion des ressources sont cruciaux pour la victoire.

Les personnages peuvent utiliser des orbments pour lancer des arts, des sorts magiques qui infligent des dégâts, guérissent les alliés, ou offrent des avantages tactiques. Les joueurs peuvent personnaliser les orbments de leurs personnages en équipant différentes gemmes élémentaires et en choisissant les arts qu’ils veulent apprendre. Gérer efficacement les orbments de chaque personnage est essentiel pour optimiser les capacités de combat de l’équipe.

Les jeux introduisent le système de « Liaison », qui permet aux personnages de former des liens spéciaux entre eux. Ces liens renforcent leur coopération sur le champ de bataille et débloquent de puissantes techniques d’union, des attaques combinées qui infligent des dégâts massifs aux ennemis. Les joueurs doivent choisir judicieusement les partenaires de liaison pour maximiser l’efficacité de leur équipe. On se prend vite au jeu de faire un maximum d’activités pour augmenter l’affinité de vos personnages.

En dehors des combats, les joueurs peuvent explorer diverses zones, interagir avec les personnages non-joueurs et accomplir des quêtes annexes. Ces quêtes offrent souvent des récompenses utiles, telles que de nouveaux équipements, des objets rares ou des informations supplémentaires sur l’histoire et le monde du jeu.

Le gameplay de Trails of Cold Steel III et IV offre une combinaison engageante de combats tactiques, de personnalisations de personnage et d’exploration du monde, le tout enveloppé dans une histoire captivante et des personnages mémorables.

Graphiquement impeccable

Trails of Cold Steel III et  IV présentent un style graphique qui combine des graphismes 3D avec des éléments artistiques traditionnels, créant ainsi un monde visuellement immersif.

Les environnements, les personnages et les effets visuels sont rendus en 3D, ce qui permet une grande liberté de mouvement et des détails visuels plus riches. Les décors présentent une variété de lieux, allant des villes animées aux paysages naturels pittoresques, en passant par les donjons mystérieux et les installations militaires imposantes. De plus, les personnages sont soigneusement conçus avec une grande attention aux détails, chacun ayant son propre style distinctif et sa personnalité unique.

Les animations des personnages sont fluides et expressives. Des animations spéciales sont également utilisées pendant les combats pour mettre en valeur les compétences et les techniques d’union des personnages. Les cinématiques sont souvent réalisées avec une grande qualité visuelle, utilisant des angles de caméra dynamiques et des effets spéciaux pour créer des séquences mémorables.

Dans l’ensemble, le moteur graphique de Trails of Cold Steel III et Trails of Cold Steel IV fonctionne à merveille et offre une expérience de jeu vraiment agréable.

Conclusion du test de Trails of Cold Steel III et IV

J’avais apprécié l’histoire de Rean et de son équipe sur Playstation 4. L’histoire facilement rattrapable grâce à une série de cinématique disponible depuis la page d’accueil permet de prendre le train en marche sans aucune difficulté. Le scénario est vraiment prenant et on se prend vite d’affection pour cette classe de jeune cadet qui se retrouvent malgré eux embarqués dans une histoire qui changera le monde. Le fait de pouvoir enchaîner les deux opus coup sur coup est vraiment appréciable. Un gameplay original et facile à prendre en main ajoute un gros avantage à un style de jeu qui peut peiner à se renouveler. Avec des graphismes améliorés sur Playstation 5, je ne peux que recommander à tous les fans de RPG cette compilation qui fait un sans faute dans sa catégorie.

Points positifs

  • La conclusion d’une série de 4 jeux
  • Gameplay très bon
  • Possibilité de rattraper l’histoire de deux premier opus facilement
  • Graphiquement beau pour un portage
  • Un scénario cohérent et prenant
  • Le système des orbments plutôt technique et bien pensé

Points negatifs

  • Manque les 2 premiers jeux de la série

Brothers – A Tale of Two Sons est sorte pour la première fois en 2013. Celui-ci a reçu beaucoup d’évaluations positives sur la plateforme Steam. En cette année 2024, 505 Games nous annonce un remake avec pas mal d’améliorations et une date de sortie pour le 28 Février sur PC, PS5 et Xbox Series X/S. Cette preview est donc un léger aperçu, puisque nous avions accès au deux premiers chapitres (environ 45 mins de jeu).

Pour commencer, le gameplay lui n’a pas changé. Brothers est présenté à la troisième personne avec vue sur les deux frères. on peut donc les déplacer individuellement grâce aux joysticks de gauche et droite. Un pour chaque protagoniste et une gâchette d’action pour chacun d’eux aussi. Le frère aîné est le plus fort des deux et peut tirer des leviers ou propulser son frère cadet vers des espaces plus élevés, tandis que le plus jeune peut passer entre des barreaux étroits. Le joueur progresse en manipulant les deux frères en même temps pour résoudre diverses énigmes, obligeant souvent le joueur à manipuler les deux frères pour effectuer des fonctions différentes (comme l’un distrayant un ennemie pendant que l’autre se fraye un chemin).

La première partie de cette preview vous habitue donc à contrôler vos deux compères. Mini tutoriel sur le déplacement tout en vous frayant un chemin grâce à des énigmes peut complexes. La deuxième partie est plus intéressante en terme d’énigmes. Je suppose que plus on avancera et plus les énigmes seront diverses et complexes.

De plus, le mot remake prend tout son sens pour ce Brothers. Une refonte graphique sous Unreal Engine 5 rend le tout immersive et dans l’air du temps. Des textures plus travaillées, un jeu de lumière qui en jette pleins les yeux. Je vous laisse ces quelques images pour comparer avec le build de 2013.

Pour finir; la bande originale a été réenregistrée en live. Ce qui rajoute d’autant plus d’émotion tout en collant au travail de cette refonte graphique. Explorer n’en sera donc plus jouissif pour vos yeux et oreilles.

Petit plus, j’ai pu essayer cette preview sur SteamDeck. Tout fonctionne parfaitement, en espérant que se soit toujours le cas le jour de sa sortie.

L’attente sera de courte durée et j’ai hâte !

Que dire, Brothers: A Tale of Two Sons Remake m’a agréablement surpris. N’ayant jamais touché au jeu en 2013, j’ai pris énormément de plaisir a arpenté ce monde pendant cette preview. Un jeu que je retiens pour cette année pour sa beauté et son gameplay simple sans prise de tête. D’autant plus que cette version bénéficiera d’un mode local en coopération. Parfait pour vous et votre moitié si vous voulez vous évader un peu et de (re)découvrir cette pépite de Josef Fares.

En ce mois de Janvier plutôt calme et propice aux jeux indépendants, le studio belge Rogueside nous sort le deuxième épisode de HiddenTthrough Time sur nos consoles de salons. Si vous sortez d’une grotte et ne connaissez pas la série, il s’agit tout simplement d’un « Où est Charlie » où il faut tout simplement rechercher des objets ou personnages demandés. Alors, ça vaut le coup ?

Je suis caché

Bon on va commencer le titre par le mode phare et tant attendu du titre, le mode campagne. Celui-ci est représenté par 4 époques différentes : les années 80, les 1001 nuits, la mythologie grecque et le Moyen Âge. Chacune d’entre elles sera décomposée en huit cartes plus ou moins développées, avec un nombre d’objets à trouver grandissant plus on avance.

Votre but sera donc de chercher les objets situés en bas centre de votre écran. Ces derniers sont divisés en deux catégories, relatives à la météo. En effet, certains objets ne sont visibles que sous la pluie tandis que d’autres nécessitent un grand soleil (ou bien la neige, l’obscurité…). Le switch entre l’un et l’autre s’effectue par une simple pression de touche. Cela affectera aussi les scènes et on découvrira de nouvelles facettes de celle-ci (les PNJ font autre chose, l’apparition de nouveaux objets pour plus nous confondre etc…).

Pour découvrir les objets, il faut ouvrir l’œil. Les objets sont souvent très petits, voire même mélangés avec d’autres identiques. Mais fort heureusement, il est possible de zoomer sur la scène. Jouer sur un grand écran permet aussi de gagner en confort de jeu bien qu’il soit parfaitement possible de jouer en mode portable. Il sera possible en nous baladant dans la scène, de voir notre curseur changer de forme pour nous permettre par exemple, d’ouvrir un coffre ou tout simplement ouvrir un ouvrir un bâtiment pour voir ce qu’il y a dedans. Mais ne vous inquiétez pas, pour vous aider aussi à retrouver l’objet, un petit indice est fourni avec, histoire de savoir où chercher et ne pas être perdus, surtout que certaines scènes peuvent être bien fournies.

On peut concevoir nos propres niveaux

Après vous avoir parlé de la campagne, je vais vous parler de la grosse nouveauté du titre qui est simplement le mode Architecte. Oui, on peut faire notre propre niveau !! Même si on va bien concevoir, sur console ce n’est pas vraiment adapté, c’est un plaisir de pouvoir créer nous même nos niveaux. Bon, il y a tout de même des limitations. On ne peut pas mettre plus de 20 objets à retrouver dans la scène, par exemple. Mais l’éditeur est vraiment complet avec énormément de choix d’items que ce soit pour les bâtiments, personnages où même les objets décoratifs. Clairement cet ajout, qui peut penser être mineur, apporte une touche de créativité à ne pas négliger et qui gonfle le titre.

Mais on voit le travail déjà effectué par la Communauté, certains niveaux sont particulièrement bien construits. Les joueurs parviennent parfois à insuffler à leurs cartes une certaine ambiance grâce à des choix judicieux d’environnement, une bonne musique et de très petits objets à retrouver. On peut retrouver aussi dans les indices communiqués des petites traces d’humour. Je ne peux que vous conseiller d’aller jeter un œil sur les créations, qui peut être limite un puits sans fin de découverte. Bon après, vous retrouverez des créations bien moins abouties, juste histoire de débloquer le succès qui va avec.

Un titre pour les petits et grands mais avec quelques défauts

J’ai pu tester le jeu sur Xbox Series. Le jeu est fluide et le titre dégage une aura de graphisme que j’adore. On ressent que les objets sont tous soignés et faits à la main. Comme si je retrouvais mon enfance avec ces immenses planches débordantes d’objets, truffés de détails et de petits personnages drôlissimes. Cependant, j’ai trouvé que le tir ne gère pas au niveau des temps de chargement et surtout au niveau des changements de météo, qui prennent plusieurs secondes à s’afficher. De plus, la maniabilité manette n’est pas si optimisée et même si votre curseur est sur l’objet, même en appuyant ça ne vous le validera pas. Il va falloir zoomer ou dézoomer pour réussir la validation. Il m’arrive même parfois de trouver des objets à travers d’autres objets qui sont ouvrables.

Le titre se vaut accessible pour tous. Le joueur est libre de prendre le temps qu’il désire afin de retrouver les objets. Il est possible de cliquer encore et encore sans être perturbé le moins du monde. Les développeurs ont fait le choix d’un titre sans restrictions… et franchement, c’est plutôt agréable ! Surtout si on veut faire découvrir au plus petit. Il n’y a pas vraiment de frein en plus pour découvrir tout le titre et ses scènes. Il suffit de trouver quelques objets d’une époque pour déverrouiller la carte suivante, et ainsi de suite. Ainsi, le joueur peut librement avancer dans le titre sans rester bloqué sur un objet visiblement introuvable.

Conclusion

Hidden Through Time 2 : Myths & Magic est un excellent titre pour promouvoir la recherche d’objets et faire marcher votre cerveau. Le titre se veut accessible à tous et vous pouvez progresser facilement afin de découvrir toutes les scènes présentes. Même si la campagne ne vous tiendra pas en haleine longtemps, car tout de même assez court, l’ajout du mode Architecte permet de nous surpasser afin de proposer à la Communauté notre vision de la recherche, ou de se frotter au niveau créé par la Communauté. Même si le jeu souffre de beaucoup trop de temps de chargement (même pour le changement de météo) où même d’une maniabilité hasardeuse, rien ne gâche réellement le plaisir

points positifs

  • Des graphismes colorés et adorables.
  • Des environnements variés et cohérents avec les époques choisies.
  • L’ajout du mode architecte …

points négatifs

  • ..même si c’est plus confortable sur PC
  • les temps de chargements

Il y a des jeux que je n’attends pas forcément et Prince Of Persia The Lost Crown en fait partie. Pourtant Prince of Persia c’est tout ma jeunesse. Je me souviens de ce personnage vêtu de blanc qui se déplace dans des environnements austères et qui ne veulent que notre mort. Ce personnage avec ses animations bien détaillées et affreusement longues, les plus vieux se souviendront de l’animation de saut qu’il fallait faire pixel perfect ou encore de l’animation pour se hisser d’un rebord. Ensuite le jeu est développé par Ubisoft Montpellier, le studio qui est à une heure de route de chez moi… Enfin, Prince of Persia The Lost Crown est un métroidvania et ça tombe bien, j’adoooore les metroidvania ! Du coup, même si je ne l’attendais pas, il fallait quand même que je vous file mon avis !

Le début d’une odyssée

Il faut sauver le prince de Perse !

Prince of Persia The Last Crown ne brille pas par son originalité quoiqu’il sait nous offrir un monde imaginaire au lore assez détaillé pour peu que l’on se donne la peine de chercher les collectibles qui donnent des informations sur le fameux Mont Qaf ou effectuer les missions secondaires données par les rares PNJ que l’on croise. Mais qu’est donc le Mont Qaf ? Que vient-on y faire ? Et puis d’abord qui est-on ? On incarne donc Sargon qui est le plus jeune des Immortels. Les immortels sont des guerriers d’élite (c’est l’équivalent des Avengers mais dans le monde antique) qui protège le Royaume de Perse des envahisseurs.

Le jeu commence d’ailleurs sur la Perse qui se trouve envahie et sauvée par nos Immortels. Si Sargon maîtrise les doubles lames, on retrouve les personnages classiques : le tank avec son marteau, la lancière, l’archer et le chef épéiste. Une fois le Royaume sauvé c’est l’occasion de boire un coup sauf que le prince de Perse est enlevé par l’une des l’autre et conduit au Mont Qaf qui est un endroit maudit duquel personne n’est revenu. Cela n’effraie pas nos immortels et notre cher Sargon qui se jette à la poursuite des kidnappeurs. Ils arrivent dans un endroit dans lequel le temps n’a pas d’emprise et se sera l’occasion de croiser des personnages bloqués dans les lieux et qui donneront des infos sur le pourquoi du comment.

Je vous présente Sargon !

On est d’accord le scénario ne casse pas trois pattes à un canard et on retrouve les twists classiques que l’on a dans 90% des histoires fantastiques. Je ne vais pas spoiler le scénario mais encore une fois, les gentils ne sont pas si gentils que ça et les méchants pas si méchants… Comme si cela ne suffisait pas, les développeurs se sont sentis obligés de rajouter encore des rebondissements histoire de ne pas nous laisser sur notre faim. Je ne vous cache pas avoir été un peu « saoulé » par l’enchaînement d’évènements sur le dernier tiers du jeu. D’ailleurs et j’y reviendrai, j’ai trouvé que le rythme scénaristique collait bien au rythme du gameplay : tranquille sur les deux premiers tiers et une dernière partie dantesque que ce soit pour les plateformes ou les combats.

Certaines animations sont vraiment badasses !

L’histoire se tient plutôt bien même si ce n’est pas la qualité première des metroidvania. Comme je l’ai dit le lore est plutôt bien pensé mais j’aurai quand même aimé voir des personnages un poil plus détaillés dans leur background. Ubisoft Montpellier a fait un travail indéniable mais j’ai quand même l’impression que l’histoire et l’environnement de Prince of Persia The Lost Crown est moins détaillé que ceux d’un Blasphemous 2 ce qui peut paraître surprenant au regard des budgets dont ont disposé ces jeux.

Il y a quand même de quoi faire !

Jusqu’ici tout va bien…

Première surprise en lançant le jeu, Prince of Persia The Lost Crown est un des rares métroidvania qui propose plusieurs niveaux de difficulté afin d’être accessible aux plus grand nombre. Cela m’a étonné car faire un métroidvania cela sous-entend de pleurer et roter du sang. Ici tout le monde pourra finir le jeu et j’insiste bien : tout le monde peut finir le jeu !!! D’abord, on peut gérer la difficulté des combats. J’ai effectué différents tests. En facile, le jeu devient inintéressant : aucun challenge et limite on s’ennuie. Il faut jouer minimum en normal et encore vous allez vous ennuyer sur la première partie du jeu qui n’offre aucun pic de difficulté. En revanche la difficulté augmente de manière exponentielle dès la seconde partie et sans prévenir !

Tranquille !

Sargon n’est pas pour autant à poil pour se défendre ! Il peut compter sur ses deux lames puis par la suite, sur son arc mais surtout son chakram (sorte de boomerang). Il est possible de combiner l’usage des armes pour réaliser des combos dévastateurs et consistants. Sur ce point le jeu propose un tutoriel plus que bienvenu car je ne m’attendais pas à de telles possibilités pour un métroidvania. C’est vraiment sympa et cela évite de ressentir une certaine monotonie lors des combats. Le bestiaire est assez varié et chaque créature demande de réaliser des coups spécifiques histoire de se faciliter les rencontre. En plus de nos armes, les pouvoirs que l’on débloque (et dont je parlerai après) sont utiles en combat pour prolonger les combos ou même surprendre l’ennemi en passant dans son dos dans un claquement de doigts !

En plus d’armes et pouvoirs, il sera possible de faire évoluer Sargon en lui augmentant sa santé définitivement en trouvant des fleurs soma (comme pour un Zelda, au bout de 4 on a une barre supplémentaire de vie). On peut surtout équiper notre personnage d’amulettes qui donnent des buffs : augmentation de la santé : augmentation des dégâts de mêlée, résistance à l’environnement voir même une résurrection unique ! Non content d’être simple et accessible, le jeu offre pas mal de possibilités pour nous faciliter encore plus la tâche !

Pour ce qui est des plateformes c’est encore plus simple ! Non on ne peut pas modifier la difficulté qui modifierait le level design faut pas déconner ! Par contre, il est possible d’activer l’aide aux plateformes ce qui fait qu’à chaque passage difficile, le jeu propose d’ouvrir un portail qui nous conduit juste après le passage, comme si de rien n’était ! Du coup vous comprenez pourquoi j’affirme que tout le monde peut finir le jeu ? Après je ne vois pas trop l’intérêt de jouer de cette manière, autant faire un jeu narratif ! Surtout que la première partie du jeu fait office de long fleuve tranquille…

Un peu d’aide ?

Au départ, le jeu est vraiment très simple. A l’instar d’un Metroid, on commence avec un personnage limité qui va acquérir des pouvoirs qui vont permettre d’accéder à de nouvelles parties de la map. Cela sous entend pas mal de backtracking surtout si vous voulez trouver le contenu annexe histoire d’être bien stuffé. Au rang des pouvoirs, ils sont assez originaux (bon à l’exception du premier…) et font écho à la notion de temps (décidemment le temps est toujours au centre des Prince of Persia). On commence par un simple dash en avant, puis on débloque une ombre qui nous permet de revenir à l’endroit où on l’a créé, on pourra ensuite voir des objets qui sont dans une dimension parallèle pour ensuite les déplacer d’une dimension à l’autre ! Je m’arrête là et vous laisse le pouvoir de la découverte mais sachez que l’on débloque en tout 6 pouvoirs.

C’est donc assez confiant que je me suis baladé dans Prince of Persia The Lost Crown sur la première partie du jeu. Le level design est pas mal fichu sans pour vraiment réinventer la roue. Bon après 30 ans de Metroidvania difficile d’être original ! On retrouve donc des plateformes mouvantes, des pièges, des pics mortels… Les arbres wak-wak font office de checkpoint auquel on restaure sa vie et flèches. Au début de la map on a une sorte d’hub dans lequel on retrouve les PNJ « marchands ». On débarque dans un environnement avec nouveau bestiaire, nouveaux éléments de level design et qui se clôt par un boss. Rien de dingue mais surtout quasi aucun challenge sur les 10 premières heures de jeu ! J’ai commencé donc à roupiller sévère voir limite à m’énerver car sur la première partie on débloque peu de voyage rapide et il faut donc multiplier les allers retours dans des zones simples. Les combats demandent seulement de bourrer la touche des lames et les phases de plateformes n’apportent aucune sanction en cas d’échec ! Il est rare de mourir sur un saut raté puis j’a attaqué la seconde partie…

Les fameux checkpoints

… le plus dur c’est la chute !

Sans spoiler l’histoire, je dirai que quand Sargon va foutre un orteil dans la zone des sables éternels, vous pouvez commencer à serrer les fesses ! J’ai eu l’impression que c’est un nouveau jeu qui commençait ! Genre le vrai metroidvania, celui qui demande de la rigueur dans la gestion des sauts et des ennemis que l’on affronte. Les pics mortels que l’on trouvait parfois dans certains gouffres se généralisent. Comme si cela ne suffisait pas, les développeurs se sont dits que ce serait sympa d’en mettre aussi en haut et sur les côtés et si en plus on fait des pics en mouvement alors là royal ! Du coup, tu sautes trop court tu meurs, tu sautes trop long tu meurs, tu sautes trop haut tu meurs, tu sautes trop bas tu meurs aussi… Le jeu devient donc plus difficile et exigeant mais il y a toujours la possibilité d’utiliser le portail pour les phases de plateformes. J’avoue que certains moments sont vraiment hardcore en dehors du niveau de l’IA des adversaires ! D’ailleurs ce que j’ai trouvé le plus retord sont les phases de plateformes !

Prince of Persia The Lost Crown devient plus difficile mais je ne me suis pas énervé pour autant au contraire c’est là que je me suis éclaté ! Tout simplement car la maniabilité du jeu est vraiment excellente ! Sargon répond au doigt et au doigt (beh oui il répond pas à l’œil c’est pas de la VR !) c’est un réel plaisir ! On enchaine les pouvoirs pour se déplacer toujours plus vite et toujours plus haut. Les sauts sont précis ce qui permet de faire des enchaînements qui m’ont surpris moi même. Même un passage qui peut paraître difficile se fait à l’aise pour peu que l’on sache quel enchainement de pouvoir faire. Le plus c’est qu’il existe parfois différents chemins pour progresser mais aussi différentes façon de résoudre les énigmes que le jeu va nous proposer dans la deuxième partie. Alors ce sont des énigmes basées sur les plateformes pas des puzzles à résoudre.

Pour ce qui est des combats je serai plus mesuré. Oui ils deviennent plus difficile mais d’une manière générale, je les ai trouvé inégaux en terme d’intérêt ou de difficulté. Si au début on peut se contenter de bourrer la touche d’attaque, il faut ensuite savoir utiliser ses pouvoirs pour prendre l’avantage sur notre adversaire qui a lui aussi des pouvoirs qui sont parfois imparables. Il faut alors connaître les paterns des boss pour réussir le combat. Encore une fois les boss les plus gros ne sont pas les plus difficiles ! Pour ma part c’est un personnage que je sous estimais qui m’a posé le plus de soucis jusqu’à péter un plomb et pourtant j’étais bien stuffé !

Le nemesis du jeu
et voilà mon némésis !

L’avis de Sturm après 25H de jeu :

Prince of Persia The Lost Crown est un retour inattendu pour les fans de la série. Même si un épisode en 3D ne m’aurait pas déplu, ce nouveau chapitre style « Metriodvania » plaît et surtout peut se rendre accessible à tous. D’un part par la marge de progression, avec une première partie pour se faire la main et une seconde plutôt corsé. Le studio a mis en place une aide à la plateforme. Cela permet au néophyte de pouvoir profiter de l’histoire sans rester bloquer des heures sur un même parcours de plateforme. Même en Facile, le titre est tout de même coriace. L’histoire est captivante, avec quelques bonnes surprises. Cependant, j’ai trouvé la plupart des boss mal équilibrés et pour être honnête, un seul m’a vraiment embêté durant mon aventure, hormis le beau final. Petit truc qui me chafouine aussi, c’est les combats mais quand il y a plusieurs ennemis qui restent un peu brouillon et on ne voit pas qui nous attaque. Mais, mon parcours dans le Mont Quaf était un plaisir, surtout que la map est généreuse et recèle pas mal de petites cachettes. Pour ma part, je ne peux que vous recommander ce nouvel épisode, qui va rentrer facilement dans mon top 3 de la série, pourtant n’étant pas un grand adepte de ce style de mécanisme.

Cadeau Sturm !

Pas un AAA mais pas loin !

Techniquement Prince of Persia The lost Crown n’a rien à envier aux productions AAA. Le jeu est quand même fait par Ubisoft il a donc eu des moyens et ça se voit ! Les développeurs ont fait le choix de la 2.5D et je valide à 100% ! Je préfère avoir un jeu en 2D ultra propre plutôt qu’une bouillie de pixels indigeste en 3D comme cela a été souvent le cas. Alors oui j’ai vu que certains ralaient sur le manque d’originalité des décors. On traverse une forêt, une sorte de désert, des égouts ou grottes, un palais, une prison… Mais vous voulez quoi comme originalité ? Le jeu se passe en Orient au temps de l’antiquité vous voulez quoi ? Faire un tour dans l’espace ? Visiter la Silicon Valley ? Il faut être cohérent avec l’histoire du jeu. Donc oui on connait les environnements mais difficile de faire autrement !

La qualité reste présente avec des décors bien détaillés et pas mal d’animations à l’écran. Je le précise même si je doute de l’utilité, le jeu est ultra fluide et je n’ai noté aucun ralentissement (bon j’ai fait le test sur Serie X et le jeu ne semble pas gourmand en ressources). Le bestiaire est assez fourni et change en fonction de la zone explorée. Mention spéciale pour les boss qui sont pour certains bien imposant comme cela se faisait autrefois. Cela permet de marquer le coup et de promettre des affrontements épiques, et ils le sont ! En revanche, j’ai un poil été déçu par tout ce qui est cut scene ou « cinématique » de narration. Il y en a très peu voir pas du tout pour ce qui est des cinématiques. Toute la narration passe pas des vignettes fixes et de la lecture. Je n’aurai pas craché sur plus d’autant que le reste de la réalisation est d’excellente qualité !

Pour ce qui est de la réalisation sonore c’est pas mal… Bon je vais être franc je n’y ai pas forcément prêté l’oreille… Les bruitages sont bien là mais rien de choquant. Les musiques correspondent plutôt bien aux lieux que l’on explore et à l’environnement général du jeu mais je ne vais pas pour autant télécharger la playlist pour l’écouter en boucle. En gros ça fait le taf avec des bonnes sonorités orientales.

Conclusion

Prince of Persia The Lost Crown est la super bonne surprise de ce début d’année ! Je me suis éclaté dessus et j’ai du mal à trouver des aspects négatifs au jeu, peut être parce que je n’avais aucune attente particulière. Le fait est que le jeu est très bien réalisé s’appuie sur un gameplay solide qui n’a rien à envier aux meilleurs metroidvania. Si je reprend un rapport qualité prix, on est sur de supers bases, le jeu est moins cher que la moyenne et le contenu est exceptionnel ! Je n’ai pas parlé de la durée de vie mais environ une quinzaine d’heures pour voir la fin et je dirai 20-25 pour le 100% donc oui vous en aurez pour votre argent !

Points Positifs

  • Le gameplay
  • La réalisation graphique
  • Une maniabilité ultra précise

Points Négatifs

  • Une première partie un poil trop longue et simple

« Endless Dungeon » est un jeu roguelite en pixel art sorti en 2014 qui a même surpris ses créateurs, Amplitude Studios, par son succès. Basé sur l’exploration et la gestion des ressources, c’est un jeu tactique dans un espace généralement réservé aux courses d’action palpitantes. Cependant, « Endless Dungeon » combine de manière plus complète l’action effrénée et la planification tactique pour créer quelque chose de complètement nouveau, tout en restant familier aux fans de l’original.

Un peu de scénario

Vous incarnez Sweeper, un concierge à bord d’un vaisseau condamné qui s’écrase dans la Station, un vaste donjon spatial en constante évolution. Lorsque Sweeper est adopté par un équipage hétéroclite mais au cœur d’or, il se joint à leurs efforts pour trouver un vaisseau pour quitter la Station tout en pillant tout ce qui traîne. L’attitude pessimiste de Sweeper, homme ordinaire, contraste parfaitement avec le leader de l’équipage, le flamboyant et charismatique Zed, qui lui a fait découvrir le Reloader, un dispositif qui les ramènera tous à la vie chaque fois qu’ils meurent. Et ils meurent beaucoup. Genre, VRAIMENT beaucoup.

Il y a un total de 8 membres d’équipage, bien que vous n’ayez accès qu’à Sweeper, Zed et un robot portant un bouclier appelé Bunker au début. De même, en mode solo, vous ne pouvez sélectionner que deux héros à la fois jusqu’à ce que vous débloquez la mise à niveau correspondante au Saloon. Le Saloon est votre base d’opérations décontractée, éclairée au néon, où vous pouvez discuter avec les membres d’équipage, débloquer des améliorations et des armes, passer du temps et regarder le groupe en direct interpréter des morceaux obsédants et mélancoliques, ou changer les tenues des héros. C’est également là que vous trouverez une archive de lore et personnalisez chaque parcours dans la Station.

Vous n’êtes pas obligé d’emmener Sweeper à chaque partie non plus. Tous les héros ont des armes, des statistiques et des capacités différentes qui les rendent viables en trio. Vous trouverez rapidement un ou deux favoris, mais n’hésitez pas à varier et à expérimenter. Il n’y a pas énormément de variété dans vos objectifs, mais il y a beaucoup d’options quant à la manière dont vous approchez ces objectifs.

Endless dungeon et son côté classique

Chaque étage est divisé en salles. Pour accéder à une salle, vous devez ouvrir la porte, ce qui générera trois ressources à chaque fois. La nourriture sert aux améliorations des héros et à l’achat d’armes et de trousses de secours, la Science sert à la recherche de nouveaux types de défense, et l’Industrie sert à placer ces défenses. Il s’agit principalement de tourelles que vous pouvez placer à des points clés autour de l’étage. Certaines sont simplement des auto-canons, tandis que d’autres ralentissent les ennemis, renforcent les héros ou réparent automatiquement d’autres tourelles dans la salle. L’objectif est d’explorer chaque étage, d’installer des générateurs pour augmenter les rendements en ressources et de protéger le Crystal Bot, le mignon petit robot qui peut ouvrir la porte vers l’étage suivant.

Ouvrir des portes, effectuer des recherches ou déplacer le Crystal Bot déclenchera une vague d’ennemis à partir de points d’apparition prédéfinis. Il y a des Bots, des Bugs, des Blobs et des Blurs, tous sensibles à un type de dégât spécifique. Les Bots n’aiment pas l’électricité, les Bugs n’aiment pas le feu, les Blurs détestent la lumière et les Blobs sont fondus par l’acide. Armé de ces connaissances, votre priorité est de protéger le Bot à tout prix. En plus de mettre en place des défenses (autant que vous pouvez vous permettre), chaque héros peut effectuer un mouvement spécial et un mouvement ultime avec des temps de recharge. En mode coopératif, les choses sont nettement plus faciles à gérer, car chacun prend le contrôle total d’un héros. Vous pouvez communiquer les emplacements des ennemis, quels générateurs sont attaqués et coordonner vos attaques ultimes.

En solo, c’est plus difficile. Vous pouvez laisser les coéquipiers contrôlés par l’IA à des endroits prédéfinis pour défendre des zones clés et passer de l’un à l’autre à volonté, mais ils ne penseront pas aussi tactiquement qu’un autre être humain. Cela dit, l’IA est fantastique, utilisant des mouvements spéciaux et ultimes, changeant d’armes, réparant des tourelles endommagées, mais ne quittant jamais la position que vous lui avez assignée à moins que vous ne l’appeliez en arrière. Et tout cela se fait d’une simple pression sur une gâchette.

Graphiquement Efficace

Sans être extrêmement beau sur Playstation 5 Endless Dungeon est correct, ses graphismes 3D sont fluides et vraiment agréables. Petit avis personnel, je ne suis pas fan des “BOOM” qui apparaissent à l’écran mais cela reste mon avis et ne gâche en rien l’expérience de jeu.

Conclusion

Endless Dungeon est une vraie pépite. C’est un rogue lite exigeant qui prend toute sa saveur en mode multijoueur. Fort de son roster de 8 personnage jouable, ayant chacun son propre background travaillé. Vous avez largement de quoi faire face à ce que le crystal bot vous enverra. Graphiquement plus que correct et techniquement irréprochable pour seulement 29.99 euros Endless Dungeon est une vraie bonne surprise que je vous recommande à 100%

Pros

  • Un jeu exigeant
  • 8 personnage jouable
  • Un multi vraiment jouissif
  • Graphiquement et techniquement bon
  • Une histoire bien ficelée

Cons

  • Peut être frustrant en mode solo

« The Talos Principle » est un jeu vidéo de puzzle développé par Croteam et édité par Devolver Digital. Il a été initialement publié en 2014 sur différentes plateformes, y compris Microsoft Windows, macOS, Linux, PlayStation 4, Android et iOS. The Talos Principle 2 est sorti le 2 novembre 2023 sur PC, Xbox et Playstation.

Un peu de context

Le jeu combine des énigmes complexes avec une narration philosophique profonde. Les joueurs incarnent un androïde conscient qui explore des environnements mystérieux remplis de puzzles et de défis. Ces énigmes varient en complexité, allant de simples à extrêmement complexes au fur et à mesure que le joueur progresse.

L’histoire du jeu est racontée à travers des terminaux informatiques qui fournissent des dialogues entre l’androïde joueur et une entité appelée « Elohim ». Ces dialogues abordent des questions philosophiques et existentielles, explorant des thèmes tels que la conscience, la liberté, et la nature de l’humanité.

« The Talos Principle » offre une expérience de jeu unique qui combine réflexion intellectuelle, exploration et narration captivante. Il a été bien accueilli par les critiques pour ses énigmes stimulantes et son récit philosophique, faisant de lui un jeu apprécié par les amateurs de puzzle et d’expériences narratives riches.

The Talos Principle 2 son histoire

Nouvelle Jérusalem, la demeure de mille androïdes et un lieu que nous apprendrons à connaître de plus près, a été construite par Athena, la protagoniste du premier jeu. Dans cette nouvelle édition, les joueurs endossent le rôle d’un androïde nommé 1K, la dernière création destinée à habiter Nouvelle Jérusalem. L’objectif principal de la société, connue sous le nom de « The Goal » (L’Objectif), était de créer mille androïdes et d’atteindre le progrès technologique. Mais maintenant que l’objectif a été atteint, la question se pose.

Qu’est-ce qui vient ensuite ? Le fondateur de la ville est parti sans explication, laissant la communauté dans l’incertitude. Les robots, suite à son départ mystérieux, découvrent une mégastructure en forme de pyramide, éveillant leur curiosité. Par conséquent, un groupe d’expédition comprenant le personnage principal se rassemble, partant à la découverte de la mégastructure. En atteignant la destination, les androïdes sont confrontés à une série d’énigmes, dont la résolution ouvre la voie vers le centre de la grande pyramide.

Mais avant de nous attaquer à la résolution des énigmes, il y a une opportunité de nous plonger dans l’exploration de la ville. Nous rencontrons ses citoyens, participons à des conversations politiques et sociales, assistons à des réunions, visitons des musées et découvrons ce qui s’est passé lorsque le premier robot a quitté la simulation il y a mille ans. Tout cela est bien sûr très impressionnant ; on peut passer des heures à explorer chaque coin de la ville, apprendre quelque chose de nouveau et s’immerger profondément dans l’essence même du jeu.

C’est l’heure du Puzzle Game !

Il y a vraiment beaucoup d’énigmes, et chacune est différente de la précédente. Elles sont catégorisées en 12 domaines thématiques, englobant huit sections principales, deux segments spéciaux et un niveau doré. Avancer dans le niveau doré permet d’acquérir des jetons Prometheus, offrant la possibilité de contourner des énigmes plus difficiles. De plus, chaque domaine introduit de nouveaux éléments qui augmentent progressivement la difficulté de résoudre les énigmes. En fait, vous n’êtes pas obligé de résoudre les énigmes dans un ordre particulier ; vous pouvez toujours en sauter une et y revenir plus tard.

En ce qui concerne la structure de résolution des énigmes, on vous demande souvent de placer certains objets aux bons endroits, d’activer des éléments dans un certain ordre, et de combiner différentes mécaniques telles que la téléportation, l’utilisation de surfaces en antigravité, la création de portails, le transport de cubes, la connexion d’éléments différents en même temps, etc. 

il est toutefois possible que vous restiez bloqué en résolvant des énigmes, non pas dans le sens de les compléter, mais simplement coincé à l’intérieur de l’énigme elle-même parce que j’ai fait un mauvais mouvement et le jeu m’a enfermé derrière une porte. Ces situations étaient rares, vous pouvez généralement vous sortir de cette ou de cette situation. Et le jeu dispose d’un système de sauvegarde plutôt bien pensé.

The Talos Principle 2 et ses graphismes

The Talos Principle 2 est un jeu vraiment magnifique qui captive par son éclat visuel. Chaque segment du jeu invite à s’arrêter, observer attentivement les environs et admirer les paysages qu’offre ce jeu. On remarque une amélioration notable des effets de particules, les paysages paraissent plus naturels et il n’y a plus de traversée à travers de petites végétations comme dans l’original. De plus, l’éclairage a été significativement amélioré par rapport au premier opus. 
La musique s’harmonise parfaitement avec le jeu et crée une atmosphère mélancolique qui donne l’impression d’évoluer dans le monde de la Grèce antique. Je n’ai rencontré aucun bug mais il est à noter que mon PC commençant à être ancien (bon ok il souffre carrément), je n’ai pas pu profiter à 100% de l’univers de The Talos Principle 2.

Conclusion du test de The Talos Principle 2

Seulement 29.99 euros ? C’est clairement l’une des meilleures affaires de cette fin d’année ! The Talos Principle 2 est une vraie pépite. Sous couvert d’un aspect philosophique qui pourrait se résumer par “ quel est notre but dans ce monde?” Devolver Team nous embarque dans une aventure poétique qui vous permet un certain challenge. Des puzzles variés à la difficulté croissante  vous promettent de nombreuses heures de réflexion. De plus, des graphismes à couper le souffle permettent une immersion totale dans cet univers digne de la Grèce antique. Et pour un si petit prix on ne peut que craquer.

Pros

  • Une histoire profonde et poétique
  • Graphiquement magnifique
  • Une difficulté bien dosée
  • Un prix juste parfait

Cons

  • Possibilité de se trouver bloqué

Sorti le 21 Novembre 2021, Farming Simulator déchaîne les adeptes d’agriculture comme les novices ! Nous avons même de l’Esport carrément. Deux ans après sa sortie, Giants Software décide de nous sortir une premium édition de son titre contenant toutes les extensions sorties à ce jour !

Le retour du maitre fermier !

Farming Simulator 2022 Premium Edition, comme j’ai pu l’indiquer en préambule, c’est un peu le gâteau qu’on a fini de cuire. On prend Farming Simulator 2022 et on incorpore tous les DLC, ainsi qu’une toute nouvelle carte, et quelques éléments supplémentaires, comme la gestion de nouveaux petits légumes et fruits, et d’autres améliorations. Tu mélanges tout ça, tu fais cuire et BAM tu as tout ce que peut rêver tous joueurs adorant la licence.

Et on ne change pas une règle qui a été introduite dans FS22. On peut lancer le jeu seul ou à plusieurs et différents modes de jeu sont proposés. Le premier « Nouveau Fermier », nous propose une ferme clé en main. Ce mode permet aux nouveaux joueurs de démarrer une nouvelle vie avec les outils nécessaires pour commencer à travailler. Ce mode est aussi l’occasion d’apprendre les bases du jeu, grâce à diverses aides dès le départ. Et pour les débutants comme moi, dans un jeu de simulation agricole, c’est la bienvenue.

Le second mode, « Gérant de la Ferme » nous fait commencer avec un petit capital lors de la création de la ferme, pour acheter ce qu’il faut pour commencer sa nouvelle vie. Parfait pour ceux qui connaissent déjà bien le jeu, mais qui ne veulent pas démarrer difficilement. D’ailleurs pour eux, il existe le dernier mode de jeu « Partir de Zéro », c’est un peu Dark Souls, mais de la ferme. On commence avec un capital très limité et la vie est très difficile.

Enfin, il sera possible ou non d’ajouter les DLC à notre partie et ça, c’est la bienvenue !

Parlons des nouveautés de cette Premium édition

Bon du coup, je ne vais m’attarder que sur le contenu supplémentaire en priorité. La nouvelle carte de ce DLC nous plonge dans la biodiversité d’Europe de l’Est avec un paysage remarquable. Le style architectural du village est assez typique de la Pologne/République Tchèque. C’est beau et, c’est de loin la meilleure carte du jeu.

On va avoir de nouvelles cultures, avec des légumes racines, comme la betterave, le panais ou les carottes. Ces nouveaux légumes racines nous obligent donc à avoir de nouveaux véhicules pour les récolter. Au total, ça sera une liste de 20 nouvelles cultures à s’occuper. Mais ce n’est pas tout. On va aussi avoir la chaîne de production, avec l’achat de certaines usines. Une exclusivité à la nouvelle carte, qui va nous permettre de créer de nouvelles ressources. Finalement, le jeu s’embellit et limite on va devenir un mania du secteur agro alimentaire. Peut-être est-ce les prémices à un jeu de type « Tycoon » par le studio ?

Enfin côté véhicule, on est aussi servis. En plus des contenus Année 1 & 2, cette édition comprend plus de 35 véhicules avec de nouvelles marques à disposition telles que Gorenc ou encore Agrio. Bien sûr, les marques déjà présentes nous servent aussi de nouveaux véhicules de leurs marques. Clairement, le jeu de base était complet, ici on est limite sûr de l’infinité de durées de vie tellement il y de choses à faire. Sérieusement, c’est dur de se détacher du titre quand on est plongé dedans.

Enfin, il y a eu deux ajouts assez rigolos. La chasse aux collectibles est encore présente avec la nouvelle carte, bon ça en rien de dérangeant ils étaient présents. Mais l’autre est plus exotique. Vous avez la possibilité de jouer au foot en multijoueurs avec vos potes sur votre propre terrain… Un ajout de génie n’empêche, non ? Bon par contre je n’ai pas pu l’essayer, personne n’aime le foot dans mon entourage..

Graphisme, audio et maniabilité

Farming Simulator 2022 Premium Edition sur ce point, c’est le même qu’à la sortie en 2021. Graphiquement le jeu est beau, les paysages aussi et quelques ajustements ont été faits sur certains bâtiments. Malheureusement, malgré les 2 ans qui séparent la version classique à la version Premium, certains éléments fâcheux n’ont toujours pas été corrigés.

Par exemple, quand on va prendre la route avec son tracteur, on va avoir quelques soucis avec l’IA. Ce dernier, surtout sur la route, va nous foncer dedans sans aucune raison. On va aussi avoir les problèmes des employés qui ne font pas leur travail. Mais qu’on paie plein pot. Et du côté de Zielonka (la nouvelle carte), il va y avoir des portails, disposés un peu partout, qui vont nous donner du fil à retordre dans nos manœuvres.

Côté audio, rien à redire, les bruits de nos machines font ronronner doucement nos oreilles, tellement c’est agréable. Idem pour l’ambiance générale de la campagne. C’est calme, relaxant et dépaysant de la vie citadine. Il est possible d’ajouter la radio inclut dans notre véhicule. Ah, mon enfance à la campagne me manque.

Faut-il acheter cette version premium ? et conclusion

Si vous avez sauté le pas et attendez patiemment cette version Premium, n’hésitez surtout pas ! Le jeu est complet et tous les ajouts apportés durant les deux années de support avec un prime des ajouts de la version Premium font que vous passerez un excellent moment sur le titre. En plus, si vous jouez sur PC, l’ajout des Mods est d’autant plus bénéfique pour le titre. Foncez, même si il y a encore quelques erreurs non corrigées, mais qui ne nuisent en rien l’expérience de jeu. En plus, Noël approchant, c’est un magnifique cadeau à faire !

points positifs

  • Tout le contenu sorti à ce jour disponible
  • Des heures et des heures de jeu
  • La nouvelle map
  • Gérer des entreprises

Points négatifs

  • Les bugs toujours présent depuis le début (IA, etc…)

Overpass 2 fait donc suite au premier volet très bien accueilli par la critique en février 2020.Toujours édité par NACON, le titre est cette fois développé par l’équipe du studio Neopica BV. Overpass 2 est donc un jeu de franchissement avec des quads, buggy ou encore le Rock Bouncer sorte de buggy désarticulé en son centre. Un petit jeu accessible pour tous et fun dans son approche sans prise de tête.

Le franchissement pour tous 

Beaucoup de jeux qui se spécialisent dans une catégorie sont parfois voire souvent décevants. J’entends par là que ce n’est pas très évident d’avoir un public où la catégorie n’est pas forcément connue du grand public, si je vous parle de Formule 1 ou de Rallye là je trouverai certainement plus de monde pour avoir une conversation, mais si je parle de buggy ou quad et des événements qui en font un sport c’est déjà plus difficile.

Vous l’aurez compris déjà qu’Overpass 2, malgré le sport de niche choisi et son public plus restreint, réussit avec audace de proposer un jeu équilibré et surtout fin dans son approche. Loin de dire qu’il est amusant, c’est surtout la simplicité du jeu qui est à prendre dans ce sens.

Il suffit de voir les menus hyper simples et intuitifs. Ici, pas besoin de tourner en rond pour se rendre sur la piste. Les menus sont simplistes, mais tellement rapides à comprendre qu’en moins de 5 minutes, vous serez déjà sur le terrain pour découvrir son ensemble.

Au point de départ, vous avez 4 menus, la carrière, la course rapide, le multijoueur et le mode académie pour comprendre les subtilités de la conduite. Je ne vais pas vous faire de dessins, mais la carrière et le mode à faire en priorité, il propose donc un calendrier de courses avec des événements liés au championnat qui se compose de 10 chapitres, chaque chapitre propose des courses avec les 3 types de véhicules proposés dans le jeu.

Vous aurez ici affaire à des courses de franchissement pur et dur en côte ou un mélange de course sur circuit qui mélange de la piste et du franchissement. Une fois les trois catégories terminées, le chapitre se conclut avec un résumé des courses et des points attribués à votre équipe.

Le sponsor et l’équipe 

Au départ de votre carrière, vous devez choisir un sponsor avec des objectifs précis et bien sûr votre pilote, un homme une femme ou pourquoi pas un non-binaire qui est proposé dans les choix. Ensuite la sélection de votre sponsor avec 3 propositions différentes et objectifs différents, pour ma part, j’ai sélectionné le sponsor qui demande de terminer le championnat au moins troisième.

Votre équipe se constitue de météorologues, mécaniciens et autres catégories qu’on retrouve dans la plupart des sports automobiles habituels. Une fois votre équipe constituée à vous le stress des courses de franchissement.

La montagne sa vous gagne 

Au premier abord on est surpris par le pilotage atypique de ce type de véhicule, surtout qu’il faut aussi jouer avec la transmission. Vous avez trois possibilités qui vous sont offertes. La transmission en propulsion qui servira sur des terrains plans pour de meilleures accélérations et vitesse, le 4X4 qui comme son nom l’indique transformera votre engin en quatre/quatre pour les endroits plus tortueux et la transmission directe pour les franchissements plus délicats avec un couple au maximum pour franchir lentement, mais sûrement à faible vitesse.

Il faudra donc prendre en compte le type de terrain pour sélectionner à l’aide du pad la transmission voulue au bon moment, malgré la sensation de ne pas percevoir de gros changement en piste, le choix de la transmission permet de meilleur passage et surtout de garder une bonne adhérence suivant le sol emprunté.

Et c’est là qu’on se dit que malgré une approche un peu arcade, le côté gestion est important si vous voulez grappiller quelques secondes pour terminer la course en tête. Si vous voulez prendre de la vitesse sur terrain plat il faut absolument passer en mode 2 roues motrices et ensuite switcher en 4X4 si vous apercevez des roches ou autre obstacle sur votre chemin, pareil quand la pente est très rude et qu’il y a des obstacles à foison il ne faudra pas oublier d’activer la transmission directe pour de meilleurs franchissements nés et sans bavure.

Les environnements sont tous propices à vous envoyer dans le décor et la maîtrise de la vitesse lors d’un franchissement est importante sous peine d’avoir 2 secondes de temps supplémentaires à chaque fois que votre pilote est éjecté du Quad. Si vous voulez augmenter vos chances et avoir un véhicule performant au possible, vous pouvez passer par la case recherche qui vous donne le choix d’améliorer votre véhicule. Vous pouvez opter pour une amélioration des suspensions ou pourquoi pas celui de la transmission, on vous demandera un petit pécule et une période d’attente qui sera générée suivant la recherche. Il ne faut pas hésiter de le faire pour par la suite être sûr d’avoir un véhicule performant au possible.

Jouabilité 

La prise en main est rapide, il ne sera pas difficile de piloter les divers engins mis à votre disposition le plus difficile sera de déterminer pendant les courses la façon dont vous allez prendre les obstacles, la vitesse bien sûr est très importante il n’en faut pas arriver comme un bourrin en pensant passer les obstacles en quelques secondes loin de là. Plus vous prendrez votre temps plus vous en gagnerez dans les passages difficiles, car le risque est d’avoir des secondes supplémentaires d’avertissement en cas de chute ou en cas de sortie de route. Un conseil soyez très doux et concentré dans vos déplacements, rien ne sert de partir vite pour finir en tête du classement.

Graphisme 

On en va pas se mentir, Overpass 2 n’est pas un triple AAA n’y une vitrine technologique, mais il a au moins le plaisir de nous offrir des beaux paysages avec des effets de lumière très convaincants. Il y a plusieurs options graphiques,  Graphismes pour avoir un jeu propre avec un framerate qui en dépassera pas 30is, Performance, ray tracing et puis mode normal. 4 choix qui pourront contenter le plus de monde possible. Sur le terrain on ressent parfaitement le changement de traitement et le Ray Tracing, quoique léger, permet un agencement de couleur plus réaliste à mes yeux.

Ambiance Sonore

Pendant les courses, on retiendra surtout la ferveur du public durant les phases de passage d’obstacles et de franchissement, les sons des moteurs sont convaincants au possible et ne nuisent pas les longues sessions de jeu, de petites musiques rock’ n’roll ambiance les menus et sont relativement bien choisi pour ce type de sport mécanique. Autant dire que, globalement, les choix des sons et le réalisme font plus de bien que de mal aux oreilles.

Conclusion 

Overpass 2 continue son bonhomme de chemin et peut se targuer d’offrir un jeu bien sympa pour jouer en cette période de fin d’année au coin du feu. Fun et facile à prendre en mains, il fera la joie de tous avec un prix de base de 49.99  €.

POSITIFS

  • Fun et facile à prendre en main
  • Carrière sympa et diversifié
  • Contenu varier sans overdose
  • Durée de vie

NEGATIFS

  • Manque de punch des quads
  • Les petits rochers qui vous font valdingués mais je chipote un peu !

Bon autant être franc de suite, ce test de Warhammer Age Of Sigmar Realms Of Ruin ne sera pas impartial. J’adore l’univers de Games Workshop ! Cette entreprise créée en 1975 par Ian Livingstone, Steve Jackson et John Peake a su se faire une place dans le hobby ludique. Et depuis quelques années Games Workshop commence à se faire une place dans l’univers vidéo ludique. Il existe deux univers bien distincts, Warhammer 40.000 qui se place dans le futur, le très attendu Space Marine 2 est un bon exemple de cet univers.

Mais ce qui nous intéresse c’est l’univers d’Age Of Sigmar. Un univers médiéval-fantastique où les épées et la magie règnent en maître. Cet univers est relativement jeune car il a subi une remise à zéro il y a quelques années, mais il a su conquérir le cœur des joueurs et créer une communauté plus que solide. Et c’est le dernier jeu de cet univers qui nous intéresse aujourd’hui: Realms Of Ruin !

Contexte de l’univers de Realms Of Ruin

Realms Of Ruin est un RTS qui se place dans l’univers brutal d’Age Of Sigmar. Ce monde vient juste d’être créé suite à un cataclysme qui a tout détruit: Les dieux ont réussi à limiter les dégâts et ont commencé à façonner un nouveau monde. Une fois tout cela installé, ils ont commencé à se faire la guerre. Et Realm Of Ruins retranscrit parfaitement cette ambiance.

Il existe actuellement 4 factions:

  • Stormcast Eternal. Les guerriers immortels du dieu Sigmar sont engoncés dans de lourdes armures d’or. Ils sont réputés pour être une armée élitiste qui comporte peu d’unités mais qui frappe très très fort. Ils ont une relation particulière avec la foudre et une grande partie de leurs sorts est liée à cet élément. Ils disposent à l’heure actuelle des unités les plus iconique de leur version figurine comme les chevaucheurs de dragons où les annihilators. Cela reste une armée équilibrée en termes de gameplay capable aussi bien au corps à corps qu’au tir.
  • Orruk Kruleboys. Une faction Ork un peu particulière (il en existe 3 dans le jeu original) qui se base sur le nombre et le poison. Pas aussi résistant que les Stormcast, ils se basent surtout sur le nombre et leur monstres. Ils peuvent assez aisément sortir deux trolls et un bruxodonte (un cheval très très moche). Leur gameplay est assez particulier car il faut apprendre à gérer les compétences assez surprenantes de leur unité.
  • Nighthaunt. Faction mort vivante liée à Nagash le dieu de la mort (Spoiler, ttes les faction mort vivante sont affiliée à lui). C’est une armée de fantômes qui est graphiquement magnifique. De par leur statut de créature éthérée, ils disposent d’une résistance à tous les dégâts physiques, ils faudra compter sur le nombre car cette armée est la plus populaire de ce jeu. Ne disposant que d’un seul monstre (la Mournghul) vos adversaires devront affronter des unités qui les engageront pendant que leur héros faucheron vos adversaires.
  • Disciples Of Tzeench. J’adore cette armée. Tzeench est le dieu de la magie du chaos. Et cela se ressent dans son armée. Plutôt faibles au corps à corps, ils seront imbattables dans le domaine de la magie. Les disciples de Tzeench affaiblissent leur adversaire à distance à coup de magie et de tir pour que leur ligne Tzaangor et Kairic finissent le boulot. Il dispose du monstre le plus iconique du jeu avec la présence du seigneur du changement et son sort dévastateur capable de détruire tout ce qui se trouve en face.

Malgré le fait que les factions soient vraiment différentes, on se retrouve avec 4 types de gameplay totalement différents. On se retrouve vite à avoir une faction favorite que vous allez vouloir maîtriser.

Chacune de ces factions dispose de sa propre campagne qui est une sorte de tutoriel vraiment utile voir indispensable si vous voulez vraiment briller en multijoueur.

Realms Of Ruin à l’assaut des royaumes

Comme expliqué précédemment, Realms Of Ruin est un RTS. Votre but, conquérir de points de puissance afin de canaliser les âmes pour votre faction. Et qui dit RTS dit, brouillard de guerre, chemin caché et embuscade. Cela rend vraiment bien une fois en jeu (pas manette en main mais j’y reviendrais). On se prend vite au jeu de chercher les points de puissance afin de pouvoir établir une base opérationnelle. Et cette base sera vitale car c’est à partir de cet endroit que vous allez pouvoir invoquer vos unités.

On resterait sur un RTS plutôt classique si on s’arrêtait là. Mais qui dit Age Of Sigmar dit RPG. Et je dois dire que l’on est servi, au fur et à mesure que vous établissez votre domination par la prise de points, vous gagnez des ressources spéciales. Ces dernières vous permettent d’améliorer vos guerriers sous la forme d’un arbre de compétence qui vous forceront à faire des choix de spécialisations. C’est vraiment bien pensé et cela peut vite faire pencher un combat en votre faveur selon la capacité débloquée.

De plus, Realms Of Ruin implante un système de pierre-feuille-ciseaux plutôt bien pensé qui nous oblige à préparer chaque combat avec un minimum de stratégie.

La vraie force de Realms Of Ruin

Si la partie campagne est sympa voir un peu longue pour débuter, la partie multijoueur de Realms Of Ruin est juste extra. Si en lui même cela n’apporte que des récompenses cosmétique, il est vraiment agréable de jouer à un jeu qui a un aspect compétitif plutôt poussé. 

Si on ajoute la possibilité de pouvoir pimper votre armée, c’est juste le top ! Moi qui suis joueur, j’ai pu personnaliser mon armée Orruk pour faire la même que j’avais peinte il y a quelques jours. Je trouve cela vraiment intéressant d’avoir cette option surtout en tant que peintre.

Malgré tout un gros point noir

Si je devais m’arrêter là, Realms Of Ruin serait limite un RTS parfait. Mais je me dois de faire un paragraphe (peut être un poil court) sur la jouabilité. C’est qu’un Rts ça se joue à la souris et au clavier. Et là une fois la manette en main c’est une catastrophe.

Le déplacement à la manette est ultra lent malgré un changement de réglage, ce qui rend une sorte de lenteur au jeu. Ça gâche clairement le plaisir. Et pour avoir vu tourner le jeu sur PC et je n’ai pas ressenti cette lenteur. Si on ajoute un placement des fonctionnalités à la manette totalement à la con selon moi, ben on perd vite la hype de l’univers.

Graphiquement bien retranscrit

Comme expliqué lors de l’introduction, Realms Of Ruin retranscrit l’univers du royaume de Ghur d’Age Of Sigmar à la perfection, on sent la corruption qui émane de ce royaume bestial. L’animation est en général fluide même si on ressent un peu de lourdeur pour certaines unités. Bon Ok cela se ressent surtout avec les unités Stormcast Eternal mais en même temps courir en armure lourde n’est pas donné à tout le monde.

Attention le jeu n’est pas une claque graphique mais il est beau et exploite bien les capacités de la Playstation 5. Je n’ai de plus rencontré aucun souci ou bug technique.

Conclusion du test de Realms Of Ruin sur PS5

Dans l’ensemble, Realms Of Ruin est une belle surprise. Étant fan de l’univers d’Age Of Sigmar, j’ai énormément apprécié la modélisation des armées iconique de cet univers. J’espère sincèrement que de futur DLC implantenteront de nouvelles armées qui le méritent tellement (comme Nurgle ou les gloomspite Gitz). Le mode multijoueur est vraiment intéressant et pourrait vite s’ouvrir à une scène compétitive. Malgré tout je n’apprécie pas les contrôles à la manette que je trouve juste horrible. SI vous êtes fan de RTS, il sera encore mieux sur ordinateur avec clavier/souris. Au final, je vous le conseille, c’est un jeu vraiment sympa qui saura se faire apprécier aussi bien par les fans de Games Workshop que par ceux qui ne connaissent pas cet univers.

points positifs

  • L’univers d’Age Of Sigmar parfaitement retranscrit
  • Les unités du vraie jeu présente
  • Graphiquement bon
  • Un multijoueur au top
  • la possibilités de personnaliser son armée

points négatifs

  • clairement pas optimisé pour joueur à la manette

Qui ne connait pas RollerCoaster. On a eu une plâtrée de jeu de cette licence et cette année, Frontier arrive avec RollerCoaster Tycoon Adventures Deluxe. Mais oui, vous n’êtes pas fou, il s’agit du jeu sorti en 2018 remis au goût de la nouvelle génération de console et Switch. Mais vaut-il le détour ?

Construisons notre propre parc d’attraction voir même plusieurs

Avant de nous lancer dans l’aventure, le jeu nous propose 4 modes de jeu ayant chacun ses spécificités. Le tout premier, que toute personne doit faire, cest le tutoriel. Celui-ci vous apprendra les bases des mécaniques du gameplay au pad. Et on vous allez vite voir, que le jeu est simple, clair et surtout avec une interface intuitive. Tout est représenté sous forme d’images assez explicites, avec même les touches affichées au bon endroit pour ne pas perdre pied dans les menus.

Le deuxième mode, Aventure, est un peu la campagne du titre. Après avoir choisi notre lieu d’implantation, on commencera doucement, mais sûrement à faire notre parc à notre image. Ce mode dispose d’un concept sympa, qui consiste à devoir faire un choix à certains moments qui peuvent pérenniser ou éclater l’économie mise en place. Bon après je vous avoue, c’est quand même frustrant à certains moments surtout si on est bien avancé, on trouve cette sensation de devoir recommencer de zéro quand on fait un mauvais choix. Donc pensez à bien sauvegarder entre chaque décision.

Le troisième scénario, est d’accomplir des objectifs dans un laps de temps donné, et qui se révèle parfois complexe, certes, mais jamais injuste ou infaisable. C’est sans doute le mode le plus complexe du titre, enfin complexe est sans doute un grand mot. Car On sent tout de même qu’Atari vise un public plus jeune. Elle est loin, l’époque étant enfant, je pleurais du sang pour faire certaines choses dans les jeux…

Enfin, pour terminer, vous avez le mode Bac à Sable, qui est jouable de deux façons : le mode créatif. Ce mode vous laisse libre de créer le parc de vos rêves sans contrainte de budget ou de temps. Le mode Carrière vous donne des contraintes pour la création et l’évolution de votre parc avec des défis à accomplir.

Mania des manèges

Vous l’avez compris, le jeu sera donc de créer le plus beau et surtout le plus attrayant parc, mais bien sûr à notre image. Il faudra créer des zones de manège, avec à portée de quoi nourrir, boire, acheter des souvenirs pour nos chers visiteurs. Il faudra bien sûr entretenir votre parc avec des toilettes, des centres d’infos et bien sûr de la main d’œuvre pour tout ce que vous faites. Passant des caissiers à bien sûr, des agents d’entretien ou encore des réparateurs. Chacun de ces bâtiments couvrant une zone précise, il faudra donc en mettre suffisamment pour contenter les visiteurs, mais aussi veiller à la bonne propreté de notre parc.

Les attractions étant payantes, avec le temps, il faudra surveiller le niveau de bonheur des visiteurs pour voir si tel ou tel manège est au bon prix. D’une simple pression de bouton, vous accéderez aux statistiques du parc, qui donneront un aperçu des manèges qui sont attractifs ou non avec un pourcentage. Il faut vérifier assez souvent pour maintenir un bon niveau de plaisir des visiteurs. Bien sûr, le prix de vos manèges ne fait pas tout !! Les gens seront attirés aussi parce que propose votre parc comme attraction où même en décoration. Et c’est tout ça qui englobera la satisfaction de vos clients et le vôtre aussi, car vous vous adaptez au mieux pour ramasser encore plus de moula.

Cependant, il est impossible d’influer directement sur le prix des différents aliments consommés par les clients, ou d’ordonner à vos employés de nettoyer des toilettes ou de réparer un bâtiment, tout cela se fait sans votre impulsion, ce qui facilite un peu les choses, mais peut être tout de même frustrant à la longue, surtout pour ceux qui aiment gérer les jeux de simulation jusque dans les moindres détails. Et je trouve ça dommage, nous n’avons pas un total contrôle de ce qu’on fait,

Il y a du contenu

RollerCoaster Tycoon Adventures Deluxe nous propose énormément de manèges et tout autre élément (compter environ 200) et il en a pour tous les goûts. Les enfants, la famille ou encore les attractions extrêmes, tout y est et il faut bien tout ça pour aguicher le client ! Évidemment, vous pourrez également créer vos propres montagnes russes manettes en main. Un peu déroutant à prendre en main au début, mais après quelques minutes, on s’y fait. Les attractions sont très détaillées, ainsi que les différents environnements. Bien sûr, il faudra avancer dans le jeu pour débloquer de plus en plus d’éléments à ajouter dans votre parc.

Mais pour les débloquer, il faudra payer ! Il sera possible de choisir le type d’attraction et la durée de recherche. Plus c’est court, plus c’est cher ! Mais vous pouvez vite mettre votre nouveau joujou dans votre parc. Vous pouvez bien sûr décider de prendre le temps pour la recherche, ce qui sera moins cher, mais attention de ne pas perdre l’attractivité de votre parc.

Comme cité plus haut, RollerCoaster Tycoon Adventures Deluxe a une durée de vie quasi sans fin. Même si le mode scénario et ses 16 missions, vous tiendrons à peine quelques heures, façonner un empire du parc d’attractions prend du temps, surtout si on veut le faire à notre image. Et il arrive à des moments qu’on change nos perspectives et nos plans et donc on redonne un coup de jeune etc, etc… En plus, tous les DLC sortis à ce jour sont disponibles pour cette version Deluxe !

Graphismes et audio

Les graphismes de RollerCoaster Tycoon Adventures Deluxe n’ont pas évolué depuis sa première version. Il n’y avait pas réellement besoin d’une refonte, le style est très enchanteur de base et fidèle à la série : un monde en 3D assez carton, où les clients forment une masse uniforme pas vraiment différentiable, mais où les attractions sont très détaillées, ainsi que les différents environnements. Néanmoins, si votre parc atteint une taille importante, attendez-vous à des petites baisses de framerate, même sur console Next Gen. Alors je n’imagine pas la version Switch, mais rien de bien alarmant et un patch pourrait voir le jour pour corriger ce petit problème.

Niveau audio, rien à redire. On reste dans le thème des parcs d’attractions. C’est festifs et le bruit des manèges est en accord. Sur ce côté, tout est bon !

Conclusion

RollerCoaster Tycoon Adventures Deluxe est parfait pour les nouveaux venus que pour les experts des Tycoon. Il est simple et accessible surtout que le studio cherche à faire découvrir le genre à une nouvelle génération. Mais, il est peut-être trop simple et manque sans doute de challenge pour les puristes. Mais bon niveau fun et surtout durée de vie, le titre fait le café et je vous le recommande chaudement !

points positifs

  • Prise en main simple
  • Tout le contenu sorti à ce jour
  • Une durée de vie quasi illimitée

points négatifs

  • Trop simple pour les puristes
  • Petite baisse de framerate sur Next Gen

La sortie d’un Sonic fait toujours son petit effet. Il y a un an, nous avions le droit au premier Sonic en monde ouvert qui avait cassé les codes, mais était mal accueilli. Cette année, Sega revient avec Sonic Superstars, où la nostalgie est de retour, mais en vrais, ça ne fait pas tout.

Sonic de nouveau confronter à Robotnik

On ne change pas une formule qui gagne au niveau de l’histoire. Notre chère Gerald Robotnik, alias Dr. Eggman décide de capturer les animaux du monde pour les utiliser afin de donner vie à son armée de robots et dominer le monde. Pour contrer la menace du savant fou, Sonic et ses amis : Tails, Knuckles et Amy, partent pour le corriger et sauver les animaux. Petit plus, notre Moustachu sera accompagné de Fang, le tristement célèbre chasseur de Chaos Emeralds.

Vous l’avez compris, l’histoire se répète et c’est un peu là le premier reproche que je vais donner. J’en ai marre de voir, tout le temps la même histoire se répéter, épisode par épisode surtout pour ceux en 2D, dont l’apologie de la nostalgie est le cœur de ce Sonic. Mais au moins, c’est simple et efficace et permet d’introduire facilement tout ce beau monde.

Sonic bien dans ses baskets !

Parlons un peu plus du gameplay de ce Sonic Superstars. On reste ici dans une zone de confort connue. Avec une campagne principale qui se découpe en 11 zones, sans compter les niveaux bonus. On a de quoi faire, même jusqu’au 100 %. Il est toujours demandé de parcourir des niveaux variés aux dénivelés spectaculaires afin de dégoter les anneaux et les divers bonus qui traînent pour atteindre la ligne d’arrivée. Les ennemis comme les boss sont nombreux, et la variété de leurs genres/attaques oblige à adopter les bonnes stratégies.

Néanmoins, il faudra bien sûr fouiller les zones afin de trouver les émeraudes et niveaux secrets, mais aussi, des jetons indispensables à l’achat d’éléments, mais aussi dans les stages bonus. Mais si le cosmétique ne vous intéresse pas, vous pouvez passer chemin. D’ailleurs petites spécificités de cet opus, les émeraudes vous octroient une petite capacité spéciale à ne pas négliger.

Il y a énormément de stages bonus qui sont cachés un peu partout dans les différents niveaux, mais leur diversité est faible et ils n’ont que peu d’intérêt d’un point de vue du gameplay. Ils sont même frustrants au bout d’un moment…

D’ailleurs en parlant des niveaux, ils sont adaptés pour supporter les personnages dont le jeu nous met à disposition. Sonic peut remonter les pentes facilement, Tails peut voler un petit moment en spam le bouton de saut, Knucles peut flotter en restant appuyé sur le bouton de saut et grimper au mur, quant à Amy, elle peut faire un double saut et agite son marteau autour d’elle lorsqu’elle saute. Cela permet de rejouer les niveaux sous différents angles et atteindre des parties non accessibles. Malheureusement, nous ne pouvons pas switcher de personnages dans les niveaux… il faut revenir à la carte et c’est très dommage.

C’est beau, mais la caméra est votre pire ennemie

Sonic Superstars, on ne va pas se mentir c’est un canon de beauté. Chaque monde a son identité visuelle propre et l’action est très lisible, peu importe ce que vous faites. On sent la volonté de Sega de retranscrire ce qu’on connaît de la Mégadrive et on le sent depuis la page d’accueil du titre.

Mais la chose qui gâche mon expérience et cette caméra. Oh MON DIEU !! ! ! Je vais être méchant, mais les jeux en 2D la force, c’est la caméra bien large, surtout avec la vitesse de Sonic, qui permet de bien voir. Mais ici, la caméra est beaucoup trop proche de notre protagoniste. Limite, tu aurais pu mettre que lui, ça aurait été tout aussi injouable. Je me suis vraiment forcé à finir la campagne, tellement cette caméra a gâché mon expérience de jeu.

Mais le pire, car oui on peut faire pire pour la caméra, c’est en jouant à plusieurs. Car la force de ce titre devait être son multijoueur et de pouvoir jouer jusqu’à 4. Mais non, ne prenait même pas la peine d’essayer. C’est la foire à la saucisse ! La caméra fait souvent n’importe quoi et suit, par moment, des joueurs au hasard, avant de basculer sur un autre sans réelle raison. Le problème est surtout dû au fait que les niveaux sont très verticaux et que chacun n’empruntera pas forcément le même chemin en fonction de son personnage ou de son expérience de jeu.

Parlons de la musique. Alors que j’ai connu les meilleures playlists musicales du titre, que j’écoute souvent dans mes oreilles, Sonic Superstars gâche tout ! Il n’y a aucun rythme, ne colle pas aux niveaux parcourus. Finalement, j’ai parcouru le jeu avec les musiques de Sonic Heroes et cette époque me manque. Et je sais que tout le monde ne sera pas de mon avis et j’en suis désolé !

Conclusion

Sonic Superstars est parfait pour les nostalgiques, je peux le convenir. Mais sérieusement, il n’y a rien de marquant à me mettre sous la dent et difficile de vous le conseiller. La caméra suffit à elle-même pour vous faire détester le titre. J’ajoute à cela la musique et c’est terminé. Pourtant, les niveaux sont plaisants à parcourir et l’ajout des autres personnages pour trouver d’autres endroits des niveaux est un petit plus. Mais c’est juste gâché. J’en regrette limite Sonic Frontiers.

Points positifs

  • Les niveaux inspirés pour cette opus
  • Pouvoir jouer plusieurs personnages

Points négatifs

  • La caméra gros plan et foire à la saucisse en multi
  • Les musiques pas du tout entrainante
  • Pas de grosses nouveautés
  • Stages bonus à oublier

La série Yakuza, également connue sous le nom de Ryu Ga Gotoku au Japon, est une franchise de jeux développée par le studio Ryu Ga Gotoku Studio de Sega. Like a Dragon Gaiden : The Man Who Erased His Name se place en tant qu’épisode de transition entre Yakuza Like a Dragon et le prochain opus Like a Dragon: Infinite Wealth qui sortira le 26 Janvier 2024 sur Xbox, Playstation et PC. La série a débuté en 2005 et compte à l’heure actuelle 19 jeux.

Petit retour en arrière

Like a Dragon Gaiden: The Man Who Erased His Name se place assez finement entre Yakuza: Like a dragon qui fut un très bon RPG remplis de clin d’œil au monde geek et en particulier à Sega. Vous contrôlez Kiryu légendaire Yakuza considéré comme mort à la fin de Yakuza 6. Ce dernier est caché au sein du clan Daidoji. Nommé agent Joryu, il est le nouveau Joker de ce clan qui le déploie en cas d’extrême urgence. Pour ceux qui connaissent l’histoire, c’est une situation assez ironique de voir que les ennemis d’hier sont devenus les amis d’aujourd’hui.

Il est assez intéressant de voir que l’intrigue qui se développe autour de la volonté de protéger un orphelinat rend Kiryu prisonnier du clan Daidoji. Il est clairement dans la retenue durant tout le début du jeu. Car pour rappeler la situation, le fait qu’il soit caché est essentiel pour éviter toute guerre de clans. Et comme vous pouvez vous en doutez il y aura énormément de trahison. Mais pas de panique Kiryu n’est pas considéré comme une légende du combat pour rien.

Like a Dragon Gaiden:  manuel de distribution de salade de phalange

Autant vous dire que Like a Dragon Gaiden: The Man Who Erased His Name n’est pas un jeu de poète car c’est un beat them all ! Fort de son statut de légende de la baston, Kiryu passe son temps à distribuer des grosses mandales et de violentes balayettes à tout ce qui se trouve en face de lui. Pour cela il pourra compter sur deux style de combats différents: 

  • Le style Agent se base sur l’utilisation de gadgets qui pourront rappeler ceux des films d’espionnage. C’est assez agréable à jouer avec la possibilité de faire des combos avec les différents gadgets. Il est particulièrement utile contre les gros groupes d’ennemis.
  • Le style du Dragon est le style d’origine de Kiryu qui est redoutable contre les ennemis en 1 contre 1. Très utile contre les boss que vous rencontrerez assez souvent au long de votre aventure

De plus, chaque coup vous permet de monter des jauges qui vous permettront avec de petits QTE de lancer des attaques dévastatrices et spectaculaires sur vos adversaires.

Sur le papier ça à l’air top mais le jeu souffre d’un gros soucis de hit box, une bonne partie de vos coups se feront dans le vide. Si dans le style du Dragon cela peut “passer” dans le cas du style agent, cela devient frustrant de voir les gadgets manquer leur cible. 

Second petit bémol selon moi, vous pouvez mettre en pause chaque combat pour  vous remettre de la vie, je n’ai jamais compris ce système car il coupe le rythme du combat. Je pense qu’un game over est plus profitable car le système actuel rend le jeu beaucoup trop facile. On se bat, on récupère de l’argent et de l’expérience, on achète de l’équipement et de nouvelles compétences et voilà.

On ne change pas une recette qui change.

Petit paragraphe qui sera relativement court car il reprend la recette qui fait de Yakuza une série originale. J’adore les mini-jeu et comme dans les précédent opus, Like a Dragon Gaiden: The Man Who Erased His Name en est truffé. Jeux d’arcade made in Sega, jeux de fête foraine, Yakuza saura vous combler. Car s’ils ne sont pas indispensables, ils apportent un peu de fraîcheur dans un jeu où l’ambiance est un peu pesante.

Il est même à noter que certains jeux sont vraiment sympa comme le Go ou le jeu des tuiles qui vous demanderont de vous triturer l’esprit car compliqué.

Techniquement bon

Like a Dragon Gaiden: The Man Who Erased His Name est un jeu techniquement correct, c’est relativement beau sur Playstation 5, l’ambiance musicale est parfaitement respectée.
Je ne pourrais pas faire de grosse critique en ce qui concerne cette partie technique à part les hit box un peu à la rue. On ne peux que féliciter Ryu Ga Gotoku Studio pour son travail.

Conclusion du test de Like a Dragon Gaiden: The Man Who Erased His Name

Présenté en tant qu’épisode de transition,Like a Dragon Gaiden: The Man Who Erased His Name remplit parfaitement son rôle. Malgré un souci de hit box qui se rattrape assez aisément par la fluidité du gameplay, cet opus offre un scénario plaisant qui nous permet de mieux comprendre l’histoire de Kiryu et sa décision de se faire passer pour mort. Même si il est clair qu’un fan de la série sera encore plus passionné, un novice pourra apprécier sans aucun soucis le scénario en attendant la sortie de Like a Dragon: Infinite Wealth au mois de janvier 2024.

Pros

  • Un scénario prenant
  • Un gameplay fluide et nerveux
  • Plein de clin d’œil
  • Prise en main rapide
  • deux style de combats différents
  • Les mini-jeux !

Cons

  • hit box aux fraises
  • Un peu trop facile

Issu d’une campagne Kickstarter réussie, Spells & Secrets est une rogue-lite cosy basé sur l’apprentissage de sorts et leurs combinaisons ainsi que de nombreuses énigmes à résoudre grâce à ces derniers. Alors à nos baguettes, c’est parti pour le test !

L’histoire

Vous êtes enfin arrivé à l’école des sorciers Greifenstein. C’est votre premier jour et vous êtes impatient d’apprendre de nouveaux sorts. Vous êtes dans votre chambre lorsqu’une explosion se produit dans « La Flèche » de l’académie. Une fois vos esprits retrouvés, vous êtes coincés dans votre chambre que faire ?

C’est déjà la première énigme d’un (très) grand nombre qui vous attend. Une fois sorti de votre chambre, vous allez en apprendre petit à petit un peu plus sur ce qu’il se passe. Les différents professeurs, la directrice et le grand Murlein sont introuvables. Les élèves bloqués doivent être sauvés des différents étages. On compte sur vous pour mener l’enquête et trouver réponse à toutes ces questions. Rendez-vous donc dans le jardin qui sera votre point de départ et base d’opération.

Le gameplay

La recette du bon rogue-lite a été bien maîtrisé ici, si on considère le coté cosy attendu, on débloque et découvre des mécaniques au fur et à mesure de notre progression. On s’améliore et le jeu se complexifie de façon très équilibrée grâce à beaucoup de contenu à apprendre et maîtriser.

La base du gameplay est un dungeon crawler avec des thèmes différents à chaque étage de l’académie. On passe donc de salle en salle, avec soit des monstres a éliminer, soit des événements spéciaux. Parmi ces événements, on aura les classiques marchands et boss, mais également des élèves à sauver, des épreuves de force et des salles d’artefact. À chaque nouvel étage, vous pourrez également obtenir des artefacts et lors de votre premier passage a chaque étage, vous rencontrerez un nouveau professeur. Il existe également un ensemble de salles spéciales qui compose le jardin de l’académie, qui servira de base de départ et d’apprentissage. C’est ici que vous pourrez apprendre et améliorer vos sorts, votre magasin, vos statistiques et obtenir des indices sur les combinaisons de sorts efficaces par les élèves que vous aurez sauvés.



Les sorts peuvent paraître limités en début de partie, mais on en débloque beaucoup et assez rapidement. De la télékinésie aux malédictions de sangs, en passant par les boules de feu et le bouclier réflecteur. Chacun de ces sorts aura différents niveaux d’amélioration, ceux-ci feront que les sorts consomment moins de mana ou se lancent plus vite par exemple. Toutes les améloirations liées aux sorts et à votre sorcier s’achètent avec de l’expérience qui s’obtient en tentant de sauver l’académie. Donc à chaque tentative , que vous sauviez ou nous l’académie, vous repartez avec de l’expérience pour vous permettre de devenir un meilleur magicien. Au plus, vous avancerez, au plus, vous aurez accès à des factions d’élèves qui vous permettront d’obtenir des avantages non-négligeables pour sauver l’académie.

Vos sorts peuvent être modifiés d’une seconde manière, via des artefacts qui ont un effet passif sur un sort spécifique. On va des artefacts qui vont vous permettre de lancer instantanément le sort à des artefacts qui vont changer la forme des sorts. Ces artefacts ne sont pas conservés d’une tentative à l’autre, ce qui force un peu des parties différentes à chaque fois. C’est selon ces artefacts et votre façon de les combinés que la victoire sera simple ou non.



L’autre partie majeure dans le gameplay de Spells & Secrets, ce sont les énigmes. Dans pratiquement chaque salle, il y aura une énigme à résoudre afin de faire apparaître un bonus (artefacts ou pièce d’or). Parfois, la récompense se présentera sous forme de sac, ces derniers peuvent aussi être trouvés dans les certaines salles directement. Un point d’interrogation sur la carte vous signalera si une énigme est présente ou non dans la salle. La nature des énigmes est vraiment très variée et pour certaines, il faudra trouver un indice pour la comprendre. Par exemple des panneaux vous demanderont de faire attention a des trous de taupes… La solution sera se transformer en souris pour aller vois ces tunnels. Parfois, ça sera une partie d’échecs, un but a rentré. Les énigmes n’apparaîtront sur la mini carte que si vous avez déjà débloquer les sorts permettant de les résoudre, donc pas d’inquiétude a avoir, ne vous prenez pas la tête si ce n’est pas nécessaire.



Le bestiaire peut paraître petit, mais l’augmentation des difficultés fait que des variantes apparaissent. De ce fait, on passe plusieurs parties à s’habituer a des monstres déjà divers, pour au final réapprendre tout cela. Certains mobs demanderont d’être interrompus pour pouvoir leur faire des dégâts, d’autres nécessiteront de les esquiver. Dans l’ensemble, les combats ne sont pas très compliqués, mais cela colle bien au côté cosy. Parmi les monstres, on a les boss, qui demanderont parfois des combinaisons ou des contres bien précis. Le plus paradoxal, c’est que c’est le boss de fin que j’aurais trouvé le plus simple grâce à l’expérience acquise.

Battre des monstres vous donnera de l’expérience que vous ne perdrez jamais et qui vous servira donc à vous améliorer. Quid des sacs et énigmes donc ? Ceux-ci vous donneront des pièces d’or à dépenser chez le marchand, car ces dernières seront perdues à chaque fin de partie. L’or ne pourra être dépensé que chez le marchand durant une partie afin de se soigner, d’obtenir un artefact et bien d’autres services que vous débloquerez grâce aux crédits. Ces crédits sont les pièces d’or converti chez le marchand qui ne sont pas perdu à la fin d’une partie. Ce sont ces crédits qui vous permettront d’améliorer le marchand et son catalogue d’offres.



Il existe encore plein de petites mécaniques qui se débloquent plutôt vers la fin du jeu, mais je ne veux pas spoiler quoi que ce soit. Je vous direz juste qu’une seule victoire ne sera pas suffisante pour assouvir votre besoin de savoir.

Graphismes et sons

Comme assez souvent dans mes tests, je vais parler ressenti plus que technique. Graphiquement, ça colle parfaitement à l’ambiance cosy du jeu. Chaque étage a sa colorimétrie propre et les designs sont soignés pour ce style. Je n’ai jamais ressenti de soucis coté graphisme, au contraire, c’est resté toujours agréable, et lorsque j’avais du mal à voir quelque chose, il s’est avéré que c’était voulu. On peut apprécier un petit outil de customisation de personnages qui rajoute un petit plus pour se poser 5 minutes et tester sa garde-robe afin d’avoir un look agressif ou posé.



Coté son, rien de bien remarquable. Ni bug, ni musique exceptionnel. Le sound design est bon et bien équilibré les musiques ne sont pas trop intrusive et ne vous déconcentrerons pas lors de session rythmée.

Conclusion

Spells & secrets rempli le contrat de ce qu’il annonce : des sorts, des secrets, du rogue lite, une bonne quantité de contenu ; mais reste un jeu pour les amateurs et non les expérimentés. Pour celles et ceux qui ont toujours peur des rogue-lites, car cela leur parait l’infini et qu’au bout d’un moment la difficulté outrepasse le plaisir de jeu, c’est le jeu qu’il vous faut pour vous réconcilier avec le genre. Sur une note personnelle, je suis habitué aux roguelikes/lites et j’apprécie leur difficulté. Ce jeu a un goût de « trop peu » pour un habitué du genre. Il s’adresse donc plus à de jeunes joueurs ou des joueurs en recherche de roguelites « facile ».

Les plus

  • Dimension rogue lite maitrisée
  • Un bon contenu cosy
  • Une histoire minimaliste mais sympa
  • Se laisse jouer (avec modération)

les moins

  • Pas pour les joueurs expérimentés (sinon on a une durée de vie de 10h max)
  • Devient assez vite redondant
  • Pour certains : « trop pi-pou »

Cette fin d’année se calme, mais Noël arrive et les jeux pour les enfants ont une place à prendre. Aujourd’hui, je vous propose un petit test sur Wildshade: Unicorn Champions, un Mario Kart avec des licornes comme bolides pour les enfants de 4 à 7, pas plus.

Les licornes, un tout nouveau bolide

Pour rentrer dans les cordes du public visé, le studio derrière Wildshade: Unicorn Champions, nous propose un véhicule adapté pour les enfants. Une licorne ! C’est beau, majestueux, mais c’est l’exact opposé d’un véhicule. Car ici, on ressent la vibe d’un jeu de Kart, sauf qu’on a collé une apparence de licorne. Et je vais rentrer directement dans le sujet du gameplay. Je vais encore le répéter, mais c’est Mario Kart.

Tout d’abord, les courses, c’est du classico digne d’un jeu de Kart, où nous affronterons donc des adversaires. On peut déraper (oui on dérape en licorne), et cela nous accordera un boost quand la barre est chargée. Nous récupérerons aussi des objets de plusieurs manières. La première, la plus logique, via des bouteilles magiques qui donneront aléatoirement un objet à utiliser. Mais, pour faciliter les courses, car on est sur un public jeune, un pourcentage se chargera petit à petit pour nous donner la chance d’avoir un objet. Cette barre de pourcentage peut-être chargée avec le temps, soit en ramassant des globes disséminés sur le circuit, ou enfin en passant un obstacle. Du classique aussi ici, un bouclier, une attaque de feu, de glace, des ailes pour avancer plus vite ou encore un orage pour ralentir tout le monde.

Voilà, je vous ai dit toutes les touches qu’utilisera votre bambin. Vous l’avez compris, une touche pour déraper, une touche pour envoyer l’objet et le joystick pour tourner. Mais vous me direz, comment avance-t-on ? Le saut pour les obstacles ? Eh bien, tout est automatique. Tout le monde à la même vitesse et pas besoin de se prendre la tête pour sauter. C’est bien pour les enfants, car on n’a pas trop de touches à apprendre. Mais, un problème se pose. Les courses, sont simples, mais joue sur l’aléatoire. Soit, vous avez de la chance et vous avez tous les objets qui vous aident. Soit, vous allez prendre tout dans le visage et la frustration peut se gagner facilement. Et le constat est encore plus flagrant en changeant la difficulté. Enfin, il sera possible de faire un départ canon en appuyant et relâchant au bon moment la touche de dérapage.

Il y a de quoi faire

Quand on lance le jeu, on a un petit tuto pour nous expliquer les touches et comment se passe une course. Passé cela, trois modes de jeu sont disponibles. Le premier, une petite campagne. Pas de difficulté, elle est là pour se faire la main sur le titre. Au total, 33 courses sont disponibles comprenant les même maps, mais à l’envers. Plus notre classement est haut, plus on gagne d’étoiles, qui permettront de débloquer la suite de l’aventure ou même de nouvelles montures.

Le deuxième mode de jeu est Tournoi. C’est les coupes à la MK qu’on connaît, où on engrange des points selon notre classement sur 4 courses. On gagnera des récompenses, selon notre classement final afin de pouponner notre belle licorne. Le dernier mode de jeu jouable est Course. C »est une course qu’on choisit selon nos paramètres. Ces deux modes de jeu sont disponibles pour jouer en solo, où jusqu’à 4 joueurs en écran scindé.

Enfin, deux autres modes de jeu sont disponibles, mais rien de transcendant. LE premier est écurie qui permet donc de voir nos Licornes et de les customiser avec les objets qu’on aura déverrouillés. Le second est croisement, qui permettra de choisir entre deux espèces afin d’en créer une nouvelle. Mais c’est un peu inutile, car on n’a pas de statistiques sur nos licornes. C’est juste pour créer de nouveaux skins.

Pour terminer

Graphiquement, le jeu est choupinet et très coloré. C’est le but, surtout si on veut amadouer les enfants. Mais alors, les circuits n’ont aucune vie. C’est juste une vaste zone environnementale avec des bâtiments pour certains et les tracés sont parfois horribles. La maniabilité n’est déjà pas super, nos licornes ressemblent plus à des tractopelles qui sont difficiles à faire tourner. Mais en plus, certains circuits sont juste faits de couloirs ou de virages à 90 degrés (même les deux combinés) et bien on se cogne dans les murs invisibles tout le temps. Mais au moins vu que c’est automatique, on peut finir tout de même facilement la course même en frottant son petit museau contre les parois invisibles.

Côté audio, Wildshade: Unicorn Champions reste simple et les musiques de fond pendant les courses sont douces et joyeuses et enivrera votre enfant. Après quand on reçoit un objet, votre licorne fera un bruit de cheval. Mais on ne connaît pas le cri d’une licorne donc on prend ce qui se rapproche le plus.

Conclusion

Wildshade: Unicorn Champions est parfait pour un enfant dont l’âge est ciblé par le titre. Il est simple de prise en main avec l’automatisme de la « conduite ». Son côté graphique coloré mélangé avec les licornes, des êtres fabuleux et légendaires sont parfaits pour remplacer la bon gros bolide et mettre votre bambin dans de bonnes conditions avant de lui faire découvrir Mario Kart ou ses concurrents. Mais, la frustration peut venir, même pour un enfant car les victoires sont plus fait avec la part chance.

Points positifs

  • Parfait pour les enfants de 4/7 ans
  • Graphismes colorés …
  • Le nombre de licornes disponible

Points négatifs

  • .. Mais avec des environnements vides
  • On gagne la course grâce à la chance
  • On colle trop les murs invisibles
  • Des tracés pas cohérents avec une licorne (couloirs)

J’adore l’univers autour de Robin des bois. Peu de jeux sont sortis ces dernières années, le dernier en date était un multijoueur fort sympathique, mais manquant d’ambition et surtout de contenu. Cette fois-ci la bande de la forêt de Sherwood se retrouve dans un jeu d’action pouvant être joué jusqu’à 4 en coopération dans un univers réimaginé.

Une histoire dystopique

Gangs of Sherwood nous plonge donc dans l’univers de Robin des bois, mais dans un univers complétement réimaginé. Ici on retrouve toujours nos quatre protagonistes connu, Robin des Bois, Marianne, Frère Tuck et Petit Jean. Lors des dernières Croisades, le roi Richard d’Angleterre et ses armées ont découvert une pierre merveilleuse : le Cœur de Lion. Doté de propriétés extraordinaires, le royaume a pu jouir d’une avancée technologique prodigieuse. Cependant, le Shérif de Nottingham s’en est emparé, lui permettant ainsi d’asseoir son autorité et d’opprimer le peuple anglais. Votre but, sera donc de contrecarrer ses plans tyranniques et de le vaincre tout en détroussant les plus riches afin de redonner aux pauvres.

Comme on le comprend vite, cette histoire est réimaginé afin d’intégrer un univers fait de technologie avancée. Et notre prologue lancera nos héros à sauver Allan ‘ Dayle, un marionnettiste excentrique, dont la tête est mise à prix. Ici, ça sera un petit tuto classique et rapide afin d’apprendre les bases, déplacements, combat et comment se déroule une mission. A la fin de celui-ci, nous arriverons à notre QG, le Grand Chêne ou toute la magie s’opère (c’est le hub du jeu).

Côté durée de vie pour accomplir l’histoire, il m’a fallu 5H en coopération 3 joueurs. Ce qui est tout de même assez court, surtout qui s’est réparti en 3 Acte de 3 missions chacune. Heureusement, à la fin de celle-ci trois autres modes de jeu se débloqueront, mais resteront tout de même anecdotiques. Un simple mode horde écrit sans fin, mais qui s’arrête au bout de 30 vagues, un boss spécial et une épreuve où nous affronterons les trois boss du titre. Au final, c’est maigrichon. J’espère qu’on aura des DLC qui ajouteront du contenu, surtout avec la fin qui laisse le supposer.

4 Héros aux styles différents

La force du titre réside surtout sur ses personnages. Chacun a ses propres caractéristiques et ça se voit lors de nos avancées sur les missions. Robin et Marianne, grâce à leur corps svelte pourront passer par des passages que Tuck et Jean ne peuvent et inversement. Cela amène à découvrir les niveaux autrement et à chercher la re jouabilité. Car tous n’ont pas les mêmes compétences et ne se jouent pas de la même façon.

Tuck et Jean seront plus à aller dans le tas, comme pour Marianne alors que Robin va rester plus en retrait grâce à son arc. Mais tous ne feront pas autant de dégâts. Marianne, va plus chercher les combos pour cumuler des Dagues magnétiques qui seront activables à un certain moment afin de faire un flux de dégâts plus important. Du côté de Frère Tuck, par exemple, lui sera plus sur des attaques chargées et pourra aussi soigner ses alliés, mais aussi prendre moins de dégâts. Une belle complémentarité entre chaque personnage.

Mais tout n’est pas acquis dès le début. Il faudra progresser petit à petit dans l’histoire pour débloquer l’ensemble de l’arsenal de nos compagnons. A chaque mission, vous récupérerez de l’or qui va servir à deux choses. La première bien sûr, c’est une monnaie donc elle vous servira à acheter des éléments. Attention toute de foi, celle-ci est différente pour chaque personnage, il faudra jouer avec le personnage qu’on souhaite augmenter pour cumuler le pécules et ainsi débloquer d’autres éléments de lui. La seconde, c’est aussi l’expérience de votre repaire. Cette expérience de repère va vous permettre de débloquer de nouvelles capacités, qui changeront votre gameplay, mais aussi de nouvelles tenues, la taille de la jauge rebelle ou le nombre d’artefacts que vous pouvez transporter.

Finalement, même si on n’a pas énormément de contenu, la durée de vie est quand même présente, surtout si on souhaite maximiser à fond tous les personnages, car il va vous en falloir de l’argent, accrocher vous pour certains cosmétiques !!

Un gameplay simple déjà vu

Dans Gangs of Sherwood, on évolue dans des niveaux plus ou moins linéaires proposant tout de même quelques passages secrets comme j’ai pu l’indiquer plus haut. On utilise le double saut, ou le grappin, pour avancer et passer les obstacles sur notre route et on croisera plusieurs zones d’ennemis.

On alterne attaques rapides avec la lourde, avec à chaque fois la possibilité de charger notre coup. Les combos pleuvent et on appréhende les capacités maison de Gangs Of Sherwood : selon la combinaison de touche exécutée (xx fois Rb puis RT par exemple), on déclenche des aptitudes dévastatrices. Bien sûr, il faudra débourser quelques or pour débloquer certains combo et il sera possible de parer ou d’esquiver. La formule est simple, mais efficace, mais j’ai l’impression de déjà vu. Sur un certain Devil May Cry, par exemple. Pourquoi ? Tout simplement sur chaque session de combat, nous aurons une note qu’il faudra augmenter (allant de D à S). Le ranking est basé sur le temps passé, les dégâts générés et encaissés, nos combos… Tout ceci permet d’engranger plus ou moins de pièces d’or.

Pour vous aider en plus, dans les différents coffres que nous trouverons sur notre chemin, notre joyeuse bande pourra s’équiper d’artefacts, qui modifient/altèrent certains aspects. On y retrouve des boost de défense, chances de coups critiques améliorés, dégâts de feu sur nos attaques, une vie additionnelle, etc… Le petit plus, c’est qu’ils ne sont pas éternels. Bye, Bye à la fin de la mission. Par contre, c’est vrai que je trouve regrettable qu’on ne les retrouve pas dans les autres modes.

Enfin, des points de checkpoints seront disponibles offrant tout de même un petit effet. On gagne de la faveur du peuple qui nous offre quelques boosts légers, mais toujours bons à prendre (+2 en attaque, etc.), par paliers. Cette faveur peut être gagnée aussi en sauvant le peuple, disséminer un peu partout dans notre mission. Enfin, nous pourrons retrouver des PNJ arborant un ! au dessus de leur tête. Ils reviendront dans votre Hub afin de vous proposer une petite quête secondaire, afin d’assouvir les demandes du peuple. Mais malheureusement, sur les quelques requêtes faites, je n’ai rien gagné en récompense…

Graphismes & Audio

Appeal Studio affiche un travail inspiré en tout point, avec des environnements variés allant de la forêt de Sherwood au navire du Sheriff, en passant par des tranchées, des complexes miniers, ou encore un village ravagé par la guerre. Visuellement, Gangs of Sherwood nous sert une direction artistique solide et un rendu globalement convaincant. Cependant, sur la version testée qui est sur Xbox Series, la fluidité pêche par moments avec quelques chutes de framerate assez perceptibles et dérangeantes. Mais aussi, à certains moments rend les combats un peu brouillons car trop d’éléments explosifs sont sur notre écran et on ne voit plus notre personnage ou même l’ennemi.

J’adore aussi les temps de chargement avec un Artwork style peinture du niveau et la mise en scène faite par le marionnettiste pour le lancement de la mission. Pas besoin de cinématique, et ça colle parfaitement à l’esprit du titre et permet de mettre en avant le personnage qu’on sauve dès le début du jeu.

Parlons des ennemis, malgré la présence de seulement trois boss, le jeu nous fera découvrir plein de sous-boss (frères de Marianne) et un certain nombre d’ennemis différents. Passant des archers ou fusilier, à certains qui octroieront des bonus (invincibilité à boost de dommages), aux bons gros chevaliers bien tank, le jeu sait se diversifier et c’est vraiment chouette, chaque combat n’étant pas les mêmes. Enfin, du côté de la bande sonore, elle colle parfaitement au titre et ne souffre d’aucun problème de ce côté.

Conclusion

Gangs of Sherwood est une excellente surprise. Malgré une durée de vie faible qui est surtout due à la partie mission, le titre propose une formule simple, mais qui tient en haleine. Je vous conseille cependant de faire le titre à plusieurs, afin de vraiment optimiser la cohésion de groupe qu’apporte chaque protagoniste. Surtout si vous recherchez à optimiser chacun d’entre eux, surtout que ça vous prendra un certain temps.

Points Positifs

  • 4 Héros différents mais complémentaire
  • Jouable jusqu’à 4
  • L’univers dystopique que propose ce conte
  • Combat dynamique
  • Une durée de vie assez forte …

Points négatifs

  • … Malgré la présence seulement de 9 missions
  • Le système de ranking personnel même à plusieurs

Après avoir fait un four avec Rambo: The Video Games et un Terminator: Resistance inégale, mais plaisant (dont le test de la version Next Gen arrive bientôt), le studio Teyon s’attaque cette fois-ci à une nouvelle icône du cinéma classique avec Robocop: Rogue City. Mais est-ce encore un semi-échec ou une vraie tuerie, nous allons le voir maintenant.

Alex Murphy, l’homme de métal

Robocop: Rogue city se déroule dans la timeline des films entre le deuxième et troisième opus. Détroit est frappé par une série de crimes et un nouvel ennemi menace l’ordre public. Ajoutez à cela, Max Becker d’Omni Consumer Products (OCP), qui considère RoboCop et les forces de l’ordre comme des reliques du passé et pleins de sous intrigues que je vous laisserai découvrir durant votre session et vous avez l’histoire. Et je vous avoue, que je trouve que Rogue City fait une meilleure suite au deuxième opus qu’est Robocop 3.

Malgré tout ce Gloubi-boulga d’histoire, le jeu nous tient en haleine tout le long de la vingtaine d’heures. On passera par toutes les émotions, de la compassion à même des surprises dans la trame scénaristique. De plus, le titre peut compter sur l’acteur Peter Weller, qui reprend son rôle de Robocop à merveille.

Dans la vingtaine d’heures que j’ai citées, il faut compter les quêtes secondaires, éparpillées un peu partout. Que ce soit dans le commissariat ou dans la ville de Détroit, il y a de quoi faire. RoboCop sera dans des situations aussi absurdes qu’amusantes, peuplées par les citoyens tous plus étranges les uns que les autres. Qu’il s’agisse d’élucider un meurtre sur un tournage publicitaire, de disperser des fauteurs de troubles, ces missions semblent présent à déclencher les répliques culte de RoboCop et varier les missions.

Mi Homme, Mi Robot, mais 100% Policier

Dans Robocop: Rogue City, vos actions ont une répercussions sur l’histoire et la relation que vous entretenez avec les personnages. Elles peuvent varier de l’aide à un informateur toxicomane sans-abri à trouver un sens à sa vie, à la décision de divulguer à une journaliste vos problèmes techniques.. . À cet égard, le jeu est particulièrement réussi et le personnage de RoboCop se révèle étonnamment émouvant. On perçoit la lutte de l’homme prisonnier de la machine, cherchant à exprimer son humanité.

Après vous êtes surtout un robot et les développeurs l’ont extrêmement bien représenté. Pour combattre le crime, vous marchez d’un pas lourd. Armé de votre Auto-9 avec munitions illimitées et on vous fait ressentir la robustesse de Robocop. Il est impossible de s’accroupir ou même de se mettre à couvert, car vous êtes un tank. Vous encaissez plus de balles qu’il n’est permis. Bon, vous n’êtes bien sûr pas invulnérable, surtout quand une multitude d’ennemis arrive sur vous, et amèneront à des combats tout de même exigeants. Mais la sensation de puissance est présente, surtout quand vous attrapez divers objets, ou même les adversaires et que vous les faites éclater contre les murs ou même sur les autres ennemis. C’est tellement satisfaisant, c’est même jouissif.

Enfin, vous faites respecter la loi, vous êtes surtout un policier. Il sera possible d’aider vos collègues à écouter la population se plaindre ou encore de dresser des contraventions. En plus de ceci, le système de dialogue, influencé par les choix du joueur, permet d’incarner soit un gardien de la loi intransigeant, soit un héros plus empathique et nuancé. Ces choix reflètent le drame intérieur de RoboCop, un héros confronté à des dilemmes moraux complexes. Tout assembler aura d’ailleurs un impact significatif sur le déroulement du jeu. On n’aura pas moins de trois fins différentes possibles en fonction des relations établies à découvrir.

Teyon permet aussi à notre policier cybernétique de gagner en expérience, de débloquer des aptitudes passives et actives, et d’améliorer sensiblement son arme de service via des items à dénicher dans les niveaux.Pour débloquer de l’expérience, il existe plusieurs moyens. Passant par la complétion des quêtes, où à la recherche d’items volés ou l’analyse de preuves.

Cet aspect RPG cherche à immerger les joueurs dans cet univers de science-fiction. Cela permettra à notre cher Murphy de pouvoir devenir plus puissants, ou encore de chercher des indices supplémentaires ou des zones secrètes plus on augmentera dans certaines catégories.

Quasi invincible mais pas sans défaut

Même si le jeu est jouissif, il n’est pas sans défaut avec en premier lieu l’IA. Elle est assez basique, voire simpliste. Elles restent statiques, cherchent de manière incohérente à se protéger, se coincent dans le décor ou, dans certains cas isolés, se neutralisent entre eux. Même les ennemis véhiculés feront juste de tourner en rond dans un pattern bien précis et il sera assez simple de les neutraliser. Même les « boss », comme le tout premier voudra juste se coller à vous pour vous faire le plus de dégâts.

Du côté des graphismes, le petit bémol est surtout sur les personnages que je trouve trop rigides. Peu d’expressions, avec un bon petit balai dans les fesses et surtout certains ont un regard vitreux. Mais bordel à cul, le jeu est beau et on ressent l’Unreal 5. Les décors sont splendides, avec un niveau de détail élevé. Les rues de Detroit sont reconstituées comme dans les films, avec un soin particulier et les personnages sont particulièrement bien modélisés malgré ce que j’ai dit au-dessus. L’attention portée au détail s’étend jusqu’au filtre légèrement grisâtre et sale qui rappelle celui des caméras de l’époque, ce qui est tout simplement grandiose.

Enfin, Robocop : Rogue City regorge d’environnements qui offrent une grande destructibilité, ce qui renforce le spectacle des affrontements. Cela renforce d’autant plus la sensation de puissance de RoboCop. Ajouter à cela, les divers effets de lumière et effets spéciaux, qui sont tout simplement magnifiques et ajoutent encore plus de crédibilité à un titre pas déconnant.

Conclusion

RoboCop: Rogue City est une lettre d’amour et un hommage respectueux de l’héritage cinématographique du cyborg le plus emblématique d’Hollywood. Malgrés une IA aux fraises, le jeu est FUN et aux antipodes des FPS qu’on peut connaître où la rapidité est de mise. Tout le mélange, que ce soit positif et négatif, rend même le titre encore plus beau. On est loin de l’un triple AAA, mais Teyon n’a pas à rougir et apprend de ses erreurs pour nous servir là le meilleur cru possible.

points positifs

  • Récit qui tient en haleine
  • C’est beau malgré quelques imperfections
  • On sent une montée en puissance
  • Respectueux de l’univers cinématographique
  • Jouer robocop et se sentir quasi invincible
  • Un arsenal et des ennemis différents et complet

points négatifs

  • Les personnages avec une émotion vitreux pour certains
  • IA aux fraises

Bon, j’aime bien tester des jeux qui sortent de l’ordinaire. Et aujourd’hui, j’ai pu tester un jeu de gestion sur la Weed. Sorti tout droit du catalogue de Devolver, celui-ci vous permet en effet de développer votre petit business de la verdure, avec toutes les contraintes qu’implique ce choix. Mais un jeu de gestion de gestion sur console, c’est toujours fastidieux à adapter. Est-ce le cas ici ?

Trois scénario pour bien étendre ton business

Weedcraft Inc propose trois scénarios. Le premier est une sorte de grand tutoriel vous faisant démarrer au bas de l’échelle. Tu viens de finir ta première année d’études, mais malheureusement c’est la seule qu’on fera. Notre padré, est mort et il te laisse à toi et ton frère les dettes de tes frais de scolarité. Mais avec ton sens de la comptabilité et de la vente et ton frère qui ont le voit est clairement dans des choses illégales, ouvrez votre première culture dans la cave de votre maison familiale.

Quand vous avez enfin pu comprendre la moult d’options qu’offrent le jeu, vous pouvez passer aux deux autres scénarios plus complexes et convie donc aux joueurs un poil plus rodé. La première sera dans la peau d’un ex-taulard, dont les inconvénients t’amènent à reprendre les vieux démons et de reprendre contact avec un vieux complice qui dirige un trafic d’herbe légale. Le second, est la reprise avec la mère, de l’exploitation familiale d’herbe. Nous gérons les affaires, mais les choses vont commencer à se gâter…

Le petit plus du titre, c’est qu’on peut jouer les scénarios avec l’option tranquillité qui nous permettra de suivre l’aventure, sans trop se soucier du game-over. Car, comme tout bon jeu de gestion, si c’est mal géré, c’est facilement la banqueroute et la fin de partie.

Enfin, une partie personnalisée pourra être lancée, incluant les trois lieux des scénarios décrits ci-dessus. On pourra aussi choisir nos compétences, notre capital de départ et la difficulté, afin de faire une partie sans pression.

Produire et vendre sa beuh

Vous commencez dans une cave assez mal équipée dans Weedcraft Inc et peu à peu, au terme de quelques heures de jeu vous aurez la gestion d’un véritable empire ! Et plus vous progresserez dans le jeu, plus les décisions auront un impact sur votre empire.

Au départ, vous n’aurez ainsi qu’à gérer manuellement la pousse en cliquant sur les touches d’arrosage et en taillant vos plants avec le timing adéquat. Puis vient le temps de la vente, ou vous découvrez que chaque lieu de la ville est un marché potentiel, avec ses groupes d’acheteurs au budget et goûts différents, mais aussi le risque d’être repéré si votre activité fait trop de bruit. Il existe non seulement des gangs concurrents qui peuvent venir rogner vos parts de marché, mais vous devrez aussi jongler avec le risque d’être repéré par la police. Il faudra bien gérer tout ça, car les mauvais choix au mauvais moment pourront vous conduire au game-over.

Mais fort heureusement, on peut pallier à cela en profitant des compétences que vous pourrez glaner en progressant ou encore via la dissimulation de vos ventes derrière une activité de façade servant à blanchir l’argent. Cela permettant de diminuer votre visibilité auprès des flics. Surtout, qui viendront souvent sonner à votre porte savoir ce que vous mijotez.

Un gameplay bien poussé

Mais le cœur du gameplay est tout de même de produire vos pousses. Il faudra prendre le plus grand soin pour espérer prospérer en améliorant leur rythme de production ou leur qualité. Pour cela, vous aurez ainsi la possibilité de gérer la température des pièces ou régler l’humidité en achetant du matériel adéquat allant d’une lampe dernier cri au ventilateur, mais également d’aller plus loin en cherchant directement à modifier la proportion de composants chimiques du plan. Un choix qui implique de mener quelques recherches pour déterminer les conditions optimales de création d’une variété de weed et surtout de trouver la meilleure sur le marché.

Au premier abords, je pensais que le jeu ne se contenterait que de la partie production et vente de la bonne herbe. Mais en fait pas du tout ! On passe par la gestion de la police, de la concurrence, des employés, des goûts et des prix plafonds des clients. Viennent s’ajouter des interactions basiques envers tous les personnages peuplant la ville. Et ce n’est pas un point négligé, car cela permet d’améliorer l’efficacité des employés et de récupérer gratuitement quelques nouveaux produits auprès de la concurrence.

Le jeu pousse aussi vers le social avec notamment le système d’employés, susceptible de vous décharger de la gestion sur le terrain. S’ils sont moins efficaces que vous, ces derniers restent un atout précieux et peuvent vous rendre plus d’un service une fois judicieusement affecté. Il faudra discuter avec eux pour augmenter leur satisfaction et pourront aussi prendre des balles à votre place pour le sale boulot. Cependant, et comme tout bon employé, à un moment sa valeur salariale devra être augmentée. A vous de décider ou non de poursuivre l’aventure avec.

Graphismes & Audio

WeedCraft Inc aborde un côté cartoon du côté de ces graphismes. Et c’est vraiment très plaisant, il participe à ce côté irréel et on en oublie presque que cette gestion porte sur une matière illégale dans la plupart des pays. Cependant, l’interface manquera de clarté plus on avancera dans le titre.

Tout d’abord, c’est dommage, il n’y ait pas de bouton pour mettre pause directement. Il faudra accéder au menu adéquat pour le mettre. Il apparaîtra aussi à certains moments des  » ! », mais on ne trouvera pas directement ce qui cloche. De plus, les objectifs devront être cherchés aussi directement dans les différents menus, mais s’enlèvera quand on reprendra le jeu. Je sais, c’est par souci sur l’ATH, mais il faudra retenir certaines missions qui par exemple peuvent demander des dosages comme j’ai écrit plus haut.

Côté sonore, le jeu aborde des musiques en adéquation avec le thème. On ressent la vibe de Snoop Dog dans les musiques choisies pour vous accompagner, et ça sera la seule vraie interaction sonore du titre, car il n’y a aucun doublage.

Conclusion

J’ai pris énormément de plaisir à découvrir le monde de la gestion de la weed. Weedcraft Inc est complet et surtout excellent en termes de gestion de son patrimoine de beuh. Même avec quelques soucis de lisibilité et un système d’interaction sociale légèrement sous-exploité le plaisir est réel. De plus, la transition dans les menus sur consoles n’est pas super adaptée et il faudra une dizaine d’heures pour y arriver facilement. Mais je ne peux que vous la conseiller, surtout moi n’étant pas un très grand fan des jeux de gestion.

Points positifs

  • Un jeu de gestion sur la Weed
  • Trois scénarios qui accompagnent la progression
  • Très complet et varié sur ses mécaniques de jeux
  • La D.A parfaitement adaptée…

Cons

  • … Mais souffrant de problème de lisibilité en fin de partie
  • Le passage entre les différents écrans et lieux

Sorti en Mars dernier, Dredge est créé par le studio Black Salt Games et édité par Team 17. C’est à l’occasion de la sortie du premier DLC, « The Pale Reach » que j’ai pu enfin découvrir ce titre mélangeant pêche, exploration et horreur lovecraftienne. Mais vaut-il le coup ?

Notre nouvelle vie de pêcheur

Dredge nous met dans la peau d’un pêcheur qui commence une nouvelle vie dans l’archipel de Marrows. Remplaçant ainsi son prédécesseur qui a quitté son poste pour des raisons obscures. Mais manque de bol, votre aventure démarre par un naufrage et notre navire est en ruine. Mais d’une gentillesse extrême, le maire nous prête un navire pour aller au large pêcher quelques poissons et ainsi rembourser notre dette.

Notre objectif dans Dredge n’est pas de réussir à ramener le plus gros poisson ou d’être le plus rentable. Il faut ramener à un habitant de la ville un peu étrange toutes les reliques cachées dans cet archipel, qu’on découvrira lors de nos premières visites sur les îles entourant l’archipel.

Et c’est là que ça commence à devenir bizarre. Assez rapidement vous allez vous rendre compte que la nuit, la pêche n’est pas si sûre. Mais surtout, vous allez commencer à trouver des prises suspects. Elle est monstrueuse, difforme et semble tout droit sorti d’un film d’horreur avec sa chair putréfiée et son aspect pourri. Et c’est là que la magie Lovecraftienne va opérer.

Un gameplay simple et efficace

Dredge a pour base du jeu, un jeu de pêche à l’ambiance Lovecraftienne. Le gameplay se montre plutôt simple. On navigue jusqu’à un banc de poisson, puis lance sa ligne et ainsi un « mini-jeu » permettant d’accélérer la pêche ou même d’obtenir des poissons trophées, car sinon c’est automatique. Ensuite, il faudra le stocker dans le navire et recommencer, jusqu’à rentrer avant la nuit.

Les QTE varient en fonction du type de poisson, mais ce ne sera pas tout ce que vous pêcherez. Vous devez trouver aussi des ressources servant à améliorer son navire et des trésors. Au début de l’aventure, le bateau est lent, n’éclaire pas grand-chose et on ne peut pêcher pas grand-chose. Mais au fil de l’aventure, le navire évolue et nos équipements avec. Nous donnant accès à plus de poissons, mais aussi à construire un bateau plus polyvalent et efficace.

Cependant, tout ceci ne peut pas être emmené en une fois. Le titre possède une gestion de cale et chaque poisson ou objet prend un certain nombre de places. Nous allons devoir ranger astucieusement celle-ci pour qu’elle puisse contenir nos poissons, mais aussi nos moteurs, nos lumières, nos filets et nos cannes à pêche.

La nuit, l’horreur commence

La nuit, c’est un peu la partie « horreur » dans Dredge, même s’il faut bien avouer que c’est plus de la tension qu’horreur. Une fois la nuit tombée, notre personnage, lorsqu’il n’aura pas assez dormi ou qu’il se retrouve dans des situations stressantes commencera à paniquer. Cette peur nous amène à avoir des hallucinations qui nous amèneront indubitablement à foncer sur des rochers ou à abîmer notre navire.

En plus de la gestion de la panique, la nuit ce n’est pas très serein de naviguer. Des tentacules sortant de l’eau ou d’horribles poissons nous foncent dessus pour abîmer notre navire. Partir pêcher la nuit n’est vraiment pas conseiller, même si certains poissons n’apparaissent qu’une fois le soleil couché, il faut bien gagner sa vie. Cependant,  les rencontres avec des créatures sont inévitables et frustrantes. Une fois la ligne lancée, le bateau est immobile et surtout, la caméra se rapproche, empêchant de voir les alentours pendant le QTE. Donc au final, la pêche de nuit aboutit souvent sur la destruction du navire et nous ramène à la dernière sauvegarde automatique en début de journée ou au dernier amarrage. Donc c’est naturellement que pour ma part, j’évite au maximum la nuit et passe à côté de quelques énigmes.

Car en plus de la pêche,  Dredge propose tout de même une histoire. Les îles du jeu ont parfois, sur leurs côtés, des objets avec une possible interaction dont il va falloir résoudre. Du côté des quêtes secondaires, c’est souvent l’occasion de discuter avec des PNJ étranges nous demandant de livrer un colis à un endroit précis, pêcher un certain type de poisson, rien de bien palpitant. Compter environ une dizaine d’heures pour voir le bout de l’aventure principale et secondaire compris. Bien sûr, le 100 % se verra un peu plus long surtout s’il vous faut remplir l’encyclopédie et découvre tous les secrets de Dredge.

Graphisme et audio

Les graphismes en 3D possèdent un vrai charme et les décors sont très réussis. La direction artistique touche l’esprit lovecraftien, mettant de côté le réalisme pour des modèles 3D très simples, mais évocateurs. Un soin est apporté aux nombreux poissons à pêcher qui n’arrivent jamais à être appétissants. Enfin, les parties dialogues avec les PNJ, apportant un côté glaçant et inquiétant avec le dessin choisi par le studios. Chaque île possède ses propres caractéristiques et son supplément d’âme.

La bande originale est pour sa part tout de même assez discrète, mais réussie. Elle nous accompagne à chaque instant en mer, même si elle s’emballe la nuit avec un terrifiant sound design. Il n’y a vraiment rien à redire sur ce coup.

Parlons du DLC « The Pale Reach »

Enfin, pour terminer le test parlons rapidement du premier DLC. Bien que court (compter environ 1/3H de gameplay supplémentaire), « The Pale Reach » amène un bon lot de nouveauté. Tout d’abord un nouveau biome, celui de glace, ajoute une nouvelle zone d’exploration qu’on peut accéder à tout moment.

Du côté de l’histoire, on va suivre l’itinéraire d’un précédent équipage où nous allons bien sûr retrouver quelques visages connus sous fond de trahison. Cette extension, amène en plus, 4 nouvelles pièces d’équipement, une nouvelle extension de bateau afin de fracasser la glace et vous frayer un chemin. En plus cette glace peut-être convertie afin de prolonger la durée de conservation de vos poissons et crier, IL EST FRAIS MON POISSON ! De nouvelles espèces sont bien sûr disponibles avec leurs variantes d’abomination.

Une petite extension, certes, mais qui amène tout de même de nombreuses qualités, et surtout qui nous permet de plonger encore une nouvelle fois dans cette superbe œuvre. Le seul défaut reste la durée de vie qui reste tout de même encore trop court.

Conclusion

Dredge est un excellent jeu et j’ai failli passer à côté. Certes le côté horreur n’est pas présent, on est plus sûr de la tension. Mais le titre ce la joue simplissime et c’est parfait. On ressent tout de même un petit côté survie, avec la gestion de notre cale et de l’état de notre bateau. La direction artistique lors des dialogues, où même le design des abominations, est quand même à glacer le sang. La petite déception est du fait que l’aventure est tout de même assez courte, même avec une extension qui n’amène pas une grande durée de vie non plus. Cependant, le titre est loin d’être répétitif et arrive toujours à se renouveler plus on avance dans les biomes.

Points positifs

  • L’ambiance générale
  • Le gameplay, à la fois simple et complet
  • La direction artistique soignée
  • Une plongée dans l’univers de Lovecraft avec monstres et mystères
  • Les biomes (avec l’ajout d’un avec le DLC)

Points négatifs

  • Plus de la tension que l’horreur
  • La pêche de nuit frustrante
  • Court même avec un DLC

Bon, bon, bon. Comme vous pouvez le lire dans le titre, Skull Island: Rise of Kong est pour moi le pire titre de l’année et vaut mieux commencer le test ainsi. Même Gollum, sorti plus tôt cette année est de loin un meilleur titre et on va comprendre pourquoi.

Kong doit venger sa famille

Skull Island : Rise of Kong pour débuter, nous amène tout droit dans l’enfance de Kong. Et oui, notre célèbre monstre de la jungle n’était pas aussi imposant étant plus jeune. C’est ainsi que nous découvrons également papa et maman Kong qui malheureusement pour eux ne poursuivront pas plus l’aventure. C’est impuissant que bébé Kong assiste au meurtre de ses parents devant un lézard gigantesque portant le nom de Gaw.Le but pour bébé Kong est désormais clair et net. Se venger et nous incarnons donc Kong quelques années plus tard et le faire en monter en puissance pour assouvir ses désirs de vengeance.

Heureusement le scénario est là pour sauver le titre, car on va vite déchanter. On a appris quelque temps après sa sortie, que malheureusement Skull Island : Rise of Kong a eu un développement plus que compliqué. D’après des sources, le titre n’a eu que seulement 1 an de développement. Et ça se ressent, mais bravo tout de même à l’équipe d’IguanaBee pour avoir sorti le titre en si peu de temps. Mais franchement, laisser du temps au titre, arrêter les éditeurs de mettre des pressions pour rien….

Un gameplay désastreux

Bon maintenant que nous incarnons Kong, nous devons parcourir la jungle afin de combattre les boss. Bien entendu, ceux-ci sont dispersés un peu partout et il vous faudra fouiller les moindres recoins afin de les trouver.Et voilà déjà le premier problème du jeu. ON FAIT QUOI ? ON VA OÙ ?. Il y a bien une mini-map pour vous aider. Mais comment dire : autant appeler Dora et sa carte, tu trouveras plus facilement ton chemin. Elle est inutile, votre point n’étant pas situé. Oubliez également l’idée d’un voyage rapide puisque cela n’est pas possible. Vous devez donc avancer dans la jungle seul. Une tâche qui parfois s’annonce un peu plus compliquée, surtout que certaines zones sont très similaires entre les chapitres (On doit recycler pour faire du contenu rapide). Finalement, c’est un peu comme chercher une aiguille dans une botte de foin.

Bon on passe au prochain point, le jeu et son gameplay. Vous avancez, battez des ennemis, avancez, battez des ennemis et c’est tout. Mais entre ça, vous pouvez récolter des objets de collection. Enfin, pour varier les phases de combat et ENFIN améliorer Kong, il y aura des défis qui sont dissimulés un peu partout. Le but ? Eh bien, tuez ces créatures, et comme vous l’aurez sans doute deviné. L’exception, c’est que cette fois-ci, c’est un défi et cela vous rapportera des points. Attention là, le jeu devient FOUFOU !

2003 le retour !

Manette en main, les sensations sont mauvaises. On a un combo de coup à donner, une touche pour se protéger. Et même là,, c’est mal exécuté. Combien de fois je prends des coups alors que je me protège car Kong est toujours en animation de combat… Où que je me prenne des dégâts limite gratuits.

Côté graphisme, il faut se le dire, ce n’est clairement pas beau à voir et ça pique les yeux. Juste l’expression de Kong est juste une parodie à lui-même. Après personnellement, les graphismes ça me dérange pas, mais là je me retrouve quand j’avais 10 ans, en 2003 sur ma PS2 Je ne parle pas du nombre de bugs présents (et pas seulement des bugs de textures) dans le jeu et qui demanderont relancer votre sauvegarde… Pour vous dire, j’arrive à passer à travers les textures pour accéder à une nouvelle zone….

Allez une petite éclaircie à l’horizon, l’audio n’est pas si catastrophique. Il suffit de regarder les vidéos de l’orchestre (visibles dans le menu extra) pour se rendre compte qu’il y a eu un minimum de travail. On peut noter aussi que le jeu a des filtres, qu’on peut changer lors de notre aventure. Cela rend le jeu, à certains moments moins moches.

Si vraiment l’envie vous donne, le jeu a une durée de vie de 5H, mais qui voudrait s’infliger ça ? Mais il faut vraiment le prendre en mode rigolade tout de même et rigoler, car il y a de quoi !

Conclusion

Je n’aime vraiment pas taper sur un jeu… Mais Skull Island : Rise of Kong est littéralement le pire jeu de l’année. Faute à un éditeur qui ne laisse pas le temps à son équipe de développement pour créer un véritable jeu. En un an, IguanaBee a essayé de limiter la casse, mais c’est raté, tout est raté. Dommage, il y aurait pu avoir un fort potentiel si les astres étaient alignés !

points positifs

  • Le scénario du jeu

points négatifs

  • Maniabilité horrible
  • Graphiquement, retour en 2003
  • Durée de vie courte
  • Le prix
  • Nombreux bug présents dans le jeu obligeant ainsi à redémarrer la partie
  • On est où sur la map ?

En ce moment, c’est la folie des jeux sous licence et surtout fait pour les petits. Je me lance dans une série de tests sous la bannière GameMill qui possède pas mal de licences pour enfants avec dans un premier temps DreamWorks All-star Kart Racing. Mais peut-il concurrencer le maître Mario-Kart ?

Copier coller MK

Tout le monde essaie de produire un jeu de Kart pour concurrencer Mario Kart. Il y en a qui arrive par exemple Dysney SpeedStorm ou encore Team Sonic Racing, et d’autres s’écroulent. Je peux citer par exemple Schtroumpfs Kart que j’ai pu tester plus tôt cette année. Mais DreamWorks All-star Kart Racing, on va le dire tout de suite, est vraiment un copier/coller de MK.

Pourquoi je dis ça ? Tout simplement le choix des perso, du kart et de ses options. Ou encore les coupes en 4 circuits de 3 tours… Ils ont repris la même formule. Après, tout n’est pas copié à l’exactitude. D’une part, car on n’est pas sur les mêmes personnages. D’autre part, le kart et ses options sont uniques pour chaque personnages disponibles. On ne va pas se retrouver avec des kart loufoque tel qu’on peut retrouver sur MK juste pour avoir la meilleure voiture.

Le gameplay est, lui aussi, proche de Mario Kart. Dérapage dans les virages générant des boosts, zones d’accélération, bonus à récupérer, lancers d’objets, rampes et j’en passe. Mais ici, on a une petite originalité : les Trolls. En ramassant des notes de musique sur le circuit, on remplit une jauge qui octroie un bonus supplémentaire.

La dernière chose qui différencie DreamWorks All-star Kart Racing, c’est qu’on est sur un titre pour les plus jeunes. Et quoi de mieux que d’aider nos petits qu’avec une aide à l’accélération. Une aide bien moins importante qu’on a l’habitude de trouver et que pour ma part je trouve un peu inutile. Mais donne une impression aux jeunes de pouvoir avoir un minimum de choses à faire (Tourner, envoyer des objets ou encore déraper). Pour ma part, ça m’évite juste d’appuyer sur RT (touche pour accélérer) et reposer mon Index.

Il y a tout de même du contenu

Passons en revu le contenu du titre. DreamWorks All-star Kart Racing contient 20 circuits, 20 personnages qui ne sont pas tous débloqués. Pour en avoir de nouveau, il faudra remplir une certaine exigence. Par exemple, terminer une coupe spécifique ou accomplir un défi. En termes de mode de jeu, nous avons le classique. Le solo avec le mode Coupes avec plusieurs vitesses allant de tranquille (même ennuyant) à Lumière. De la course libre, des défis de plus en plus durs et enfin le mode contre-la-montre. Le titre dispose aussi d’un mode multijoueur local et d’un mode en ligne.

Enfin, comme je l’ai dit plus haut, chaque Kart est personnalisable. Il faudra donc débloquer toutes les variantes que compose votre voiture, en passant du châssis, au moteur par exemple. En modifiant les éléments, votre Kart modifiera aussi ces paramètres que sont la Vitesse, le Turbo ou encore le poids. Cependant, une catégorie Charisme est aussi disponible, histoire de se démarquer et éviter le plagiat. Mais je n’ai toujours pas compris à quoi elle servait ? Et je pense je ne suis pas le seul, car j’ai essayé de me renseigner… GameMill une aide peut-être ?

Après le petit point positif que j’aime dans le titre, c’est qu’on n’acquiert pas cet élément dès son déblocage. Il va falloir les acheter avec la monnaie du jeu qui est tout simplement, et qu’on récupère pendant nos courses…. Oui !! les notes de musique !! Au moins elles ont une utilités et c’est chouette.

Graphiquement OK même si …

Graphiquement, le jeu est globalement solide. On retrouve les décours des films DreamWorks et on n’est pas perdus. Malheureusement, le jeu ne prend pas en charge le HDR et sur Xbox Series ça se voit. Les circuits sont parfois un peu trop simples, sans originalité. Mais d’autres ne sont pas trop mal… mais il n’y a rien de vraiment exceptionnel. On peut noter que certains circuits se désagrégeront au fil des tours, par exemple.

La maniabilité est assez compétente, mais la lisibilité de nombreux power-ups est aléatoire, de nombreuses pistes ont d’étranges barrières invisibles, parfois les routes semblent un peu bizarres. Il m’arrive d’être bloqué dans un raccourci, et ne pas pouvoir en ressortir. Tout simplement, il n’y a aucune marche arrière et l’animation pour sortir avec un saut ne marche pas. Mais ce qui est peut-être plus accablant, c’est que l’équilibre de la difficulté du jeu est également un peu variable. Bon certes en mode tranquille, il n’y a aucune difficulté. Mais en mode Lumière par exemple, soit tout se passe bien, soit c’est l’hécatombe. Du fait que les derniers ne sont pas aidés, les premiers ne sont pas défavorisés… Donc vous l’aurez compris, cela crée moins de suspens et de situations hot et surtout on cravache pour revenir.

Conclusion

DreamWorks All-star Kart Racing est loin d’être une catastrophe. Dommage qu’on ressent trop le copier/coller de MK malgré quelques modifications. Le contenu est bon et généreux et respecte les licences DreamWorks. Cependant, la difficulté quasi inexistante et surtout qu’on ne peut pas trop embêter les premiers peut frustrer. Mais bon, le titre fait le café surtout pour les plus jeunes.

points positifs

  • Les licences Dreamworks
  • Le contenu
  • Parfait pour les plus jeunes

points néfatifs

  • On reconnait trop MK
  • On embête pas assez le premier
  • Le manque de HDR ce ressent graphiquement

« Life of Delta » de Daedalic Entertainment et Airo Games est un jeu d’aventure point-and-click se déroulant dans un monde post-apocalyptique. La Grande Guerre a anéanti tous les humains. Les seuls survivants sont les robots de service en décomposition et les lézards humanoïdes nés des retombées nucléaires. Vous incarnerez le personnage éponyme Delta”, qui se retrouve seul lorsque, un jour, un groupe de lézards humanoïdes plutôt imposants frappe à la porte et emmène Joe avec eux. Avec son ami disparu, Delta se lance dans un voyage pour tenter de le retrouver avant qu’il ne soit trop tard !

Vous explorerez 25 niveaux peints à la main situés dans le Japon post-apocalyptique tout en résolvant des dizaines d’énigmes et de mini-jeux qui vous présenteront différentes façons de trouver le moyen approprié de relever chaque défi. L’histoire du jeu comprend également des cinématiques animées. Votre aventure sera accompagnée d’une bande-son apaisante mais sinistre, adaptée à cette expérience post-apocalyptique mêlant robots et lézards.

Un gameplay simple mais bien maîtrisé

Attention, Life Of Delta est mon premier Point and Click.

Comme il s’agit d’un jeu d’aventure point-and-click, cela signifie que vous utiliserez les sticks analogiques gauche ou droit pour déplacer un curseur à l’écran, puis appuyerez sur le bouton X pour déplacer Delta ici ou là selon les besoins. Vous pouvez utiliser le curseur et le bouton X pour interagir avec des objets ou des personnages au besoin. Appuyer et maintenir enfoncé le bouton R2 ralentira le mouvement du curseur. Vous pouvez appuyer sur les boutons L1 et R1 pour basculer entre les points d’intérêt près de Delta. Pour vous rappeler vos objectifs actuels, appuyez sur le bouton L2.

Étant donné que le jeu comporte plusieurs énigmes et mini-jeux, en parler trop pourrait gâcher votre expérience, d’autant plus que, selon votre expérience avec le genre, il devrait vous falloir environ 4 à 5 heures pour le terminer. Il me sera difficile de vous décrire les énigmes sans faire du spoil alors je n’en parlerais pas plus.

Hormis cette durée de vie plutôt courte (attention on reste sur un petit jeu indé), Life Of Delta est vraiment sympa, les énigmes sont vraiment bien pensées et peuvent vous donner un peu de fil de retordre, mais rien d’impossible rassurez vous !

Technique perfectible

Autant les graphismes pixélisés  sont vraiment agréables et offrent à Life Of Delta une patte graphique unique et vraiment sympathique. Autant il rencontre quelques soucis techniques qui empêchent de profiter du jeu à 100%. Je me suis retrouvé à plusieurs reprises bloqué dans le jeu à ne pas pouvoir activer l’objet qui me permettait de faire avancer mon histoire. 

En plus d’être frustrant (ouais j’aime pas devoir relancer mes sauvegardes), cela casse un peu l’expérience du jeu en lui-même. Malgré tout, il semble que certaines mises à jour aient réglé le problème.

Conclusion du Test de Life Of Delta

Quelle belle surprise finalement ! Life Of Delta est une belle aventure. Le côté Point and Click est bien maîtrisé (je rappelle qu’il s’agit de mon premier jeu de ce type), l’histoire est narrativement bien amenée et nous offre une certaine poésie. Malgré une faible durée de vie et quelques problèmes technique, l’ambiance de Life Of Delta et son faible prix de seulement 19.99 euros font de cette aventure un jeu au très bon rapport qualité prix

Pros

  • Une aventure prenante
  • Des énigmes bien dosées
  • graphiquement original
  • un rapport qualité/prix imbattable

Cons

  • un peu court
  • quelques bugs technique

The Invincible est un jeu vidéo d’aventure développé par Starward Industries. Le titre est adapté d’un livre bien connu de science-fiction écrit par Stanislas Lem. Ici, nous avons le droit à un Walking simulator du même genre que Firewatch. Mais vaut-il le coup ?

Un petit peu de culture

Pour comprendre d’où vient le jeu, il faut remonter jusqu’en 1964, la date de parution du roman du même nom écrit par Stanislas Lem, dont voici le résumé :

L’Invincible est un puissant navire interstellaire de seconde classe, qui rallie la planète Régis III afin d’enquêter sur la perte de son vaisseau-frère, le Condor. La vie organique semble avoir abandonné la surface désertique de la planète, et ne se maintient que dans ses océans. Durant leurs investigations, l’équipage se retrouve confronté à une forme de « vie » inorganique, sous forme de nuages de petites machines volantes auto-réplicatives. Sans pour autant parvenir à communiquer avec ces organismes, les savants de l’Invincible déduisent de leurs fouilles que ces robots sont le fruit d’une longue évolution, et descendent probablement des robots très évolués de la race éteinte des Lyriens.

Ces nuages de petites mouches robotiques sont très dangereux pour les sondes robotisées comme pour les êtres humains, en raison des puissants champs magnétiques qu’ils émettent afin d’effacer la mémoire de leurs ennemis. Plusieurs membres de L’Invincible et équipements de pointe sont victimes de ces attaques, et le commandant du vaisseau devra se résoudre à abandonner toute vaine tentative de représailles contre cette forme insolite d’évolution robotique.

https://english.lem.pl/index.php/works/novels/the-invincible

Mais ici, nous ne sommes pas sur une adaptation pure et dure du roman, mais plus une adaptation libre avec une histoire parallèle. Mais on est toujours avec le même décor qui est REGIS III, une étrange planète, avec Yasna comme personnage central. Et nous allons devoir découvrir ce qui se passe ici et où est notre équipage.

Invincible un vaste terrain à explorer

Je l’ai dit plus haut, mais The Invincible se déroule sur Régis III, une planète qui regorge de mystère. Et c’est d’autant plus vrai que vous vous réveillez sur cette dernière à moitié amnésique. Dans la peau de Yasna, il va donc falloir comprendre pourquoi vous avez rejoint cette mission spatiale et retrouvé les membres de votre équipage. Et forcément, les choses ne vont pas vraiment se passer comme prévu. Cette amnésie rend un lien entre le joueur et la protagoniste puisque personne ne connaît cette planète et vous allez apprendre à la découvrir ensemble.

Votre première mission est de retrouver vos compagnons de voyage, puis par la suite découvrir et trouver des réponses sur les mystères de cette planète. Comme tout bon Walking simulator, on va se balader avec quelques phases de saut, d’escalade et fouiller les différentes zones proposées. Au cours de notre exploration, il faudra utiliser quelques équipements de Yasma. Traqueur pour détecter les présences, une paire de jumelles pour voir au loin, ou encore, un détecteur pour trouver des sources de métal.

Nous serons en constante communication avec Novik qui lui est en orbite et on pourra lui faire part de toutes nos découvertes. A certains moments de l’aventure, nos choix de dialogue auront des répercussions sur la suite de l’aventure. D’autant plus sur l’arc final, où plusieurs fins seront disponibles, afin de refaire l’aventure sous différents angles. Pour compléter l’aventure, il vous faudra environ 6/7H de jeu, ce qui est raisonnable. Mais certaines fins (11 à découvrir) nous laissent vraiment sur notre faim et nous laissent encore plus d’interrogations que de réponses. Malheureusement, je n’ai pu accéder à toutes les fins, car sans doute provoquée par un bug, l’action n’a jamais pu s’enclencher, même en rechargeant plusieurs fois la sauvegarde.

C’est beau, un peu mou et avec quelques problèmes

The Invincible nous plonge à merveille sur Regis III, un terrain de jeu sublime avec des points de vue époustouflants et cette petite touche rétro-futuriste des plus sympathiques. Mais bon le problème de venir sur une planète inconnue, c’est qu’on ne connait rien d’elle. Et ici, ba Regis III est vide. Nous allons avoir juste des bancs désertiques avec pour seul lieu, ce que l’humain a posé pour étudier la planète et les structures faites par le « peuple » vivant sur cette planète.

Enfin, pour assurer la superbe immersion que propose The Invincible, le doublage est particulièrement réussi avec une bande-son agréable qui amplifie un peu plus le sentiment d’immersion. Combler le silence peut parfois s’avérer plus délicat que prévu en jeu, mais The Invincible s’en sort plutôt bien avec les questionnements et autres chants de Yasna.

Par contre, elle est un peu molle dans ses déplacements. On a une course de disponible, mais qui ne dure pas très longtemps. On sent un manque de souplesse et de fluidité du gameplay. Les mécaniques ne sont pas nombreuses et on peut logiquement s’attendre à ce qu’elles soient d’autant plus maîtrisées. En exemple, certains lieux sont en effet inaccessibles. Je me suis souvent retrouvé heurté à des murs invisibles et c’est vraiment dommageable pour un jeu du genre. Le manque de fluidité concerne également le récit qui est rythmé par de nombreux flash-backs. Si cela permet parfois de dynamiser un peu le tout, certains sont particulièrement longs et pas franchement introduits au moment opportun.

Il y a aussi un mode photo disponible, c’est chouette, mais inutile dans ce cas, car on n’a pas la possibilité d’en profiter. Sauf pour faire un screen mais comme l’ATH n’est déjà pas très fournie, cela conforte que cette option est vraiment inutile.

Conclusion

The Invincible est beau, mais vide. L’aventure est plaisante et intrigante à suivre, mais est tout de même gâchée par les flash-backs qui arrivent comme ça et pas au meilleur moment et des fins qui nous laisse perplexe. J’aurais aussi préféré que Yasna soit un peu moins molle dans ses déplacements et actions, ne pas être bloquée par des murs invisibles qui rend trop dirigiste le titre sur le lieu à explorer. Mais j’ai passé un excellent moment sur le titre de Starward Industries qui ont su tout de même maîtrisé l’univers du roman de Lame, même si on ne connaît pas l’univers.

Points positifs

  • Regis III, c’est beau …
  • Une histoire parallèle qui reste fidèle au roman
  • Une immersion dépaysante
  • Direction artistique et bande originale sublime

Points négatifs

  • … mais vide
  • Pas mal de bug dont un pour voir certaines fins

Pas mal de sorties sont disponibles pour cette fin d’année, et il y en a pour tous les goûts et ça fait plaisir. Pour les plus jeunes, voici Animal Hospital où comme le titre nous le dévoile nous allons devenir des petits vétérinaires.

Redonnons vie à une clinique

Le jeu débute et il faudra choisir entre l’un des 6 vétérinaires. Ici, la personnalisation n’est pas poussée avec le choix entre trois filles ou trois garçons. Une fois notre choix effectué, on sera directement envoyé à la clinique. Mais ne vous inquiétez pas il y a une histoire tout de même derrière le titre, nous sommes le petit-fils de l’ancienne propriétaire de la clinique. Nous recevons une lettre mystère avec la clé et ça sera à nous de redonner vie à ce lieu.

Mais je ne vais pas vous mentir l’histoire on peut la mettre de côté, le but, c’est de soigner les animaux qui passeront par votre clinique. Chaque jour, nous avons la liste d’animaux à soigner. Notre mission sera de les prendre en charge à l’accueil, et de les diagnostiquer avec une loupe ou un stéthoscope pour comprendre leurs problèmes. Une fois cette étape terminée, il faudra les soigner en leur administrant des médicaments, panser leurs blessures avec un bandage ou des pansements, utiliser des pommades, ou simplement retirer des tiques avec une pince. Surtout au début.

Plus nous progresserons dans l’aventure, plus nous aurons accès à de nouvelles salles pour accueillir des pathologies de plus en plus « compliquées ». Par exemple, nous ouvrirons une salle de radiologie pour traiter des blessures ligamentaires par exemple. Bien sûr, tout restera au plus simple pour la compréhension des petits.

Une redondance tout de même

Pour avancer et faire grandir notre clinique, Animal Hospital nous fera refaire la même et même chose chaque jour qui passera. A chaque animal soigné et renvoyé chez lui, nous allons gagner de l’or. Cet or est indispensable à la vie de la clinique. Elle servira à acheter le matériel médical nécessaire au traitement des maladies de nos animaux, mais aussi à développer et embellir l’espace. Bien sûr ; si la pathologie de l’animal fait en sorte qu’il doit passer quelques jours aux soins, l’or que nous gagnerons sera plus importante. Et d’autres critères rentreront en compte, comme la satisfaction, le confort ou encore la qualité de l’alimentation.

Et pour finir, l’argent pourra être dépensé dans de multiples objets décoratifs, afin d’embellir la clinique selon nos envies, avec une petite liste de possibilités, comprenant des tapis, des tableaux, ou d’autres petits objets.

Mais, voilà le jeu pêche tout de même sur cette redondance, on fait la même chose tous les jours. Oui, plus on avance, plus les mots que rencontreront nos bêtes à 4 poils seront différents, mais c’est la même chose. Mais finalement ça peut convenir à la tranche d’âge visée par le jeu qui est les 4/10 ans.

C’est simple et adapté pour les enfants

Pour ce faire, Animal Hospital simplifie au maximum les interactions. L’aventure est simple. Les missions peuvent être réussies sur plusieurs jours sans problème. Et la jouabilité est enfantine et se décompose toujours de la même manière. On ausculte pour voir le problème, on soigne et retour maison. De plus, le jeu nous fournit automatiquement ce qu’on doit utiliser, il faut juste appuyer sur l’objet, avec le joystick, le déplacer au bon endroit et le tour est joué.

Animal Hospital propose une direction artistique simple, mais qui fonctionne plutôt bien. On a le droit à quelques espèces d’animaux variés, comme des paresseux, des lamas et des chevaux. Sans oublier, nos boules de poils que sont les chats et les chiens. Le tout accompagné d’une musique de fond, très calme, qui colle parfaitement à l’aventure. Par contre, le jeu subit quelques problèmes au niveau des cris des animaux qui ne correspond pas à l’animal que l’on soigne. Il m’arrive parfois d’entendre des bruits de singe sur un loup. Mais bon, c’est vraiment pour chipoter !

Conclusion

Animal Hospital fait son job pour la tranche d’âge visée par le studio. Même si la répétitivité et surtout d’assistance à la limite de l’enfantin peuvent être une source d’ennuis pour certains, le jeu est vraiment bon pour ce qu’il propose et permet aux plus jeunes de se lancer facilement dans le jeu-vidéo.

points positifs

  • Parfait pour les enfants
  • Simple …
  • Soigner pleins d’espèces différentes

Cons

  • … voir trop simple (limite enfantin)
  • La redondance

Bon, je vais être franc avec vous, pour ce test de Heads Up ! Phone Down Edition, ça va être du rapide. Premièrement, il n’y a pas grand-chose à dire sur le titre, et deuxièmement 40  €, pour juste ça, c’est excessif… et vous allez vite comprendre !

Heads Up, c’est quoi ?

Heads Up! Phones Down Edition est tiré du célèbre jeu de devinettes de mots créé par Ellen Digital Ventures et présenté dans The Ellen Degeneres Show. Il faut savoir que le jeu original, a été téléchargé à ce jour par plus de dix millions de joueurs sur mobiles. Le jeu mobile est gratuit avec des achats in-game payante. Ici, on nous le vend 39.99€ avec tout de même un contenu conséquent de plus de 90 decks. Mais bon ça fait tout de même trop cher, surtout pour un jeu que tu peux trouver facilement sur internet.

Expliquons les règles maintenant. Le jeu se joue de 2 à 10 chez vous, dans votre salon. Donc déjà il faut des amis, et c’est chouette de le sortir pour une crémaillère ou une soirée. Le but est de marquer le plus de points avec des mots qui apparaissent sur l’écran et chaque joueur dispose d’un temps limité (allant de 30 secondes à 3 minutes) pour deviner autant de mots que possible en fonction des indices qui lui sont donnés par les autres participants.

C’est simple, pas besoin de payer pour l’avoir

Voilà, Voila, j’ai fait le tour de Heads Up ! Phone Down Edition. C’est maigre, c’est sûr. Mais le jeu est tout de même efficace en terme d’amusement. Surtout que le jeu est simple à mettre en place. Un joueur s’occupe de la manette, appuie sur A, B, X ou Y quand la réponse est bonne et LB ou RB si on passe le mot.

Enfin, niveau graphique, c’est difficile de juger, comme ce sont juste des plans avec des mots. On a juste un vaste fond d’écran arrière en accord avec le thème choisi et c’est tout.

Conclusion

Difficile de vous recommandez Heads Up ! Phone Down Edition et de le noter en étant honnête. Surtout au tarif de 40 €…C’est bien de dématérialiser les jeux de société, mais pas à un tarif si élevé quoi. Même si le jeu contient énormément de thématiques, on le sort une fois et basta. Mention tout de même, le titre peut-être joué en français et heureusement. Mais vraiment, ne l’achetez pas !

points positifs

  • Pour une soirée entre pote
  • C’est en français

Points négatifs

  • Le prix démesuré
  • Tu le sors une fois quoi …
  • C’est juste un jeu de société dématérialiser …